Economie
Posted at octobre 21, 2012 //
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Communiqué du 13ème Déjeuner-débat de la Francophonie « Simon Bolivar et la poésie de José Martí » à Boissières CC Grand Cahors.

21 octobre 2012.
Dans le cadre d’une consolidation de la Francophonie « Populaire », le Professeur Edmond JOUVE Président de la Francophonie Quercy-Périgord, vous invite au déjeuner débat d’information et de contacts à l’occasion de la 13ème conférence de la Francophonie « Simon Bolivar et la poésie de José Martí », à la Salle Polyvalente de Boissières le Vendredi 26 Octobre 2012 à 12H30. Cette conférence (déjeuner-débat) est ouvert à tous.
Ce déjeuner-débat s’effectue en concertation avec les partenaires de la Francophonie. Enfin, elle réitère sa disponibilité à continuer à organiser des manifestations ayant pour but la solidarité francophone.
Réservations 25€uros 0623387517 / 0565228068


Vous remerciant à l’avance, je vous attend le 26 octobre à 12H30 à Boissières (Lot).
Le Président Edmond Jouve et Osvaldo Villar
Tags : conférence, débat déjeuner-débat, Edmond Jouve, francophonie, Grand Cahors, jose marti, Le Petit Journal de Montauban, NouvelObs, Osvaldo Villar, simon bolivar, Sud-Ouest
Posted at février 11, 2011 //
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Washington : vendange record à prix record, le riesling et le malbec ont le vent en poupe 10/02/2011
L’Etat de Washington a pressé 160 000 tonnes de raisins de cuve à l’issue de sa vendange 2010, contre 156 000 tonnes en 2009, soit une augmentation de 2,5 %, selon les données publiées récemment par le Département américain.
Tags : Cahors Malbec, Cépage Malbec, Le Malbec à Washington, raisin de Malbec, USA et Malbec, vignes Malbec, vin de Malbec

La vente de Yoplait suscite l’appétit de Nestlé et voilà une autre société française qui s’en va chez les Suisses !
La revue de presse de Challenges.fr A la une également, François Fillon candidat à sa propre succession, l’affaire de l’espionnage de journalistes, le cambriolage chez Bernard Tapie, la possible suppression du Téléthon, le prix du gaz stable…
(c) Sipa
Jeudi 4 novembre 2010, le tour de la presse économique par Marco Mosca.
François Fillon ne se voit pas quitter l’hôtel Matignon pour les fêtes. Il l’a rappelé hier dans un discours devant des ingénieurs, dans lequel il a vanté son bilan, en se faisant le partisan de la continuité. "Je crois à la continuité de notre politique réformiste parce que l’on ne gagne rien à changer de cap au milieu de l’action et parce que le redressement de la France réclame de la durée". Libération ironise sur la capacité du Premier ministre à transformer "chacun de ses discours en vibrant testament politique". Et de rappeler que le chef de l’Etat attendait le moment où François Fillon allait se porter publiquement candidat à sa propre succession. "C’est presque fait", conclut le quotidien. Pour Le Figaro, François Fillon lance la contre-offensive en voulant montrer qu’il n’avait de leçon à recevoir de personne en matière de politique sociale, Jean-Louis Borloo se faisant depuis quelque temps le chantre du dialogue social. Le Parisien rappelle l’animosité entre l’actuel Premier ministre et son prétendant, Jean-Louis Borloo. "Les deux homme ne se sont jamais appréciés, mais depuis quelques semaines, leur animosité a pris un tour plus virulent, François Fillon qualifiant de ‘zozo’ son éventuel successeur". Selon un sondage publié par La Tribune (sondage BVA-Avanquest pour BFM et le quotidien), huit français sur dix pensent que le changement de gouvernement ne permettra pas à Nicolas Sarkozy de regagner la confiance de ses compatriotes.
Et aussi…
Après les accusations portées par le Canard Enchaîné sur le rôle supposé du président de la République dans l’espionnage de journalistes, Libération revient sur cette affaire en donnant la parole à Bernard Squarcini, le patron de la DCRI. "Je ne reçois pas d’ordre de Sarko mais d’un patron, le directeur général de la police nationale", explique-t-il au quotidien. Il ajoute: "je n’ai pas volé d’ordinateurs, je ne m’intéresse pas aux journalistes, mais aux sources lorsqu’elles sont hauts placées dans des cabinets ministériels". Squarcini précise également qu’il n’a pas "de cabinet noir à la DCRI. Je n’ai plus de section presse comme avant aux RG". Il admet toutefois l’existence d’une enquête judiciaire de la DCRI après une plainte du ministre des Affaires étrangères, Bernard Kouchner. Il se défend bien évidemment de ne pas être "la Gestapo" et la DCRI "la Stasi". Libération termine son enquête en citant deux sources du milieu du renseignement qui expliquent que "les experts en la matière se situent bien plus haut que les services: ‘à demeure, au château’, c’est-à-dire à l’Elysée".
