Basket-Ball NBA / Ligue Midi Pyrénées
Posted at octobre 21, 2012 //
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Communiqué du 13ème Déjeuner-débat de la Francophonie « Simon Bolivar et la poésie de José Martí » à Boissières CC Grand Cahors.

21 octobre 2012.
Dans le cadre d’une consolidation de la Francophonie « Populaire », le Professeur Edmond JOUVE Président de la Francophonie Quercy-Périgord, vous invite au déjeuner débat d’information et de contacts à l’occasion de la 13ème conférence de la Francophonie « Simon Bolivar et la poésie de José Martí », à la Salle Polyvalente de Boissières le Vendredi 26 Octobre 2012 à 12H30. Cette conférence (déjeuner-débat) est ouvert à tous.
Ce déjeuner-débat s’effectue en concertation avec les partenaires de la Francophonie. Enfin, elle réitère sa disponibilité à continuer à organiser des manifestations ayant pour but la solidarité francophone.
Réservations 25€uros 0623387517 / 0565228068


Vous remerciant à l’avance, je vous attend le 26 octobre à 12H30 à Boissières (Lot).
Le Président Edmond Jouve et Osvaldo Villar
Tags : conférence, débat déjeuner-débat, Edmond Jouve, francophonie, Grand Cahors, jose marti, Le Petit Journal de Montauban, NouvelObs, Osvaldo Villar, simon bolivar, Sud-Ouest
Coupe de france Féminine de Basket Pradines-Luzech-Basket !
L’équipe locale s’est qualifiée pour le 3ème tour de la Coupe de France en battant Amou (Nationale 3) sur le score de 79 à 73 !
Belle prestation des locales qui sont la seule équipe du Lot qualifiée à ce stade. Le prochain tirage au sort est attendu avec impatience…
En attendant, place au championnat avec le difficile déplacement en terre Tarn & Garonnaise le week-end prochain, contre Montauban/Montech, un des derbys de la poule, toujours difficiles à appréhender !
Faisons confiance aux protégées de Zack Jones et Jean-Luc Restoy pour bien négocier ce virage avant la trève…

“Trop occupés à parler argent, primes de match et droits à l’image, les Fennecs ont fini par perdre leur concentration. Ils ne sont plus dans le coup.” Le constat porté par le quotidien Liberté au lendemain de la défaite concédée devant le Malawi (0-3) en ouverture de la CAN est sévère, mais largement partagé par l’ensemble des médias algériens. “On ne vas pas à la Coupe d’Afrique comme on va à un bal”, déplore El Watan. Des joueurs au sélectionneur Saâdane, tout le monde en prend pour son grade. Souvent avec virulence : “L’équipe nationale de football a fait le vide. Au sens propre du terme. Plus rien. Ni la hargne, ni l’envie et encore moins le niveau de jeu”, tranche Liberté.Rabah Saâdane, cible privilégiée de la presse ce mardi matin, est lui accusé par EL Watan , “d’avoir fait trop de compromis durant la phase de préparation” : “Saâdane, qui faisait valoir son titre de “spécialiste” en méthodologie sportive, ne voulait point reconnaître la gaffe du choix du lieu de la préparation (Marseille). Sous un thermomètre glacial, les joueurs n’ont vraiment pas pris plaisir à mettre le nez dehors. Et lorsque l’on saute d’un moins zéro à trente-huit degrés, bonjour les dégâts.” Ses hommes ne sont pas en reste : “Au Castellet de Toulon, plusieurs joueurs étaient plus préoccupés par leurs contrats publicitaires que par le travail.”
“LES VERTS NOUS DOIVENT UNE REVANCHE”
“Pourquoi donc un tel scénario catastrophique ?” s’interroge Liberté . Réponse : “L’Equipe nationale n’a pas joué de matches amicaux. Aucune équipe présente en Angola n’a adopté cette stratégie suicidaire”, condamne le journal. Le site internetTout sur l’Algérie va plus loin dans l’analyse. “On peut aussi s’interroger sur la pertinence des choix tactiques de Rabah Saâdane. Le sélectionneur national a opté pour un étrange 3-5-2. Face au Malawi, les attaquants ont fait preuve d’inefficacité inquiétante à l’image de Saïfi, désormais incapable de marquer même devant des buts vides. Cet après-midi, l’équipe nationale n’a rien montré de positif. Absolument rien.”
“Les Verts nous doivent une revanche”, estime Le Quotidien d’Oran. Mais L’Expression se montre déjà pessimiste : “Maintenant, tout est à refaire pour l’entraîneur Rabah Saâdane qui est appelé à fournir un travail gigantesque pour remotiver sa troupe, car perdre 3 à 0 est loin d’être facile à digérer pour une équipe qui joue dans la peau de mondialiste”.
