Football-Fútbol

Nuit des Arts Martiaux Cadurciens Samedi 29 janvier Palais des sports de Cahors

Nuit des Arts Martiaux Cadurciens

Photos © Osvaldo Villar (OGV). Maître Nicolas HAPP ceinture noire 2ème Dan et Alain SAN JUAN élu en charge des sports à la Mairie de Cahors. 

Samedi 29 janvier 2011 au Palais des Sports de Cahors

Le HWARANG T.K.D organise pour la 4èmeannée consécutive, la nuit des arts martiaux cadurciens. Elle aura lieu au Palais des Sports de Cahors le samedi 29 janvier prochain à partir de 20h.

Photo © Osvaldo Villar (OGV) démonstration de l’école de HWARANG TDK Lotoise.

Cet évènement a été pensé, d’une part, pour fédérer les différentes associations ayant pour objet la pratique des arts martiaux et des sports pieds-poings autour d’un évènement commun ; et d’autre part, pour servir de vitrine aux différentes écoles de la communauté de communes de Cahors.

 

La soirée qui débutera à 20h pour se terminer aux alentours de 23h30 est placée sous le signe de la nouveauté avec de nombreuses disciplines participant pour la 1èrefois à cet évènement.

Ainsi sera mis en avant : le Jujitsu brésilien, le Haidong Gumdo art du sabre traditionnel coréen, la Capoïera à la fois danse et art martial brésilien, le Kendo, le Viet Vo Dao…

Durant plus de trois heures, 15 écoles d’arts martiaux présenteront tour à tour leurs disciplines dans un show son et lumière.

Cette soirée s’adresse aussi bien aux amateurs d’arts martiaux qu’aux non-initiés. Il s’agit d’un véritable spectacle pour toute la famille…

 

Par le nombre et la diversité de disciplines représentées ainsi que la présence de plusieurs champions et grands maîtres, la nuit des arts martiaux cadurciens est devenue un évènement majeur en la matière au niveau régional.

150 combattants du Grand-Ouest sont attendus à Cahors. Une compétition qui est aussi une opération séduction.

Trois questions à…

 

Photos © Osvaldo Villar (OGV). Démonstration de l’école de HWARANG  T.D.K et  miettes des planches cassées !

 Disciplines présentes :

-KARATE

-TAE KWON DO

-JUDO

-BOXE FRANCAISE

-JUJITSU BRESILIEN (nouveau !)

-HAPKIDO

-TAI CHI CHUAN

-HAIDONG GUMDO (nouveau !)

-WING TSUN

-ESCRIMA (nouveau !)

-SON MUDO

-VIET VO DAO (nouveau !)

-KUNG-FU SHAOLIN (nouveau !)

-CAPOIERA (nouveau !)

-KENDO (nouveau !)

Une affiche exceptionnelle :

-Grand Maître Raphaël COUET, 6èmedan de HAPKIDO Jin Jung Kwan, représentant de la discipline en France accompagné de l’équipe nationale de démonstration.

 -Maître Frédéric FOUBERT, 3èmedan de SON MUDO, représentant européen de la discipline. 

-Thierry ALIBERT, multiple champion d’Europe de TAI CHI CHUAN

-Ghislain Nzeh Ndong et l’école Long Tao de Toulouse pour le Kung-Fu Shaolin.

Renseignements au 06 89 04 82 04 /06 07 94 93 06 ou www.hwarangtkd.fr

Places en prévente dès le 15 janvier à l’agence de voyages Thomas Cook, boulevard Gambetta à Cahors au prix de 8€/adulte et 6€/enfant.

HWARANG T.K.D

Ecole d’arts martiaux coréens

17, rue Jean Giraudoux – 46000 CAHORS

TEL: 06 89 04 82 04  – mail : hwarangtkd@orange.fr – site : www.hwarangtkd.fr

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Les Bleus victimes d’injures racistes contre Malte

Le Bleu footballeur Emmanuel Rivière est victime d’injures racistes de la part des joueurs Maltais

Photo Le Courrier Picard

 

zoom

Photo Le Courrier Picard

Le joueur de l’ASSE a subi des insultes à caractère racial lors du match de l’équipe de France espoirs. Des joueurs maltais l’auraient traité de "singe". Le club stéphanois demande des sanctions.