Dans un entretien au Figaro, Gilles Pélisson, le patron évincé de la tête d’Accor à cause de "divergences stratégiques", s’explique. "Un dirigeant a besoin d’être soutenu par ses grands actionnaires et son conseil d’administration. Des divergences sont apparues. […] Aujourd’hui, je reprends ma liberté. Il est sain de changer de pilote quand tout va bien". Il précise notamment que "les divergences stratégiques portent sur une accumulation de petites choses, telles que des désaccords sur les priorités de développement, la politique de croissance externe, la stratégie marketing, informatique…". Et de conclure, "je quitte le groupe la tête haute".
Dans Les Echos, le rapporteur général du Budget au Sénat, Philippe Marini (UMP) considère qu’il faut réduire de moitié le poids de l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF). Pour cela, il faut "relever le seuil de déclenchement de l’impôt, de 770.000 à 1 millions d’euros par exemple, et imputer les taxes foncières sur la dette d’ISF. Il faut également accroître, de 30% à 50% l’abattement prévu pour la résidence principale.[…] Il faut enfin essayer d’établir un lien entre le taux du barème (1,8% maximum) et les taux de rendement des actifs financiers". Et d’ajouter, "dès lors, le bouclier fiscal, qui n’est plus défendable, n’aurait plus de nécessité".
Selon un sondage BVA-La Tribune, 53% des adeptes du téléchargement illégal ont diminué ou cessé cette pratique depuis le vote de la loi de lutte contre le piratage (Hadopi). "Et cet effet est dû uniquement à la publicité faite autour de cette loi".
France Télévisions pourrait ne pas reconduire le Téléthon l’année prochaine. C’est ce que croit savoir Le Figaro qui indique que le nouveau président du groupe, Rémy Pflimlin aurait indiqué à la présidente de l’Association française contre les myopathies, Laurence Tiennot-Herment, qu’en l’état actuel des choses, il ne pouvait renouveler la convention triennale qui lie l’AFM à France Télévisions depuis 23 ans… A l’origine, la polémique lancée par Pierre Bergé l’an dernier qui accusait le Téléthon de "parasiter la générosité des Français"… La direction de France Télévisions a réagi à l’information en indiquant qu’elle réfléchissait à "une nouvelle formule" tout en affirmant qu’elle n’avait "aucune volonté" de mettre un terme à cette opération caritative dont elle veut rester "partenaire".
Bernard Tapie a été victime d’un important cambriolage dans son hôtel particulier de la rue des Saints-Pères, dans le VIIe arrondissement à Paris. Ainsi, selon Le Parisien, de nombreuses pièces d’argenterie ont été volés par de "mystérieux ‘visiteurs’". Le préjudice s’élèverait selon l’homme d’affaires à 500.000 euros.
Nestlé serait en discussion avec le français Lactalis autour d’une offre commune sur Yoplait, selon Le Figaro qui indique que "le leader mondial de l’agroalimentaire, est en embuscade.
Interrogé jeudi par l’AFP sur le processus de vente de sa participation, le fonds d’investissement PAI Partners a indiqué que celui-ci devrait débuter vers la mi-novembre pour se prolonger jusqu’en mars 2011. S’agissant de la candidature du numéro un mondial des produits alimentaires, PAI Partners a indiqué que la procédure n’étant pas encore lancée, le groupe helvétique avait manifesté un "intérêt strictement médiatique". Nestlé, via sa filiale en France, s’est refusé à tout commentaire.
Selon Le Figaro, le groupe suisse prépare plusieurs options en vue de faire, le cas échéant, une offre de rachat de la moitié du capital". Et de préciser que "deux options s’offrent au géant suisse. L’option privilégiée consiste à s’associer à Lactalis, selon plusieurs sources" pour déposer une offre commune. Certains n’excluent pas sinon que Nestlé "puisse faire cavalier seul sur le dossier".
Selon Le Wall Street Journal qui cite une étude, les bonus de Wall Street devraient croître de 5% cette année. Si les bonus des traders accusent le coup, ceux des employés de Hedge funds et du secteur du private equity, comme ceux des banques de détail, devraient compenser ces pertes.
Les prix du gaz ne devraient pas augmenter au 1er janvier, contrairement à ceux de l’électricité, selon Le Figaro.
Posted at septembre 29, 2010 //
Economie
L’hôtellerie et le bâtiment embauchent dans le Lot

Chômage en baisse

Thierry Couve, directeur territorial de Pôle Emploi, se satisfait des derniers résultats enregistrés.
