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Posted at octobre 21, 2012 //
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Communiqué du 13ème Déjeuner-débat de la Francophonie « Simon Bolivar et la poésie de José Martí » à Boissières CC Grand Cahors.

21 octobre 2012.
Dans le cadre d’une consolidation de la Francophonie « Populaire », le Professeur Edmond JOUVE Président de la Francophonie Quercy-Périgord, vous invite au déjeuner débat d’information et de contacts à l’occasion de la 13ème conférence de la Francophonie « Simon Bolivar et la poésie de José Martí », à la Salle Polyvalente de Boissières le Vendredi 26 Octobre 2012 à 12H30. Cette conférence (déjeuner-débat) est ouvert à tous.
Ce déjeuner-débat s’effectue en concertation avec les partenaires de la Francophonie. Enfin, elle réitère sa disponibilité à continuer à organiser des manifestations ayant pour but la solidarité francophone.
Réservations 25€uros 0623387517 / 0565228068


Vous remerciant à l’avance, je vous attend le 26 octobre à 12H30 à Boissières (Lot).
Le Président Edmond Jouve et Osvaldo Villar
Tags : conférence, débat déjeuner-débat, Edmond Jouve, francophonie, Grand Cahors, jose marti, Le Petit Journal de Montauban, NouvelObs, Osvaldo Villar, simon bolivar, Sud-Ouest
Posted at février 11, 2011 //
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Washington : vendange record à prix record, le riesling et le malbec ont le vent en poupe 10/02/2011
L’Etat de Washington a pressé 160 000 tonnes de raisins de cuve à l’issue de sa vendange 2010, contre 156 000 tonnes en 2009, soit une augmentation de 2,5 %, selon les données publiées récemment par le Département américain.
Tags : Cahors Malbec, Cépage Malbec, Le Malbec à Washington, raisin de Malbec, USA et Malbec, vignes Malbec, vin de Malbec
Photographe : Pascal Guyot AFP :: Le joueur du Real Madrid Cristiano Ronaldo (g) à la lutte avec le joueur de l’OM Taye Taiwo, le 8 décembre 2009 à Marseille
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photo : Pascal Guyot , AFP
Photographe : OGV. Le gardien de but de la Juventus Gianluigi Buffon (d) déçu après un but du Bayern Muncih, le 8 décembre 2009 à Turin
photo : AFP
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Lyon, déjà assuré de la qualification pour les 8e de finale, doit impérativement battre les Hongrois de Debrecen aujourd’hui au stade de Gerland (20h45) et tabler sur une contre-performance de la Fiorentina à Liverpool pour terminer en tête du groupe E de la Ligue des champions.
Alors qu’aucune des huit équipes jouant à domicile ne s’est imposée mardi, Français et Italiens sont reversés en Europa League.
Groupe A:
Maccabi Haïfa (ISR) – Bordeaux (FRA) 0-1: Déjà qualifié et assuré de finir en tête, Bordeaux était venu à Haïfa sans réel enjeu et avec son équipe B. Le Maccabi n’en a pas profité, contrairement à Jussie qui profitait d’une erreur précoce de Masilela pour marquer. Ensuite, les Girondins, toujours invaincus, ont géré tranquillement devant une équipe démobilisée qui finit sans le moindre but ni le moindre point inscrit.
Juventus Turin (ITA) – Bayern Munich (GER) 1-4: Cruelle désillusion pour la Juve, en position favorable avant le match et mise sur orbite par le 1er but européen de la saison de Trezeguet, avant de finalement s’incliner lourdement devant le Bayern, miraculé et qualifié à sa place !
Les Bavarois ont commencé à renverser le score grâce à un penalty de leur gardien Butt, avant d’accélérer en 2e période. Les réalisations d’Olic, Gomez et Timoshchuk vont sûrement laisser des traces dans l’équipe de Ferrara…
Car la qualification en Ligue Europa des Turinois, trahis pas Marchisio sur le 2e but du Bayern, a plus des allures de sanction que de récompense…
Groupe B:
Wolfsburg (GER) – Manchester United (ENG) 1-3: "MU", qui n’en avait pas vraiment besoin et achève tranquillement sa promenade de santé à la 1re place, peut remercier son vétéran Owen, auteur de trois buts en fin de périodes (44, 83, 90). Entre-temps, l’égalisation de Dzeko (56), son 4e but, n’a pas pesé lourd.
