Europe CEE

13ème Déjeuner-débat de la Francophonie « Simon Bolivar et la poésie de José Martí » à Boissières Lot 46150 CC Grand Cahors

Communiqué du 13ème Déjeuner-débat de la Francophonie « Simon Bolivar et la poésie de José Martí » à Boissières CC Grand Cahors.  

21 octobre 2012.

Dans le cadre d’une consolidation de la Francophonie « Populaire », le Professeur Edmond JOUVE Président de la Francophonie Quercy-Périgord, vous invite au déjeuner débat d’information et de contacts à l’occasion de la 13ème conférence de la Francophonie « Simon Bolivar et la poésie de José Martí », à la Salle Polyvalente de Boissières le Vendredi 26 Octobre 2012 à 12H30. Cette conférence (déjeuner-débat) est ouvert à tous.

Ce déjeuner-débat s’effectue en concertation avec les partenaires de la Francophonie. Enfin, elle réitère sa disponibilité à continuer à organiser des manifestations  ayant pour but la solidarité francophone.

Réservations 25€uros 0623387517 / 0565228068

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Vous remerciant à l’avance, je vous attend le 26 octobre à 12H30 à Boissières (Lot).

 

Le Président Edmond Jouve et Osvaldo Villar

Tags : , , , , , , , , , ,

La France produit des Pauvres et la pauvreté progresse dans le Lot,et le bassin Midi-Pyrénées !

La France produit des Pauvres et la

pauvreté progresse dans le Lot,et

le bassin Midi-Pyrénées !

Publié le mercredi 21 septembre 2011 à 07H00 –

En distribuant des fruits, des légumes, des produits lactés et des vêtements, l’association Restos du Cœur, dans le quartier défavorisés de Toulouse et le Lot, tente de réduire l’impact de la pauvreté.

Le Lot – Des familles auboises tentent de vivre avec 950 € par mois, parfois moins. Les associations peinent de plus en plus à répondre aux besoins et on coupe les aides des

Il existe deux manières d’appréhender la crise : soit d’une manière abstraite en étudiant les statistiques, soit en rencontrant des familles qui n’arrivent pas à remplir leur Caddie®. Et ce genre de familles sont malheureusement de plus en plus nombreuses dans notre département, reflet d’une évolution constatée au plan national. Évolution sans aucun doute parallèle à celle du chômage dans notre pays.
Dans les locaux de l’association Lève-toi, rue des Cumines à Troyes, le constat est conforme et les témoignages édifiants. Ainsi cette femme, humble et digne, mère de trois enfants, qui avoue manger « à peu près normalement » seulement depuis qu’elle bénéficie de l’aide de cette association. « J’ai 52 ans, j’ai trois enfants âgés de 17, 15 et 8 ans. Et j’ai 950 € par mois pour vivre ». Vivre ? Ou survivre. « Dans ma situation, on ressent très durement la hausse des prix. Je ne peux absolument pas m’acheter des produits de marque. Quand je ne recevais pas d’aide de la part de Lève-toi, on mangeait juste des pâtes, du riz, des boîtes avec des saucisses-lentilles pas très bonnes. Pas de fruits ni de légumes », confie cette femme.

Jamais de poisson frais
Pas de rôti non plus, pas de bonne viande, seulement quelques steaks hachés pas chers en grandes barquettes, et jamais de poisson frais, juste des croquettes. « Pas de cadeaux non plus. On se contente d’une petite boîte de gâteaux pas chère », indique-t-elle encore.
Grâce à Lève-toi, elle a la possibilité de manger quelques fruits et légumes – « tant pis s’ils sont un peu tallés » – des yaourts, et même une brioche. « Avec mes enfants, on arrive parfois à manger deux Danone par jour, contre un par semaine auparavant. » Voilà 6 ans qu’elle vient dans les locaux de Lève-toi, presque tous les jours.
Des femmes comme elle, le président Rogers Marchand et toute son équipe en rencontrent de plus en plus, venant essentiellement des Sénardes et du quartier Jules-Guesde.