“Il va falloir un véritable sursaut d’orgueil, jeudi, contre les Maliens pour éviter le naufrage précoce car une seconde défaite sera synonyme assurément d’élimination. Le plus dur est donc à venir. À Saâdane et aux joueurs de trouver des solutions. Le peuple, lui, est choqué par le désastre !”, conclut Liberté.
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Le basket féminin français fait des jaloux chez les hommes… |
AFP/JOE KLAMAR
Bourges s’est hissé jusqu’en quart de finale de l’Euroligue la saison passée. Emmeline Ndongue, internationale française, a fait le choix de poursuivre l’aventure avec le club champion de France.
Déjà trois journées d’Euroligue et aucune victoire pour les deux clubs français engagés, Orléans et l’Asvel. Triste constat mais qui n’est pas incongru au vu des dernières éditions de la plus prestigieuse des compétitions dubasket européen. La dernière participation au Top 16 d’un club françaisdate de la saison 2006-2007 (Pau-Orthez), celle à un Final Four remonteà 1997 avec l’Asvel. Les basketteurs tricolores font presque de la figuration sur la scène européenne, au contraire des filles. D’un exode plus récent des talents à une disparité budgétaire moins forte, divers éléments expliquent cette disparité.
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Bourges, le fleuron du basket féminin français, a remporté trois Euroligues en 1997, 1998 et 2001. Ces dernières saisons, les filles de Bourges ont atteint deux fois le Final Four en 2007 et 2008. L’année dernière, le club du président Pierre Fosset a été éliminé en quart de finale. Mais Bourges n’est pas isolé : Valenciennes a remporté égalementdeux fois la compétition (2002 et 2004) et disputé deux Final Four (2001 et 2003). Et un club comme Villeneuve-d’Ascq est parvenu à se hisser en huitièmes de finale en 2008.
François Gomez est l’entraîneur de Tarbes, vice-champion de France entitre et qui dispute l’Euroligue cette saison. Les filles de Tarbes se sont inclinées 73-68 en Pologne face à Gdynia, mais ont remporté leur premier match face aux Hongroise de Szeged. "On s’en sort pas mal même face à des équipes qui ont un budget trois à quatre fois supérieur,comme le club polonais. Je pense qu’on éprouve les mêmes difficultés enterme d’argent que les garçons face à nos adversaires étrangers", raconte-t-il.
DISPARITÉ BUDGÉTAIRE MOINS FORTE DANS LE BASKET FÉMININ
Une analyse nuancée par Pierre Fosset, président de Bourges, qui évoque une disparité moins forte que dans la compétition masculine. "Bourgesa un budget de 2 millions d’euros. Hormis les clubs russes comme le Spartak Moscou, Iekaterinbourg et Valence en Espagne, les budgets sont un peu mieux répartis chez les filles. La différence est moins énorme que chez les hommes", explique Pierre Fosset.
Gil Villain, vice-président des basketteurs d’Orléans, confirme cettepremière piste. "Il y a encore quelques années, un bon budget de Pro B suffisait pour gagner l’Euroligue féminine. Sans tout ramener à l’argent, il faut avoir les moyens de ses ambitions. Les grosses cylindrées espagnoles, turques, grecques ou russes alignent des budgets de 15 à 25 millions d’euros. Nous avons cette saison un budget de 4,8 millions d’euros environ. L’Asvel, c’est entre 7 et 8 millions d’euros."
UN EXODE DES JOUEUSES FRANÇAISES PLUS RÉCENT
Alors que les meilleurs joueurs français s’exportent depuis des années vers les championnats européens (Italie et Espagne principalement) et vers la NBA (12 Français cette saison), le mouvement est plus récent chez les filles. Selon l’entraîneur de Tarbes, François Gomez, les clubs féminins arrivent mieux à conserver leurs joueuses. "Lerêve d’un garçon quand il débute est d’aller en NBA. Une jeune fille rêve de l’équipe de France." Ces dernières saisons, plusieurs internationales françaises ont cependant rejoint l’étranger.
C’est le cas de Sandrine Gruda (Iekaterinbourg), d’Emilie Gomis (Naples), d’Elodie Godin (Tarante) ou encore de Céline Dumerc, la capitaine des Bleues, championne d’Europe en titre, qui a cédé aux sirènes russes d’Iekaterinbourg cette saison. "Nous avons réussi à garder Céline six saisons à Bourges. L’année dernière, elle avait déjà été sollicitée par Valence et le club russe. Elle avait choisi de resterpar fidélité. C’est un travail de fond d’arriver à créer un collectif et un esprit d’équipe. Seule la stabilité permet de bien figurer au niveau européen. C’est peut-être moins présent chez les garçons", se félicite Pierre Fosset.