Thierry Couve, directeur territorial de Pôle emploi, annonce une baisse de 0,4 % de demandeurs d’emplois dans le Lot. L’hôtellerie et le bâtiment sortent la tête de l’eau.
Comment expliquez-vous cette baisse encourageante ? Cet été, nous avons recueilli beaucoup plus d’offres que les années précédentes à la même période. Au 31 août, nous comptabilisions 70 12 offres. C’est une hausse de 22,4 % par rapport à août 2009. Le Lot se situe même au-dessus de la moyenne régionale qui est de + 19 % d’offres durant l’été 2010.
Quels sont les secteurs qui recrutent dans le Lot ?
Sur la période évoquée, l’hôtellerie reste encore le leader avec des saisonniers, principalement dans ce secteur. Maispa seulement. 44 % des offres reçues sont des emplois durables, c’est-à-dire des contrats dépassant au moins six mois. 37 % sont des CDI (Contrats à durée indéterminée). Le secteur du bâtiment continue à nous offrir de l’emploi. Mais nous avons hélas certaines difficultés à trouver de la main-d’œuvre qualifiée. C’est pourquoi nous accentuons notre partenariat avec le GEIQ-BTP 46 (Groupement d’employeurs pour l’insertion et la qualification). Je ne veux pas dire par là que le bâtiment va très bien, mais le bâtiment va mieux.
Quelles ont été les principales actions de Pôle emploi qui ont, en partie, participé à la baisse du nombre de demandeur d’emploi ?
Nous nous sommes améliorés en matière de recueil d’offres en privilégiant surtout le contact direct avec les entreprises. Nos équipes se déplacent beaucoup plus sur le terrain. Nous nouons des contacts solides avec les chambres consulaires et de nouveaux partenaires.
Sur quels domaines mettez-vous l’accent pour aider les demandeurs d’emploi ?
Nos domaines d’intervention sont très variés. Nous les multiplions pour garantir les meilleures chances de succès aux demandeurs d’emploi et aux recruteurs en quête du candidat qui répond à ses attentes. La formation, l’information, l’aide au recrutement et l’appui logistique constituent nos principales forces. Pôle emploi joue essentiellement un rôle pédagogique. Il est en effet important de présenter nos champs d’actions très élargis à nos partenaires et aux demandeurs afin qu’ils utilisent au mieux tous les outils que nous mettons à leur disposition.
Le Lot recrute-t-il vraiment, ou les demandeurs doivent-ils plutôt se résigner à quitter leur département pour trouver du travail ?
Vous savez, à l’heure de la mondialisation la société et le marché du travail sont en perpétuel mouvement. Les Lotois à la recherche d’un emploi n’hésitent pas à s’exiler. On constate surtout ce phénomène dans le nord du Lot où certains partent vers la Corrèze ou la Dordogne. En revanche, le flux inverse est minoritaire.
Nicolas Sarkozy défend la ruralité dans le Loir et Cher
10/02/2010 .
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Tract distribué par des agriculteurs pour attirer l’attention des pouvoirs publics sur leurs conditions de vie, à l’occasion d’un déplacement dans la région de Nicolas Sarkozy dans le Loir-et-Cher sur le thème de «l’avenir des territoires ruraux. Crédit photo : AFP
Le chef de l’Etat a profité de ce déplacement rural pour faire campagne en faveur d’Hervé Novelli qui brigue la présidence du Centre.
«Monsieur le président, monsieur le président… ». Ce 9 février, ils sont nombreux les habitants du Loir et Cher à avoir bravé le froid et la neige pour tenter de serrer la main du chef de l’État. Avant de prononcer son discours de clôture des assises des territoires ruraux dans la salle polyvalente de Morée, le président de la République prend son temps pour aller à la rencontre de ces habitants qui ont choisi de vivre à la campagne. En trente ans, leur nombre a augmenté de deux millions et de demi. Désormais un Français sur quatre vit en milieu rural. «Attention, ne prenez pas froid», dit-il à une petite grand-mère venue en curieuse à Souday, première commune visitée sur les quatre au total. C’est une charmante bourgade de 500 habitants, célèbre pour son clocher atypique et son autel en hauteur mais aussi pour son relais poste installé chez l’épicière d’en face, madame Lourdel. Même le président de la Poste, Jean-Paul Bailly fait partie de la délégation au même titre que deux ministres, au premier desquels Michel Mercier, en charge de l’Espace rural et de l’Aménagement du territoire, – il a lancé les assises à l’automne dernier -, et aussi Roselyne Bachelot ministre de la Santé. Font aussi partie du déplacement, deux secrétaires d’État: Nathalie Kosciusko-Morizet pour l’économie numérique, sans oublier le régional de l’étape Hervé Novelli, en charge du Commerce. Celui-ci brigue la présidence du Conseil régional du Centre, actuellement détenue par le socialiste François Bonneau et que la droite estime pouvoir conquérir vu la très faible notoriété de l’exécutif actuel.