Beaucoup de nouvelles têtes
« On accueille actuellement 105 familles, soit plus de quatre cents personnes. Leurs besoins sont surtout alimentaires », note-t-il. Il évoque les nombreuses familles qui ne mangent jamais de viande et qui viennent le mercredi en espérant en trouver un peu. « Ce sont des familles touchées de plein fouet par la pauvreté. On voit pas mal de nouvelles têtes, des retraités, des femmes seules avec enfants et puis des jeunes en phase de recherche d’un travail », constate ce président. Pour répondre aux besoins, Lève-toi peut compter sur les produits fournis par la Banque alimentaire et par Intermarché. Avec des livraisons inégales, parfois avec, parfois sans produits laitiers.
Rogers Marchand espère bien obtenir des pommes de terre non calibrées et des oignons de la part d’un agriculteur aubois. Sans réponse à ce jour, il va à nouveau le solliciter.

Tags : , , , , , , , ,

Nuit des Arts Martiaux Cadurciens Samedi 29 janvier Palais des sports de Cahors

Nuit des Arts Martiaux Cadurciens

Photos © Osvaldo Villar (OGV). Maître Nicolas HAPP ceinture noire 2ème Dan et Alain SAN JUAN élu en charge des sports à la Mairie de Cahors. 

Samedi 29 janvier 2011 au Palais des Sports de Cahors

Le HWARANG T.K.D organise pour la 4èmeannée consécutive, la nuit des arts martiaux cadurciens. Elle aura lieu au Palais des Sports de Cahors le samedi 29 janvier prochain à partir de 20h.

Photo © Osvaldo Villar (OGV) démonstration de l’école de HWARANG TDK Lotoise.

Cet évènement a été pensé, d’une part, pour fédérer les différentes associations ayant pour objet la pratique des arts martiaux et des sports pieds-poings autour d’un évènement commun ; et d’autre part, pour servir de vitrine aux différentes écoles de la communauté de communes de Cahors.

 

La soirée qui débutera à 20h pour se terminer aux alentours de 23h30 est placée sous le signe de la nouveauté avec de nombreuses disciplines participant pour la 1èrefois à cet évènement.

Ainsi sera mis en avant : le Jujitsu brésilien, le Haidong Gumdo art du sabre traditionnel coréen, la Capoïera à la fois danse et art martial brésilien, le Kendo, le Viet Vo Dao…

Durant plus de trois heures, 15 écoles d’arts martiaux présenteront tour à tour leurs disciplines dans un show son et lumière.

Cette soirée s’adresse aussi bien aux amateurs d’arts martiaux qu’aux non-initiés. Il s’agit d’un véritable spectacle pour toute la famille…

 

Par le nombre et la diversité de disciplines représentées ainsi que la présence de plusieurs champions et grands maîtres, la nuit des arts martiaux cadurciens est devenue un évènement majeur en la matière au niveau régional.

150 combattants du Grand-Ouest sont attendus à Cahors. Une compétition qui est aussi une opération séduction.

Trois questions à…

 

Photos © Osvaldo Villar (OGV). Démonstration de l’école de HWARANG  T.D.K et  miettes des planches cassées !

 Disciplines présentes :

-KARATE

-TAE KWON DO

-JUDO

-BOXE FRANCAISE

-JUJITSU BRESILIEN (nouveau !)

-HAPKIDO

-TAI CHI CHUAN

-HAIDONG GUMDO (nouveau !)

-WING TSUN

-ESCRIMA (nouveau !)

-SON MUDO

-VIET VO DAO (nouveau !)

-KUNG-FU SHAOLIN (nouveau !)

-CAPOIERA (nouveau !)

-KENDO (nouveau !)

Une affiche exceptionnelle :

-Grand Maître Raphaël COUET, 6èmedan de HAPKIDO Jin Jung Kwan, représentant de la discipline en France accompagné de l’équipe nationale de démonstration.

 -Maître Frédéric FOUBERT, 3èmedan de SON MUDO, représentant européen de la discipline. 

-Thierry ALIBERT, multiple champion d’Europe de TAI CHI CHUAN

-Ghislain Nzeh Ndong et l’école Long Tao de Toulouse pour le Kung-Fu Shaolin.

Renseignements au 06 89 04 82 04 /06 07 94 93 06 ou www.hwarangtkd.fr

Places en prévente dès le 15 janvier à l’agence de voyages Thomas Cook, boulevard Gambetta à Cahors au prix de 8€/adulte et 6€/enfant.