LE BASKET FÉMININ FRANÇAIS MIEUX POSITIONNÉ
Pour Gil Villain, le vice-président d’Orléans, la différence est également culturelle. "Nous revenons de Belgrade, où nous avons perdu. J’ai été impressionné par la ferveur et l’enthousiasme du public.Le même soir, le Partizan a perdu en football face à Bruges. Les gens étaient heureux parce que l’équipe de basket avait gagné. En France, le foot domine tout." Et occupe l’espace médiatique du sport collectifmasculin. Il poursuit : "Le basket féminin français est mieux positionné par rapport à l’ensemble des sports collectifs féminins. Elles sont championnes d’Europe. Il y a à mon avis une capacité plus évidente à rassembler les énergies et les capitaux."
Gil Villain reconnaît la nécessité de "professionnaliser l’action" des clubs français. "On doit augmenter nos exigences pour convertir les efforts des joueurs sur le terrain. Cela passe aussi par la stabilité et l’expérience. D’une saison sur l’autre, les équipes françaises engagées en Euroligue ont été complètement renouvelées (Le Mans et Nancy en 2008-2009). Nous devons être constant au niveaufrançais pour pouvoir grandir", livre-t-il, en espérant pouvoir suivre l’exemple des clubs de basket féminin.
Zone euro: le chômage continue d’augmenter et les prix de reculer
Le chômage continue d’augmenter dans la zone euro et les prix à la consommation de reculer, selon des données publiées vendredi, une conjonction qui d’après les économistes devrait encourager la Banque centrale européenne (BCE) à laisser ses taux inchangés pour un moment.

AFP/Archives
L’Office européen des statistiques Eurostat a recensé en septembre 184.000 sans-emploi de plus qu’en août, ce qui a fait grimper le taux de chômage de 9,6% à 9,7%, soit son plus haut niveau depuis janvier 1999.
Au total, la zone euro comptait en septembre 15,324 millions de chômeurs.
Dans l’ensemble de l’Union européenne, le taux de chômage a progressé de 9,1% à 9,2%, un record depuis le début de la série de statistiques en janvier 2000. L’UE comptait 22,123 millions de chômeurs, soit 286.000 personnes de plus qu’en août.
Par ailleurs, les prix à la consommation ont reculé en octobre pour le cinquième mois d’affilée, de 0,1% sur un an, selon une première estimation d’Eurostat.
Depuis le pic historique de +4% enregistré en juillet 2008, l’inflation n’a cessé de ralentir rapidement puis est devenue négative dans le sillage du repli des prix pétroliers et de la pire récession traversée par la région depuis 1945.
L’inflation s’était ainsi établie à -0,3% en septembre, -0,2% en août, -0,7% en juillet et -0,1% en juin.
Cette situation est toutefois temporaire.
Vu l’évolution des cours pétroliers et des taux de change, "l’inflation devrait revenir en territoire positif le mois prochain", mais rester faible durant les deux prochaines années, estime Costa Brunner, économiste chez Natixis.
Un avis partagé par son collègue Howard Archer chez IHS Global Insight, qui souligne en revanche que "le chômage va probablement monter significativement plus haut".
D’autant que le retour de la zone euro à la croissance, annoncé pour le troisième trimestre, "ne sera probablement pas assez fort pour générer des créations nettes d’emplois avant un temps considérable", prévient-il.
Dans ces conditions, la BCE devrait laisser son taux directeur, actuellement à 1%, inchangé pendant plusieurs mois.
Costa Brunner dit ainsi s’attendre à une première hausse de taux seulement mi-2011.
Faciles contre New Orleans la veille, les Spurs se sont inclinés la nuit dernière sur le parquet des Bulls de Joakim Noah (92-85). Carmelo Anthony a quant à lui sorti un match à 41 points pour que les Nuggets l’emportent à Portland (94-97).