Besiktas (TUR) – CSKA Moscou (RUS) 1-2: Buteurs, Krasic et Aldonin sont les héros d’une soirée russe achevée triomphalement malgré le but turc de Bobo. Grâce à eux, le CSKA double Wolfsburg, battu par Manchester et finalement 3e, et achève la 1re phase à la 2e place du groupe.
Groupe C:
Marseille (FRA) – Real Madrid (ESP) 1-3: Malgré sa bonne volonté, l’OM n’a pu réaliser l’exploit sur lequel il misait. Proprement dominés, les Olympiens ont craqué sur les coups de pied arrêtés, à commencer par un coup franc direct de ce diable de Ronaldo, finalement auteur d’un doublé après les avoir déjà fait souffrir à Santiago Bernabeu.
Après de nombreuses occasions manquées, Albiol, à la réception d’un corner, doublait même la marque d’un Real à peine ralenti par l’égalisation (11e) d’un Lucho… en manque de réussite sur un penalty provoqué par Niang.
Zurich (SUI) – Milan AC (ITA) 1-1: Un moment devant, Zurich aura donc parfaitement joué son rôle d’arbitre, même si l’OM, finalement devancé par Milan, n’a pas su en profiter.
Malgré l’ouverture du score de Gajic, un penalty de Ronaldinho a permis à l’équipe de Leonardo, tous deux ex-Parisiens, de tenir son rang à Zurich qui a fini à dix.
Groupe D:
Atletico Madrid (ESP) – Porto (POR) 0-3: Dans le groupe où tout était déjà joué, Porto, déjà qualifié, n’a pas traîné, pliant la rencontre dans le premier quart d’heure. Un petit but de Bruno Alves (2e), suivi du 3e de Falcao (14e) dans l’épreuve, a suffi, avant que Hulk ne scelle la marque.
Chelsea (ENG) – Apoel Nicosie (CHY) 2-2: Assurés de la 1re place, les Anglais, avec une moitié d’équipe inexpérimentée, ont mis le même délai pour se régler que Porto pour crucifier un peu plus l’Atletico. Dans l’intervalle, Zewlakow a cru qualifier l’Apoël pour la Ligue Europa en ouvrant la marque (6e). Mais Drogba et Essien ne l’entendaient pas ainsi, permettant à Chelsea de virer en tête à la pause. L’égalisation de Mirosavljevic permet à Nicosie, finalement 4e, de relever la tête.
FOOTBALL.
L’équipe de France est venue à bout de l’Irlande en prolongation. Elle jouera donc la Coupe du monde 2010. Mais le but de Gallas était entaché d’une incontestable main de Thierry Henry
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- Gallas marque le but de la qualification alors que les Irlandais hurlent après la main de Thierry Henry. (photo afp)
La main de Dieu a désormais une héritière. Diego Maradona avait marqué de la main contre l’Angleterre en quart de finale de la Coupe du monde 1986. Et l’Argentine avait fini championne du monde.
Hier, au bout du suspense, de la peur, de tout ce que vous voulez et à la fin une qualification… là aussi haut la main. Celle de Thierry Henry sur le but libérateur de Gallas qui entâche cette qualification française. Après 120 minutes à pester contre ces Bleus d’une incroyable indigence et à trembler face à des valeureux Irlandais et si tristes aujourd’hui, eux qui se sont procurés les meilleures occasions hier soir au Stade de France.
L’Irlande à l’assaut
Un cauchemar. Il n’y a pas d’autre mot pour résumer la première mi-temps française. Dominés dans l’impact physique et surtout verts de trouille, les Bleus ont connu un calvaire avant d’être logiquement menés à la pause par un but de Robbie Keane. Un parfait résumé de tous leurs maux : un milieu de terrain totalement dépassé, un décalage sur la droite dans le dos de Sagna, le centre en retrait de Damien Duff dans le dos d’une charnière centrale happée par le premier poteau et un plat du pied, comme à la parade, du capitaine irlandais (33e). Ils étaient où les Français ? Loin, en tout cas, du niveau attendu. L’ouverture du score venait ponctuer une première demi-heure dominée de la tête et surtout des épaules par les soldats de Giovanni Trapattoni : le football reste ce jeu où le premier à l’attaque du ballon possède toutes les chances de s’imposer.