La baisse de la TVA au menu
«La gauche est très divisée dans notre région qui fait partie avec la Champagne-Ardenne, la Bourgogne, la Lorraine et les Pays de la Loire des régions gagnables», déclare en marge de la visite, Maurice Leroy, président du Conseil général du Loir et Cher, ancien communiste désormais au nouveau Centre. Nicolas Sarkozy d’habitude si pressé se prend au jeu. «Je donnerai ton dessin à Carla», dit-il à la petite Léa qui lui tend un coeur qu’elle a fabriqué. A l’entrée du café brasserie de la place du village, le ton est plus sérieux. La baisse de la TVA est au menu. «Je sais que c’est difficile pour vous, on ne vous laissera pas tomber. Quand je pense que me suis fait attrapé sur l’histoire de la TVA, je préfère être félicité par vous que le contraire », dit-il aux gérants derrière leur comptoir. Puis le président remonte en voiture direction Cormeron. Là des salariés d’une entreprise de nettoyage industriel l’attendent. Il s’attarde avec eux et discute football avec le mauvais score du PSG face à Lorient le dimanche d’avant.
Pour la troisième étape c’est dans une maison pluridisciplinaires de santé de Mondoubleau où s’arrête le président de la République. Il s’inquiète de la surcharge de travail des médecins de campagne avec l’un de ses interlocuteurs qui lui avoue avoir 40 consultations quotidiennes. Enfin c’est avec une demi heure de retard qu’il arrive à Morée où l’attendent un parterre d’élus et de responsables locaux.«Il n’y a pas de France vivante sans des campagnes vivantes. C’est une particularité française, c’est notre âme et notre identité, insiste-t-il. C’est pourquoi j’ai voulu un débat sur l’identité nationale et qu’il se poursuivra au-delà des premières orientations dessinées lors du séminaire gouvernemental», poursuit-il promettant d’y revenir lui-même dès avril prochain.
Truffée de pièges, la mission de François Fillon en Chine est considérée comme accomplie par le Premier ministre, qui a fait preuve de discrétion sur les sujets de discorde pour réchauffer les relations avec Pékin.
Envoyé par Nicolas Sarkozy, François Fillon est arrivé dimanche dans la capitale chinoise, au lendemain du demi-échec de Copenhague et alors que la Chine tire la croissance mondiale, plaçant ses interlocuteurs en situation délicate.
Il s’est donc contenté de préparer le terrain, tant commercialement que diplomatiquement, à la visite que le président français effectuera en Chine au printemps 2010.
"J’avais pour mission de remettre les relations franco-chinoises sur les rails. Je crois que cette mission a été accomplie", s’est félicité François Fillon mardi, lors de sa conférence de presse de clôture.
Plusieurs sources gouvernementales ont affirmé que la rencontre avec son homologue chinois Wen Jiabao s’était bien déroulée, durant 20 minutes de plus que prévu.
"Vous êtes parvenus à un consensus intéressant avec le Premier ministre", lui a dit le président chinois Hu Jintao.
Marchant sur des oeufs après les critiques de Nicolas Sarkozy sur le comportement chinois à Copenhague, François Fillon s’est en effet mis d’accord avec Wen Jiabao sur une position commune: chaque pays a fait ce qu’il pouvait.
"Je respecte les positions qui sont celles de chacun des pays qui participaient à cette conférence, parce que chacun à ses exigences, ses propres défis à relever", a-t-il dit mardi devant des étudiants chinois à l’université de Beihang.
"LES CHOSES VONT MIEUX"
Sur le sujet des droits de l’homme, le Premier ministre a estimé que la Chine n’avait pas besoin de sa visite pour connaître la position de la France et s’est retranché derrière l’Union européenne, qui a adopté une position commune.
L’aide française en matière technologique et éducative, avec la formation d’avocats et magistrats chinois, "est beaucoup plus utile que de grandes déclarations sans lendemain", a-t-il dit.
"La Chine est un immense pays qui doit régler ses problèmes par lui-même et c’est folie que de penser que c’est de l’extérieur que l’on fera changer tel ou tel aspect de la vie en Chine", a résumé le Premier ministre.
"Et de la même façon, la France est une très vieille démocratie où la parole est libre, où chacun s’exprime comme il l’entend. C’est notre tradition. Le gouvernement chinois doit l’accepter", a-t-il ajouté.
Pour le secrétaire d’Etat aux Transports, Dominique Bussereau, le bilan de la visite est bon : "Les choses vont mieux qu’elles ne sont allées à un certain moment."