HWARANG T.K.D

Ecole d’arts martiaux coréens

17, rue Jean Giraudoux – 46000 CAHORS

TEL: 06 89 04 82 04  – mail : hwarangtkd@orange.fr – site : www.hwarangtkd.fr

Tags : , , ,

L’EDF a-t-il abandonné la France ?

Selon Le Parisien, un rapport de la CRE dénonce une dégradation du réseau électrique français. Les choix stratégiques d’EDF, très investi à l’étranger, pourraient en être la cause. L’avis de Jacques Percebois, président du CREDEN.

Dans un rapport d’étape révélé ce mardi matin par le Parisien, la CRE (Commission de régulation de l’énergie) pointe du doigt la dégradation du réseau électrique français. Qu’en est-il ?

Depuis plusieurs années, la CRE met en garde EDF contre la dégradation du réseau électrique français. La durée de coupure électrique en France s’est allongée ces dix dernières années. Et le réseau, qui souffre régulièrement de tempêtes mais aussi de son vieil âge, n’a pas fait l’objet de l’investissement nécessaire. Par exemple, la France reste l’un des pays où l’enfouissement des câbles électriques est le moins abouti. Néanmoins, il faut mettre un bémol à ce constat. Le réseau français est particulier en ce sens qu’il est très étendu, et qu’il doit desservir de nombreuses campagnes, avec une faible densité de population, ce qui peut expliquer en partie qu’EDF n’en ait pas fait une priorité.

En parlant de priorités, certains mettent en avant le fait qu’EDF ait délaissé la France au profit d’investissements tous azimuts à l’étranger.

Ce n’est ni complètement juste, ni complètement faux. Pendant quelques années EDF a effectivement investi de toutes parts à l’étranger. Notamment en Amérique du Sud où il n’avait pas forcément sa place. Mais avec l’arrivée de Pierre Gadonneix à la tête de l’entreprise, nous avons observé un réel recentrage d’EDF sur certaines pays, comme la Grande Bretagne, l’Italie, l’Allemagne, les Etats-Unis et la Chine. Or il est difficile de reprocher à EDF son développement international : face à la concurrence européenne, il n’aurait pas pu rester un acteur franco-français.

Jacques Percebois est un économiste français. Il dirige le CREDEN, le centre de recherche en économie et droit de l’énergie, et a fait partie en 2009 de la Commission Champsaur, chargée par le Gouvernement de réfléchir à l’évolution des prix de l’électricité et à leur encadrement.

Parallèlement, EDF a vraisemblablement délaissé un peu la France, qu’il soit question de ses réseaux mais aussi de son parc nucléaire. Aujourd’hui le taux de disponibilité de ce dernier n’est que de 78% alors que l’objectif à 2011 était d’atteindre les 85%. Les problèmes techniques, les grèves mais aussi le manque d’investissements y sont pour quelque chose.

Néanmoins, il ne faut pas  se tromper de cible. Les investissements étrangers d’EDF ont tous été financés par l’emprunt et non grâce aux deniers du consommateur français. En clair, si l’on peut reprocher à EDF de ne pas avoir fait de la France sa grande priorité, on ne peut pas lui reprocher d’avoir investi ailleurs grâce à l’argent gagné en France.

Selon François Brottes, député PS de l’Isère, cité par le Parisien "la voilure a été clairement allégée depuis la privatisation d’EDF", notamment avec une forte réduction d’effectifs. EDF manque-t-il de personnel ?

Pour faire face à la concurrence EDF a rationalisé ses dépenses, et aussi ses effectifs. Mais de là à dire que ces derniers sont aujourd’hui insuffisants en France, je ne sais pas.

Quel est le positionnement d’Henri Proglio sur le sujet ? Va-t-il faire de la France une nouvelle priorité ?

En réalité, il n’a pas vraiment le choix. Le paysage français de l’énergie est en train de subir une véritable métamorphose, et l’ancien groupe public ne pourra pas garder sa position de leader en France s’il ne procède pas rapidement à des investissements. Entre la libéralisation du marché de l’électricité, le renouvellement attendu des concessions hydrauliques, l’arrivée de nouveaux concurrents compétitifs grâce à la loi Nome, ou encore le marché des énergies renouvelables sur lequel il est moins à la pointe, EDF va être obligé de se recentrer sur le cas français. Ne serait ce que pour préserver la base historique de sa réputation. Henri Proglio d’ailleurs l’a bien compris puisqu’il a défini la productivité du parc nucléaire français comme sa priorité numéro 1.