C’est malheureusement un nouvel épisode dans la longue série des incidents racistes dans le monde du football. Généralement, les faits se produisent surtout en dehors du terrain, cette fois c’est sur le terrain.

Mardi, l’équipe de France espoirs disputait à Amiens un match officiel contre l’équipe de Malte. L’attaquant stéphanois Emmanuel Rivière est entré en jeu à la 57e. D’après un communiqué de l’AS Saint-Etienne, Emmanuel Rivière a "subit, de la part de certains joueurs de l’équipe maltaise, des injures à caractère raciste, étant traité en particulier de «monkey» (singe en français) devant l’arbitre portugais Artur Soares Dias qui n’a rien dit et n’a pris aucune sanction", selon le club.

Joint par téléphone cet après-midi, le joueur s’est dit profondément marqué par les propos tenus. "Cela m’a perturbé. Je ne m’attendais pas à cela au cours d’un match international" a-t-il précisé. La rencontre a été tendue pendant tout le match. La fin de rencontre a été particulièrement "chaude" selon l’attaquant stéphanois.

Son club, l’ASSE, demande officiellement à l’UEFA de prendre "les sanctions qui conviennent envers ces joueurs à l’attitude inadmissible et antisportive". Le club a également demandé l’appui de la Fédération française.

Jean Tigana Nouvel entraîneur de Bordeaux

Jean Tigana  :  Nouvel entraîneur de Bordeaux

 

Tigana :  Rien ne remplace l’expérience

 

Après la sérénité polie de Ricardo, le calme stoïque et froid de Laurent Blanc, les Girondins vivent désormais sous une autorité à l’expression différente, aux antipodes de ce qu’ils connaissaient.

À la placidité des deux derniers entraîneurs a succédé un dynamisme perpétuel, une sorte de mouvement permanent, qui semble ne jamais s’arrêter. Jean Tigana a installé sur la plaine du Haillan une personnalité aussi forte que les précédentes, mais accompagnée d’une façon de faire qui tranche avec ce que l’on avait vécu depuis cinq ans.

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Car le nouveau coach est un homme pressé, qui n’aime pas l’inaction et déteste perdre son temps. C’est ainsi que pendant que s’échauffe son équipe, il remplit, dans le secret des vestiaires, les plus ardues des grilles de Sudoku. Il court plus qu’il ne marche, fonce d’un point à autre, avec un œil sans cesse à l’affût.

Cette façon d’aller toujours très vite correspond sans doute aux fortes exigences qu’il place envers ses élèves, mais aussi envers lui-même, qui semble ne pas s’autoriser plus de complaisance qu’à son entourage.

Il est à l’évidence quelqu’un de rigoureux et de pointilleux, qui apprécie que les choses soient à leur place.

Pas de ballons perdus

Il suffit de le voir à la fin des séances ramasser les ballons et les chaussures qui traînent pour s’en convaincre. Ou suivre du regard les balles qui sortent du terrain d’entraînement pour s’assurer qu’elles ne seront pas perdues, comme un Guy Roux que l’on aurait recyclé à Bordeaux.

Ou activer le passage de ses ouailles dans les poubelles remplies d’eau glacées, ce supplice nécessaire à la régénération des muscles. Ou demander aux photographes de ne pas rester derrière les buts, pour que rien ne nuise à l’efficacité de ses attaquants.

Au-delà de ces petites particularités, Jean Tigana fonctionne d’une façon moderne, s’appuyant beaucoup sur ses adjoints, Éric Bédouet, Dominique Dropsy et Michel Pavon, auxquels il accorde une grande liberté.

Mais il n’hésite pas à s’impliquer dans les séances d’entraînement, pour apporter son point de vue, corriger ou encourager ses joueurs. Ainsi se montre-t-il soucieux de la qualité de passe de chacun.

On le vit souvent intervenir, mimer les gestes, suivre de très près certains joueurs tout au long des deux stages de préparation. « Voilà, c’est comme ça. Plus simple c’est mieux que vos passements de jambes… », clama-t-il un jour à un joueur à Anglet.