Mais bien que les patrons français affirment que la brouille diplomatique n’a pas joué sur leurs relations commerciales avec Pékin, la moisson de contrats a été faible.
Le seul accord notable est signé par Safran et l’Américain General Electric pour la fourniture du moteur du futur avion chinois, le C919.
LA FRANCE À LA TRAÎNE EN CHINE
Pour le reste, la France a passé des accords de coopération et de transferts de technologie, et la poursuite de la construction et l’ingénierie de la future centrale nucléaire de Taishan sera bien assurée par EDF et Areva.
L’application de la lettre d’intention pour l’achat de 20 A350, signée en 2006, reste en souffrance, même si Louis Gallois, P-DG d’EADS, a dit ne pas désespérer.
Il espère aussi vendre à Pékin des hélicoptères EC175, fabriqués par sa filiale Eurocopter et un partenaire chinois.
Sur les transports, troisième point fort français en Chine, Dominique Bussereau a indiqué que la présence de cadres d’Alstom avait pour seul objectif "de rester dans le jeu".
"Dans le ferroviaire, le jeu va devenir difficile…mais jouable", a-t-il dit à Reuters.
Pour le reste, la France reste à la traîne. Elle n’est que le quatrième investisseur européen en Chine et ne pointe qu’au 14e rang mondial.
"Nous sommes très concentrés sur un certain nombre de produits et d’autres pays peuvent développer une gamme beaucoup plus grande", a reconnu Louis Gallois, présent à Pékin.
François Fillon a enfin transmis la critique de Paris sur la faible flexibilité du yuan et souhaité que la Chine participe à la refonte du système monétaire mondial, que la France entend mettre en place lorsqu’elle présidera le G20, en 2011.
Deux jours de discussions diplomatiques, commerciales et monétaires ont conduit François Fillon, émissaire de Nicolas Sarkozy, à inverser les rôles dans un lapsus inachevé.
Il a rappelé, devant les étudiants de la promotion François Fillon de Beihang, que 2010 serait le théâtre de "la venue pour l’inauguration de l’exposition de Shanghaï du Premier min…du président Nicolas Sarkozy". cw<
Solidarité pour sauvegarder vingt emplois à Salviac.
Réouverture du magasin et de l’usine Martegoutte.
Décidément l’entreprise de foies gras Martegoutte de Salviac n’a pas de chance. Les vingt salariés de l’usine ont acquiescé le coup dur après la destruction de l’usine par un incendie, pour réfléchir et faire face à cette période de crise. L’équipe battante de l’usine Martegoutte s’est serré les coudes autour de Philippe Martegoutte ils ont installé le matériel de leur usine dans un local bien choisi à côté du magasin de ventes qui a fait sa réouverture, dès lundi 07 décembre 2009 à 1 km plus loin (tout droit) de l’ancienne usine direction Cazals (chez M. Pelissié) des panneaux de signalisation vous indiqueront la route. Le patron Philippe Martegoutte nous confie que tout a été fait solidairement afin de continuer, et repartir de bon pied en attendant la reconstruction et réouverture de la nouvelle usine en juin 2010. En attendant les activités ont repris et sont quasiment normales : « la solidarité Lotoise et locale est la bienvenue en cette période des fêtes où nous avons besoin de ventes », vendre c’est notre objectif, notre but afin de sauvegarder et maintenir les vingt emplois qu’il faut sauver coûte que coûte. Le personnel se joint à moi pour remercier toutes celles et tous ceux qui nous ont témoigné leur soutien. Donc en cette période de fêtes faites vos achats et cadeaux au magasin Martegoutte. C’est aussi une manière de vous faire plaisir et d’aider à sauvegarder des emplois à Salviac en Bouriane.
Les Emplois d’Auvergne : 29 entreprises proposent 1550 emplois
En Auvergne, l’industrie demeure un secteur important dans la région, avec 20 % des emplois salariés, pour 18 % au niveau national, rappelle l’Insee.
La chimie, le caoutchouc ou les plastiques emploient un actif auvergnat sur dix (1). Forte présence du groupe de pneumatiques Michelin oblige. Quant au secteur tertiaire, il occupe plus de deux emplois sur trois. Depuis 1989, c’est un secteur qui a gagné 34 % d’emplois quand, dans le même temps, l’ensemble de l’emploi régional n’en gagnait à peine plus de 6 %… L’évolution dans ce secteur en Auvergne se situe encore en retrait par rapport à la progression nationale (de 39 %), relève toutefois l’Insee dans une étude qu’elle vient de publier (2).