Car autant l’Eire avait joué à l’italienne à l’aller, autant elle se lançait la tête la première dans le « kick and rush » qui lui va si bien. Un jeu long et haut que les Français ne parvenaient pas à juguler. Cette fois pourtant, Nicolas Anelka collait à la ligne de touche côté droit, laissant de l’espace à un Yoann Gourcuff tout de suite dans la rencontre. Mais après un premier enchaînement au sol sur un contre d’André-Pierre Gignac jusqu’au tir contré de Thierry Henry (10e), c’est l’Irlande qui dictait sa loi.
Les Bleus écopent
La défense française avait très vite (9e) perdu Julien Escudé, sonné par un coup de coude de… Patrice Evra et remplacé par Sébastien Squillaci obligeant William Gallas à permuter. Elle écopait tout ce qu’elle pouvait mais le moins que l’on puisse écrire, c’est que tout cela ne respirait pas la sérénité !
Le mal bleu ? Un Henry, totalement absent de cette première période, qui ne bloquait pas son couloir gauche, les Diarra bloqués par le pressing irlandais, un Anelka coupé du jeu. Résultat : une équipe coupée en deux et des décalages de plus en plus fréquents. Hugo Lloris sauvait une première fois du bout des doigts devant Keane qui manquait de le scalper (24e) mais la sanction venait logiquement plus tard.
À peine réveillés par ce but, les Français finissaient mieux la mi-temps, avec un Sagna saignant à droite, mais sans réel danger pour Shay Given (frappes de Gourcuff, 35e et 38e, Anelka contré, 39e).
Atmosphère irrespirable
Ça ne fonctionnait pas mieux à la reprise avec cette occasion pour John O’Shea complètement seul au deuxième poteau sur un long coup franc (47e) ! Cette fois, Raymond Domenech, sans réaction devant son banc de touche, devait réagir. Il lançait Govou (pour Gignac, Anelka passant en pointe) mais la grosse occasion à venir était encore pour l’Irlande. Sur un ballon perdu dans l’axe par un Lassana Diarra totalement méconnaissable, Duff se présentait seul face à Lloris qui remportait son duel (61e).
Cela ressemblait fortement à un tournant car dans la foulée, la France montait enfin le ton. Le danger approchait le but de Given par Gourcuff sur une remise d’Henry (71e) puis Anelka d’une tête décroisée (72e). Mais Keane parti dans le dos de Gallas effaçait Lloris d’un dribble trop long qu’il ne pouvait redresser (73e). Quelle occasion irlandaise, encore !
Le dernier quart d’heure était irrespirable, pas encore pour les supporters français qui entonnaient une Marseillaise pour contrer les chants irlandais. Sur le terrain, la bataille faisait rage, le jeu beaucoup moins. Les Français poussaient mais ils terminaient dans le désordre avec Florent Malouda en milieu… axial à la place de Gourcuff. Une dernière frayeur (Keane au-dessus, 90e) et un dernier espoir (centre d’Henry dans la surface détourné par Given) n’évitaient pas les prolongations, un moindre mal pour des Français totalement hors sujet. Mais hier, Henry n’avait pas ses mains dans les poches…
Patrick Vieira n’a pas été selectionné
Patrick Vieira ne figure pas, une nouvelle fois, dans la listedévoilée hier par Raymond Domenech. Sollicité par L’Equipe pour réagir à cette nouvelle non-sélection alors qu’il semble avoir recouvré une bonne partie de ses moyens, l’ancien capitaine (107 sélections) a admis : «Je savais ma situation délicate dans la mesureoù je ne suis pas un titulaire indiscutable dans mon club. (…)Je retrouve mon niveau, ce qui est encourageant. J’ai franchi cette étape. À présent, il me faut enchaîner les matches et être régulier.»