Stratégie qui passera par une augmentation des tarifs d’EDF… ?

Certainement. Si EDF investit sur ses réseaux électriques, cela va faire augmenter le coût des péages fixés par la CRE, et donc par incidence le coût de l’électricité. Par ailleurs, pour investir dans le nucléaire, EDF demande au gouvernement une augmentation des tarifs réglementés. Chose qui ne semble pas complètement illogique lorsqu’on connaît la faiblesse du prix de l’électricité en France par rapport aux autres pays européens.

EDF a-t-il vraiment besoin de cette augmentation des prix ? Ses résultats semblent toujours excellents.

Attention là encore à l’amalgame. Aujourd’hui la bonne santé d’EDF est due en partie à sa stratégie internationale. Désormais la moitié de son chiffre d’affaires se fait à l’étranger, et proportionnellement, ce sont ces ventes à l’étranger qui progressent le plus. Si l’on n’accepte pas qu’EDF investisse à l’étranger les bénéfices faits en France, alors il serait illogique de demander à EDF de financer les investissements français avec des profits réalisés à l’étranger.

Subventions aux entreprisesde la CEE

http://ec.europa.eu/enterprise/contracts-grants/calls-for-proposals/grants-work-programme2010/index_en.htm#h2-v.-the-publication-of-the-grant-work-programme-2010-is-mainly-indicative

Le logement au c

Le Logement au cour de l’Europe.

Jeudi matin, à Strasbourg, j’ai été désignée vice-présidente de l’intergroupe «Urban», au sein duquel je compte m’engager activement sur toutes les questions concernant le développement urbain.

Qu’est-ce qu’un intergroupe? Le Parlement européen, comme les assemblées parlementaires en France, s’organise autour de groupes d’étude thématiques. Le groupe Urban est né en février 2005, réunissant alors plus de 70 eurodéputés de tous horizons politiques et de toutes commissions parlementaires sous la présidence de Jean-Marie Beaupuy, eurodéputé Modem. Ses objectifs étaient dès le départ de dynamiser la politique urbaine de l’Union européenne en permettant l’échange de bonnes pratiques et la recherche de solutions aux défis socio-économiques et environnementaux, bref écologiques, auxquels sont confrontés nos villes.

Aujourd’hui cet intergroupe ne s’appelle plus que «Urban». C’est pourquoi notre priorité sera de garantir que la thématique «logement» ne soit pas abandonnée. Elle doit au contraire être au cœur des préoccupations de l’intergroupe.


Juste un chiffre: en Europe, 70 millions de personnes sont mal-logées, selon une étude réalisée en 2009 pour le Secours Populaire. La précarité énergétique touche des millions de ménages européens, et ce sera un des sujets majeurs dans la lutte contre le changement climatique au cours des prochaines décennies. Sur ce sujet, nous avons pris l’initiative d’organiser d’ici quelques semaines au Parlement européen une conférence portant sur le financement de la réhabilitation des logements sociaux.

En associant au mieux les citoyens, et notamment les habitants des quartiers populaires, aux débats que nous aurons avec cet intergroupe, nous avons obtenu qu’une délégation d’eurodéputés membres de la Commission du Développement régional s

Le logement au c

Le Logement au cour de l’Europe.

Jeudi matin, à Strasbourg, j’ai été désignée vice-présidente de l’intergroupe «Urban», au sein duquel je compte m’engager activement sur toutes les questions concernant le développement urbain.

Qu’est-ce qu’un intergroupe? Le Parlement européen, comme les assemblées parlementaires en France, s’organise autour de groupes d’étude thématiques. Le groupe Urban est né en février 2005, réunissant alors plus de 70 eurodéputés de tous horizons politiques et de toutes commissions parlementaires sous la présidence de Jean-Marie Beaupuy, eurodéputé Modem. Ses objectifs étaient dès le départ de dynamiser la politique urbaine de l’Union européenne en permettant l’échange de bonnes pratiques et la recherche de solutions aux défis socio-économiques et environnementaux, bref écologiques, auxquels sont confrontés nos villes.

Aujourd’hui cet intergroupe ne s’appelle plus que «Urban». C’est pourquoi notre priorité sera de garantir que la thématique «logement» ne soit pas abandonnée. Elle doit au contraire être au cœur des préoccupations de l’intergroupe.