Par Osvaldo Guerra y Villar, le 30-10-2009
Le match de la nuit : Chicago-San Antonio
«Ça joue pas mal aux Spurs», confiait un Joakim Noah respectueux à nos confrères de Basket News il y a quelques jours. La nuit dernière, ce sont pourtant bien les Bulls qui ont su se faire respecter par San Antonio au United Center (92-85). Et ce malgré un Tim Duncan flamboyant (28 pts, 13/19, 16 rbs, 3 co). Maladroits aux shoots (42,3%, 19% à 3 pts) et dominés dans la peinture (52-44), ses coéquipiers ne lui ont pas apporté suffisamment de soutien, à l’image de Richard Jefferson (9 pts, 3/9) ou Tony Parker (8 pts, 4/11). Vinny Del Negro a quant à lui pu compter sur les qualités de Luol Deng (17 pts, 9 rbs) ou encore Joakim Noah (10 pts, 10 rbs, 2 co) pour s’offrir le scalp d’une équipe de San Antonio qui avait écarté New Orleans sans difficulté la veille (113-96).
«Chicago a très bien joué, admettait «Pop» dans les colonnes du SA Express News. Ils ont eu plus de joueurs compétitifs que nous. Seul Tim Duncan l’a été. Ce n’est pas suffisant.» Emmenée par un Derrick Rose inspiré (13 pts, 7 pds), bien qu’il ait manqué la majeur partie de la présaison en raison d’une blessure à la cheville, la franchise de l’Illinois a fait le trou dans le troisième quart temps (27-18). Elle ne comptait qu’un point d’avance à la pause (47-46, 74-64 au début du dernier quart). Auteur de ses 13 points en deuxième mi-temps, Tyrus Thomas n’est pas étrangé au succès de son équipe… Les Bulls auront fort à faire pour enchainer avec une deuxième victoire de rang puisqu’ils devront se rendre à Boston la nuit prochaine. S.A a un jour pour récupérer de son back-to-back avant de recevoir Sacramento.
La nuit des Frenchies :
Si le duel Parker-Noah faisait office de tête d’affiche en ce qui concerne les Frenchies (voir : Le match de la nuit), on aurait aussi pu assister à une opposition entre Joahn Petro et Nicolas Batum du côté du Rose Garden. Il n’en a rien été. Blessé à l’épaule, le sophomore des Blazers est out pour plusieurs mois. Il passera sur la table d’opération ce vendredi. L’ancien Palois n’a pas joué non plus. Mais juste parce que George Karl en a décidé ainsi… «Le coach a sa rotation depuis maintenant deux ans au niveau des intérieurs, expliquait-il avant la reprise. Il tourne avec trois rotations (Ndlr : Nene, Kenyon Martin, Chris Andersen). S’il y a un blessé ou des fautes, il en utilise une quatrième.» Ce n’était donc pas pour cette fois… A noter que Petro avait également été laissé de côté lors du premier match des Nuggets contre le Jazz (114-105). «Je continue à travailler, je me dis que la saison est longue, positive-t-il. On ne sait jamais de quoi demain sera fait. Je me tiens prêt pour que le jour où je suis appelé, je puisse répondre présent.»
T. Parker (Chi-S.A, 92-85) : 8 pts, 4/11, 3 rbs, 3 pds, 1 co, 35 min
I. Mahinmi (Chi-S.A, 92-85) : DNP
J. Noah (Chi-S.A, 92-85), 10 pts, 4/8, 10 rbs, 3 pds, 2 co, 27 min
J. Petro (Por-Den, 94-97) : DNP
N. Batum (Por-Den, 94-97) : DNP (blessé, épaule)
Le MVP de la nuit : Carmelo Anthony
Meilleur marqueur de la présaison (23,6 pts/match), 30 points contre Utah, 41 la nuit dernière à Portland… Carmelo Anthony démarre la saison en trombe. L’ailier des Nuggets a notamment brillé sur la ligne de réparation dans l’Oregon (18/19), mais pas que (11/21, 6 rbs, 3 pds). C’est lui qui a tenu son équipe à bout de bras en fin de match avec 19 points lors des 10 dernières minutes (94-97). «Melo», qui a remporté son duel face à Brandon Roy (30 pts, 5 pds, 5 rbs), s’est en outre chargé de rentrer deux lancer-francs décisifs dans les ultimes secondes.
A retenir aussi :
Si Melo Anthony a rentré deux lancers dans le méga-money-time, Greg Oden aurait bien aimé en faire de même… Le numéro 1 de la draft 2007 a manqué ses deux tentatives alors qu’il aurait pu donner une longueur d’avance à Portland, qui a par ailleurs rentré 80,5% de ses tirs de réparation… LaMarcus Aldridge a lui aussi raté un lancer décisif quelques secondes plus tôt et Brandon Roy a eu le panier à trois points de l’égalisation entre les mains au buzzer. Un tir impossible toutefois.
Les résultats de la nuit :
Chicago-San Antonio 92-85
Portland-Denver 94-97