Si certains secteurs d’activités traditionnels traversent une crise, comme la coutellerie par exemple dans le bassin thiernois, de nouveaux champs d’emplois se dessinent avec l’implantation de centres d’appels qui créent des postes notamment dans l’Allier (Satel). « Les centres d’appels prennent de plus en plus d’importance, explique Jean-Pierre Maillot, le directeur de l’Agence régionale pour le développement économique (Arde). Nous sommes un peu une terre vierge pour ce genre d’activités. De nouveaux projets d’implantation sont en voie d’aboutir ».
Le secteur de l’aéronautique se restructure, mais se développe aussi, à l’image d’Alcan Rhenalu, qui emploie 1 500 personnes à Issoire. La direction de ce site métallurgique dédié à l’aéronautique ne souhaite toutefois pas dévoiler ses embauches pour l’année à venir. Regional, qui a installé la maintenance de ses avions Embraer sur la zone aéroportuaire, continue également d’embaucher.
« Globalement, l’emploi industriel a tendance à diminuer, mais il y a davantage de recrutements dans les services aux entreprises », constate Hervé Chauvin, responsable des affaires régionales à la Banque de France
. Comme chez Cap Gemini, ou Percall, un nouveau venu à Cusset. Cette société lyonnaise, spécialisée dans l’ingénierie informatique, apporte des compétences dans le domaine du logiciel. De même, plusieurs entreprises de biotechnologies tirent leur épingle du jeu, à l’exemple de Metex et Greentech, deux start-up qui recrutent chaque année quelques personnes supplémentaires.
(1) Le taux est de 3 % au niveau national
(2) Tableaux économiques de l’Auvergne 2005/2006.
Vous allez payer la dette
Le 16 décembre 2009
Présentant les priorités du grand emprunt, Nicolas Sarkozy a renouvelé un de ses engagements: il n’augmentra pas les impôts. Enfin, pour être plus précis, le gouvernement qu’il a nommé ne présentera pas un budget contenant des hausses d’impôts. Et le chef de l’Etat de réaffirmer la permanence du bouclier fiscal, la nécessité de baisser la TVA dans les cafés restaurants – au passage, on aura appris que l’hôte de l’Elysée ignore que la chaîne Burger King a quitté la France il y a au moins 10 ans – ou la suppression de la taxe professionnelle.
22 milliards supplémentaires levés sur les marchés financiers, un déficit qui a cru à cause de la crise mondiale et des impôts qui n’augmenteront pas, tel est le pari du président de la République. Le tout dans un cadre européen qui prévoit une certaine orthodoxie budgétaire depuis l’adoption du Pacte de stabilité. Il sera aussi difficile de combiner ces différentes contraintes que de faire rouler une voiture avec des roues carrées. Suffira-t-il de ne pas remplacer un fonctionnaire sur deux, comme s’y est engagé le président de la République, pour rembourser la dette ? La bonne gestion voudrait qu’à la précision des nouvelles dépenses correspondissent des annonces aussi précises des budgets à réduire !
Précieuse consommation
Dans la conjoncture actuelle, annoncer des hausses d’impôt serait pour le moins délicat. Depuis longtemps, les économistes ont montré que les agents économiques tenaient compte de ces hausses dans leur comportement. Plus d’impôt, c’est moins de revenu disponible, et donc moins de consommation. Un ralentissement de cette dernière ne serait pas la bienvenue par les temps qui courent. Elle reste, en effet, le moteur de la croissance française. Pour la soutenir, il faudrait dynamiser les revenus distribués aux ménages, une décision qui n’est pas vraiment à l’ordre du jour. Aller en répétant qu’on n’augmentera pas les impôts est donc une sorte de nécessité pour un chef de l’Etat en période de crise.
Pourtant, l’annonce d’une réduction des dépenses publiques pourrait avoir un effet similaire. Les ménages de la classe moyenne n’ont-ils pas compris qu’une réduction du périmètre de la fonction publique c’est davantage de dépenses à leur charge qui réduiront d’autant leurs dépenses de consommation ? Les Français savent désormais qu’un plan de sauvetage de la sécu, ce sont des cotisations pour la mutuelle qui augmentent, que la réduction des moyens alloués à l’éducation nationale, c’est davantage de cours particuliers à payer pour les enfants. Sans parler de la réaction prévisible des jeunes fonctionnaires, tel que l’a analysée Eric Maurin.
L’emprunt, un outil d’hier pour préparer demain ?
Reste que des voix s’élèvent pour s’interroger sur la pertinence de l’outil choisi pour préparer l’avenir : un grand emprunt et des investissements massifs venus d’en haut. Certains estiment qu’un fond d’investissement nourri par l’épargne des Français sur le modèle des Fonds d’investissement de proximité aurait été plus judicieux. Le modèle du plan télécom de Valéry Giscard d’Estaing ou du plan électro nucléaire de Charles de Gaulle, tous deux cités par Nicolas Sarkozy, sont-ils les plus adaptés à l’heure d’Internet et des start up ? Avant d’emprunter, n’aurait-il pas fallu s’interroger sur le meilleur moyen d’investir pour l’avenir ?