Maisil n’assène pas moins : «Je sais qu’à mon poste, il n’y a pas meilleur que moi en France à l’heure actuelle. Cela peut paraître prétentieux mais j’en suis persuadé». Un gros pavé dans le jardin dusélectionneur. Vieira ne vise qu’une chose : être présent au mois de juin en Afrique du Sud. «Je me suis fixé comme objectif de participerà la prochaine Coupe du monde. Ce qui est sûr, c’est que je ferai le maximum pour y être. Après, il y a un sélectionneur qui fera ses choix et les assumera.»
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La LFP versera 5000 E aux Yankees
04/11/2009
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Un huis-clos illégal
Le club des Yankee décide alors de porter l’affaire devant la justice, estimant que ses 5.500 membres qui ont souscrit un abonnement pour 19 matchs à domicile ont subi un préjudice, qu’il évalueau total à 36.316 euros. Le tribunal a estimé que le huis-clos décidé par la LFP était illégal, d’une part parce que la sanction n’était pas motivée, et d’autre part car il aurait dû être prononcé en complément d’une sanction principale, selon l’avocat des supporteurs, Olivier Grimaldi.
Mais dites moi un peu, le 20 novembre, ça serait pas un peu deux jours après le 18? Et que se passe-t-il le 18? Hein? Dites moi un peu? Le 18 novembre, c’est… C’est… Oui, France-Eire au Stade de France! THE big match! THE rendez-vous! Et voilà la LFP qui nous inflige un OM-PSG pile poil après une rencontre capitale pour l’avenir de la France en Coupe du monde!
Et nos internationaux alors? On y pense? Comment vont-ils faire? OM-PSG, c’est le duel au sommet du football français, la vitrine, le cadeau de Noêl fait aux audiences de Canal plus, d’accord! Mais tout de même, infliger deux rencontres de haut niveau à deux jours d’intervalle à tous les plus grands internationaux tricolores, c’est se moquer du monde! On veut les tuer ou quoi?
Oui? Que me dites vous? On s’en fout? Comment ça on s’en fout? Quoi? Y a qu’un seul international dans les deux équipes qui jouent le super sommet du championnat de France de Ligue 1? Et encore, il sera remplacant? Mandanda est le seul concerné par cette affaire et de toutes façons, il ne jouera pas contre l’Eire? Ah bon…
C’est pas rassurant tout ça sur la santé de notre football, non? Puisque c’est comme ça, je vais faire comme tout le monde. Je vais faire semblant de ne pas l’avoir remarqué…
«Il faudra qu’on m’explique pourquoi OM-PSG ne se joue pas le 2 décembre alors que nous allons jouer à Marseille ce même jour. Au lieu de ça on «emmerde» Boulogne et Sochaux que l’on considère comme des petits. Je sais qu’on nous prend pour des paysans. Mais on comprend les choses, on n’est pas aussi bêtes qu’on en a l’air», a confié Francis Gillot.
Fernando Torres a encore fait des misères à Manchester United (EFE)
Au terme d’une partie très engagée, Liverpool l’a emporté face à son éternel rival, Manchester United (2-0). Un grand soulagement pour les Reds qui reviennent à six points du leader, Chelsea.
par Teddy Vadeevaloo, le 25-10-2009
Liverpool-Manchester United 2-0
Liverpool : Torres (65e), NGog (95e)
La pression était intense autour de la maison Red. Liverpool et Benitez ne pouvaient pas passer à côté du rendez-vous face à Manchester United. Et les Reds n’ont pas déçu leurs fans en s’imposant de belle manière (2-0). Le duel tenait toutes ses promesses dès les premières minutes du match. Nullement fébriles, malgré le contexte pesant, les Reds ne se laissaient pas impressionner et faisaient preuve d’agressivité pour empêcher leurs ennemis jurés de pouvoir développer leur jeu. La tactique fonctionnait durant la première demi-heure, au cours de laquelle les locaux brillaient par leur capacité à occuper la moitié de terrain adverse. Van der Sar devait être vigilant successivement devant Fabio Aurelio et Kuyt (16e), avant de voir avec soulagement ce dernier gâcher un bon contre en croisant trop sa frappe (18e). Si MU répliquait timidement par une tête pas assez appuyée de Rooney (21e), Fabio Aurelio lui rendait la pareille dans une action similaire sans que Van der Sar ne soit inquiété (36e).