Juste un chiffre: en Europe, 70 millions de personnes sont mal-logées, selon une étude réalisée en 2009 pour le Secours Populaire. La précarité énergétique touche des millions de ménages européens, et ce sera un des sujets majeurs dans la lutte contre le changement climatique au cours des prochaines décennies. Sur ce sujet, nous avons pris l’initiative d’organiser d’ici quelques semaines au Parlement européen une conférence portant sur le financement de la réhabilitation des logements sociaux.

En associant au mieux les citoyens, et notamment les habitants des quartiers populaires, aux débats que nous aurons avec cet intergroupe, nous avons obtenu qu’une délégation d’eurodéputés membres de la Commission du Développement régional s

Le logement au c

Le Logement au cour de l’Europe.

Jeudi matin, à Strasbourg, j’ai été désignée vice-présidente de l’intergroupe «Urban», au sein duquel je compte m’engager activement sur toutes les questions concernant le développement urbain.

Qu’est-ce qu’un intergroupe? Le Parlement européen, comme les assemblées parlementaires en France, s’organise autour de groupes d’étude thématiques. Le groupe Urban est né en février 2005, réunissant alors plus de 70 eurodéputés de tous horizons politiques et de toutes commissions parlementaires sous la présidence de Jean-Marie Beaupuy, eurodéputé Modem. Ses objectifs étaient dès le départ de dynamiser la politique urbaine de l’Union européenne en permettant l’échange de bonnes pratiques et la recherche de solutions aux défis socio-économiques et environnementaux, bref écologiques, auxquels sont confrontés nos villes.

Aujourd’hui cet intergroupe ne s’appelle plus que «Urban». C’est pourquoi notre priorité sera de garantir que la thématique «logement» ne soit pas abandonnée. Elle doit au contraire être au cœur des préoccupations de l’intergroupe.


Juste un chiffre: en Europe, 70 millions de personnes sont mal-logées, selon une étude réalisée en 2009 pour le Secours Populaire. La précarité énergétique touche des millions de ménages européens, et ce sera un des sujets majeurs dans la lutte contre le changement climatique au cours des prochaines décennies. Sur ce sujet, nous avons pris l’initiative d’organiser d’ici quelques semaines au Parlement européen une conférence portant sur le financement de la réhabilitation des logements sociaux.

En associant au mieux les citoyens, et notamment les habitants des quartiers populaires, aux débats que nous aurons avec cet intergroupe, nous avons obtenu qu’une délégation d’eurodéputés membres de la Commission du Développement régional s

Le logement au c

Le Logement au cour de l’Europe.

Jeudi matin, à Strasbourg, j’ai été désignée vice-présidente de l’intergroupe «Urban», au sein duquel je compte m’engager activement sur toutes les questions concernant le développement urbain.

Qu’est-ce qu’un intergroupe? Le Parlement européen, comme les assemblées parlementaires en France, s’organise autour de groupes d’étude thématiques. Le groupe Urban est né en février 2005, réunissant alors plus de 70 eurodéputés de tous horizons politiques et de toutes commissions parlementaires sous la présidence de Jean-Marie Beaupuy, eurodéputé Modem. Ses objectifs étaient dès le départ de dynamiser la politique urbaine de l’Union européenne en permettant l’échange de bonnes pratiques et la recherche de solutions aux défis socio-économiques et environnementaux, bref écologiques, auxquels sont confrontés nos villes.

Aujourd’hui cet intergroupe ne s’appelle plus que «Urban». C’est pourquoi notre priorité sera de garantir que la thématique «logement» ne soit pas abandonnée. Elle doit au contraire être au cœur des préoccupations de l’intergroupe.


Juste un chiffre: en Europe, 70 millions de personnes sont mal-logées, selon une étude réalisée en 2009 pour le Secours Populaire. La précarité énergétique touche des millions de ménages européens, et ce sera un des sujets majeurs dans la lutte contre le changement climatique au cours des prochaines décennies. Sur ce sujet, nous avons pris l’initiative d’organiser d’ici quelques semaines au Parlement européen une conférence portant sur le financement de la réhabilitation des logements sociaux.

En associant au mieux les citoyens, et notamment les habitants des quartiers populaires, aux débats que nous aurons avec cet intergroupe, nous avons obtenu qu’une délégation d’eurodéputés membres de la Commission du Développement régional s