Banques : 10 à 20 ans pour s’adapter aux nouvelles règles
Le comité de Bâle de supervision bancaire va accorder un délai de dix à vingt ans aux banques pour s’adapter aux nouvelles règles qu’il s’apprête à édicter pour renforcer la solidité financière du secteur, affirme mercredi le quotidien japonais Nikkei (http://www.nni.nikkei.co.jp/e/ac/tnks/Nni20091216D15JFF01.htm). Le comité de supervision bancaire, fondé en 1974 et composé des gouverneurs de vingt-sept banques centrales mondiales, est réuni mardi et mercredi pour finaliser une série de règles plus strictes concernant la liquidité et le capital des banques, dans le but de prévenir une nouvelle crise financière mondiale. Selon le Nikkei, qui ne cite pas de source, le comité commencera à introduire ces règles en 2012, mais elle établira une période de transition d’au moins dix ans afin que les banques puissent s’adapter en douceur. "Le comité de Bâle penche pour une approche plus prudente", a commenté un responsable de la régulation financière au Japon, cité par le Nikkei. Selon le journal, "les autorités bancaires ont apparemment estimé que se précipiter pour adopter des règles plus strictes pourrait dissuader les grandes banques de prêter de l’argent et nuire à la reprise économique mondiale".
Pour éviter les conséquences désastreuses d’une nouvelle crise financière, et notamment l’effondrement de grandes banques – comme la faillite de la banque américaine Lehman Brothers, en septembre 2008 -, le comité de Bâle travaille depuis plusieurs mois sur un renforcement des règles dites "Bâle II" (http://fr.wikipedia.org/wiki/B%C3%A2le_II).
France et zone euro progressent
Selon l’indice PMI (http://www.markiteconomics.com/MarkitFiles/Pages/ViewPressRelease.aspx?ID=5883) de la société Markit, la croissance de l’activité se poursuit en décembre à un rythme soutenu dans le secteur privé français. L’indice s’inscrit à 59.4, un niveau à peine inférieur au plus haut de trente-sept mois enregistré en novembre (60.2). Deux secteurs signalent une activité en hausse, la production manufacturière progressant à un rythme proche de celui d’octobre (le plus soutenu en un peu plus de neuf ans) et la croissance de l’activité de services enregistrant son deuxième plus haut niveau depuis octobre 2006.
L’activité a également progressé, pour le 5e mois d’affilée, en décembre dans la zone euro, selon l’indice PMI (http://www.markiteconomics.com/MarkitFiles/Pages/ViewPressRelease.aspx?ID=5886) de Markit.
Grosse acquisition pour Essilor aux USA
Le numéro un mondial des verres ophtalmiques va acquérir le groupe américain FGX International, spécialisé dans les lunettes prémontées, pour environ 565 millions de $, a indiqué (http://www.essilor.com/Essilor-signe-un-accord-pour,650) mercredi le groupe français. Le prix de la transaction, qui correspond à environ 388 millions d’€, inclut le remboursement de la dette de FGX pour environ 69 millions d’€ (100 millions de $).
Cette opération doit permettre de compléter le portefeuille d’Essilor alors que "le marché des lunettes prémontées est en pleine croissance", selon Hubert Sagnières, directeur général délégué d’Essilor.
La Fed devrait garder ses taux très bas
Alors que les marchés spéculent sur le fait que la Réserve fédérale pourrait être contrainte de relever son taux directeur plus tôt que prévu, le Comité de politique monétaire de la Fed (FOMC) devrait répéter ce mercredi qu’il ne faut pas s’attendre à un resserrement de politique monétaire avant un certain temps encore. Si le chômage a baissé de manière inattendue à 10 % en novembre, il reste encore très haut, et le marché de l’emploi reste "faible", a indiqué le 7 décembre Ben Bernanke, président de la Fed.
L’agence fédérale américaine de garantie des dépôts bancaires, la FDIC, a annoncé mardi avoir voté un budget annuel dans lequel elle double les montants qu’elle consacrera à la gestion des faillites de banques. Le budget total de l’agence sera de 4,0 mds de $ en 2010.
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ECHO DE L ECHO
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"Les banques seront taxées sur les bonus
au-delà de 27 500 euros, ce sera une taxation à 50 %."