Avec un tel niveau d’engagement, le public restait malgré tout sur sa faim, les deux équipes peinant à emballer la partie. Très investis au pressing, les joueurs manquaient logiquement de lucidité à la finition, à l’image d’une action mal achevée du duo Benayoun-Kuyt (50e). Afin de mieux récupérer, Liverpool laissait le ballon aux Mancuniens pour mieux contrer. Stratégie gagnante. Les Reds trouvaient en effet enfin la faille suite à un contre bien lancé par Kuyt et achevé par l’éternel Torres, qui gagnait son duel avec Ferdinand et Van der Sar (1-0, 65e). Anfield explosait et poussait les siens à préserver ce maigre avantage. Car c’est au courage que les locaux subissaient les ultimes banderilles mancuniennes. Même si Lucas manquait le break (71e), Nani (77e) et surtout Valencia, contrarié par la barre (84e), faisaient frissonner les supporters locaux. Sans conséquence puisque le club de la Mersey tenait bon et faisait le break dans les arrêts de jeu grâce au nouvel entrant, NGog (2-0, 95e). Terminée avec une expulsion de chaque côté en fin de match, cette affiche fut à la hauteur de la tension vécue autour de la rencontre. Liverpool est éternel…
Le joueur du match
Il était incertain avec son compère Gerrard mais il a finalement foulé la pelouse d’Anfield. Et heureusement que Liverpool a pu compter dans ses rangs Fernando Torres ce dimanche après-midi. Car l’Espagnol a pesé sur la défense mancunienne par ses multiples décrochages et a fait souffrir la charnière Ferdinand-Vidic, le Serbe devant encore faire des cauchemars de l’attaquant de Liverpool. Auteur d’un but typique d’avant-centre, Torres a déjà marqué son neuvième but de la saison. Et celui-ci n’est pas le moins important…
Tactique et coaching
Parti dans un habituel 4-5-1, Benitez a interverti les positions de Benayoun et Kuyt, ce qui a eu le mérite de rapprocher le Néerlandais de Torres, à la complicité évidente. Coaching gagnant pour l’entraîneur menacé puisque le remplaçant NGog a clôturé le score. En fin de match, Liverpool est passé à un système à trois défenseurs pour annihiler les longues balles mancuniennes. Côté MU, Ferguson n’a pas dérogé en son 4-4-2 classique. Il a juste replacé Giggs dans l’axe pour amener plus de percussion sur les côtés dans le dernier quart d’heure. En vain…
On n’a pas aimé
Fernando Torres est décidément sa bête noire. Nemanja Vidic a été expulsé pour la troisième fois en trois matches face à Manchester United ! Et l’Espagnol n’y est pas anodin. Le Serbe a encore une fois rencontré pas mal de difficultés à contenir les assauts adverses. Liverpool n’est vraiment pas sa tasse de thé…
Résultats de la 10e journée :
Samedi 24 octobre
Wolverhampton-Aston Villa 1-1
Tottenham-Stoke City 0-1
Birmingham City-Sunderland 2-1
Burnley-Wigan 1-3
Hull City-Portsmouth 0-0
Chelsea-Blackburn Rovers 5-0
Dimanche 25 octobre
Bolton-Everton 3-2
Liverpool-Manchester United 1-0
A venir
Manchester City-Fulham
West Ham-Arsenal
L’ex capitaine de la Mannschaft revient aux affaires ! Au chômage depuis son limogeage du club israëlien du Maccabi Netanya en avril dernier, Lothar Matthaus vient de s’engager en faveur de la formation argentine du Racing Club.
« Matthäus a accepté la proposition du club et il en est son nouvel entraîneur » a déclaré le président Rodolfo Molina à la presse. Reste un point noir, et il est de taille. L’ancien international allemand ne parle absolument pas espagnol. Un interprète sera donc nécessaire pour assurer le dialogue entre le coach et ses joueurs.
Depuis qu’il a endossé le costume d’entraîneur en 2001, Matthäus a multiplié les clubs. Après le Rapid de Vienne, le Partizan Belgrade, la sélection hongroise, l’Atlectico Paranaense, le Red Bull Salzbourg et le Maccabi Netanya, le Racing est sa 7ème équipe.