C’est ce qu’a indiqué a indiqué mercredi la ministre de l’économie, Christine Lagarde. "C’est une proposition qu’avait fait le président de la République le 25 août dernier, on a beaucoup milité pour qu’elle soit admise au niveau international. C’est maintenant une proposition britannique et française, et je la défendrai au Parlement au mois de janvier", a-t-elle ajouté. Cette "taxe exceptionnelle à circonstance exceptionnelle" sera incluse dans un projet de loi de finances rectificative, a également précisé la ministre de l’économie. Elle concernera les bonus versés au titre de l’année 2009. Nicolas Sarkozy et le PM britannique, Gordon Brown, ont justifié, vendredi dernier en marge du Conseil européen réuni à Bruxelles, le principe de cette taxation avec l’ambition de "montrer le chemin" aux autres pays européens.
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TEXTOS
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Russie :
l’économiste Egor Gaïdar,
architecte dans les années 1990 de la conversion de la Russie à l’économie de marché, est mort mercredi à l’âge de 53 ans. Sous le mandat de Boris Eltsine, il avait initié la première vague de privatisations en
Russie postsoviétique et libéré, en 1992, la fixation des prix. Une vraie "thérapie de choc" très impopulaire.
Chine :
les investissements directs étrangers ont enregistré une hausse de près de 32 % en novembre, atteignant 7,02 mds de $.
Commerce :
l’UE et les pays producteurs
d’Amérique latine ont paraphé un accord mettant fin à plus de quinze ans de "guerre de la banane". Il conclut l’une des "sagas" les
plus "sensibles" et "complexes" de l’OMC.
Distribution :
le distributeur britannique d’électronique et
électroménager Kesa Electricals, propriétaire de Darty, a vu ses comptes revenir dans le vert sur son 1er semestre achevé en octobre. Kesa a dégagé un bénéfice net part du groupe de 1,7 million de £ (soit près de 1,9 million d’€), contre une perte de 99,9 millions
un an plus tôt, sur un CA en progression de 7,6 % à 2,35 mds de £.
Pêche :
Les Vingt-Sept sont parvenus, mardi soir, à un compromis qui fixe une réduction des quotas de pêche pour les espèces de poissons les
plus menacées en 2010.
Transport :
la compagnie de chemins
de fer allemande Deutsche Bahn pourra désormais faire rouler ses trains à grande vitesse (ICE) sous le tunnel sous la Manche, indique le PDG de l’exploitant Eurotunnel au FT Deutschland (http://www.ftd.de/unternehmen/handel-dienstleister/:aermelkanal-eurotunnel-steht-deutscher-bahn-offen/50050929.html) mercredi.
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ETUDES
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DIVERS (1)
Les comptes prévisionnels de l’agriculture pour 2009 (http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?ref_id=ip1271)
Source : Insee.
ENERGIES / MATIÈRES PREMIÈRES
Le développement fondé sur les recettes de matières premières (http://www.ebrd.com/pubs/econo/wp0108.pdf)
Source : BERD.
DIVERS (2)
La bonne façon d’investir dans les infrastructures (http://www.mckinseyquarterly.com/Public_Sector/Economic_Policy/The_right_way_to_invest_in_infrastructure_2484)
Source : McKinsey.
INTERNATIONAL
Prévisions économiques pour l’Asie (http://aric.adb.org/pdf/aem/dec09/Dec_AEM_complete.pdf)
Source : Banque asiatique de développement.
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NOMINATIONS
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Alex DORRIAN
devient vice-président exécutif de Thales, en charge de la zone A. Il prend également la présidence de Thales Grande-Bretagne.
Arnaud DEBUCHY
devient directeur général d’Amadeus France. Il succédera à Jean-Louis Richard le 1er février.
Alain GUILLEN
est nommé directeur des affaires publiques
France de Lafarge.
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AGENDAS
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Accédez aux agendas quotidiens (http://www.lemonde.fr/web/eco/agendas/0,14-0@2-3234,1-0,0.html?NAV1=DEP&NAV2=AGENDAS)
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BLOG
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Etude sur Twitter, par l’Atelier et faberNovel (http://www.blog-cybermarketing.com/article-etude-sur-twitter-par-l-atelier-et-fabernovel-40985141.html)
Voici les résultats de l’étude très récente réalisée par L’Atelier et faberNovel. Elle démontre la forte progression de la notoriété de Twitter, mais un taux d’activistes encore limité aux producteurs et diffuseurs d’information : blogueurs et experts influents, journalistes, personnel politique, marques… Néanmoins, cette faible proportion d’auteurs de tweets n’empêche pas Twitter de devenir un média d’actualité à grand potentiel de viralité…
Cybermarketing
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Titres de l’économie
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Les Echos :
Accor, le géant de l’hôtellerie, tente le pari de la scission
La Tribune :
2010 : la bonne surprise
Le Figaro Economie :
Accor : la scission est lancée
The Wall Street Journal :
L’euro chute alors que les doutes sur la dette se répandent