Les joueurs conquis

Ce souci permanent du travail bien fait s’accompagne de celui du bien-être de ses hommes. Il ne voulut pas, par exemple, imposer à Fernando de jouer en défense centrale pour les deux premiers matches de la saison, sans lui demander son avis.

Il ne prit pas ombrage non plus, préférant s’en amuser, de la verte colère du Brésilien, furieux lors d’une opposition de se faire sanctionner pour deux mains qu’il estimait ne pas avoir commises. On imagine qu’il trouva plutôt là des raisons de se réjouir, face à ce qu’il estimait être un esprit de compétition exacerbé.

Il lui reste désormais à affronter la réalité des matches, qu’il attend sans anxiété, confiant dans le potentiel de ses joueurs et dans son propre savoir-faire. « J’ai remporté des titres partout où je suis passé », rappela-t-il lors de sa conférence de presse de reprise au Haillan.

Pour l’instant, son discours plaît à ses joueurs, heureux de retrouver un entraîneur appréciant le jeu offensif. Car Tigana veut une équipe qui va de l’avant. Il a, comme Laurent Blanc, confié les clefs du jeu à Yoann Gourcuff, qui évoluera derrière deux attaquants, Gouffran et Cavenaghi, investis de sa confiance.

C’est évidemment un idéal de jeu et cela, parfois, ne résiste pas aux réalités de la Ligue 1. À la veille de la reprise, ses options paraissent plutôt séduisantes, à défaut de garantir la victoire.

 

Cristiano Ronaldo signe encore Real Madrid

Cristiano Ronaldo, le star du   nouveau Real Madrid

  
Por: Osvaldo G. Villar
Sergio Canales, uno de los fichajes ‘merengues’, también se destacó en el triunfo ante América de México.
El Real Madrid de Mourinho

Foto: EFE

El jugador del Real Madrid Sergio Canales (número 16) celebra un gol junto a sus compañeros de equipo, durante el partido amistoso disputado contra América de México en el Candlestick Park de San Francisco, California (EE.UU.). La era de Mourinho con el Real Madrid comenzó de forma triunfal después que el equipo español venciese por 2-3 a las Águilas del América de México, en partido amistoso disputado en el Candlestick Park de San Francisco.

La gran estrella del partido fue sin discusión el portugués Cristiano Ronaldo que dio las dos asistencias de los primeros goles del Real Madrid y decidió el triunfo con el tercero después de ejecutar un tiro directo de forma magistral.

El partido, como se esperaba, sirvió para confirmar que ha comenzado una nueva etapa dentro del Real Madrid y que la mano de Mourinho ya se hizo sentir por la manera como los jugadores se comportaron en el campo, aunque estén todavía en plena fase de preparación.

La primera gran alegría para el Real Madrid fue ver las buenas maneras que mostró el joven Sergio Canales, que salió de titular y respondió con el 0-1 después de marcar a los 35 minutos. Canales, que hizo su debut con el Real Madrid, completó una triangulación perfecta iniciado por el portugués Cristiano Ronaldo y el francés Karim Benzema para conseguir el primer gol vestido de blanco.

Antes, el portero internacional Guillermo Ochoa había salvado tres disparo de gol, uno de Ronaldo y dos de Benzemá. El gol reflejaba el dominio y mejor juego de un Real Madrid que se le vio con ganas y motivado para demostrar que no tiene nada que ver con el de la pasada temporada, algo que consiguió de inmediato con una actitud de lucha permanente en busca del balón.

Además la presencia de un Canales con clase y ganas, junto a Benzemá que quiere, de verdad, demostrar todo lo que vale, permitieron al Real Madrid, al margen de la lógica falta de preparación, que es un equipo ganador.

Otro que debutaba con El Real madrid, Pedro León fue peligroso por derecha, en donde Israel Martínez no lo pudo parar, confirmando que puede ser un gran aporte al nuevo proyecto del Mourinho. Pero sobre todo estaba un Ronaldo, incansable con su juego, toque de balón y presencia en cada una de las acciones del ataque, que permitió que el Real Madrid se fuese al descanso con la ventaja de 0-1 en el marcador.

Mourinho ya había visto cosas interesantes en jugadores como Canales y Benzemá para dejarlos en el banquillo en la segunda parte y comenzar a hacer una serie de cambios que rompieron de alguna manera el ritmo de juego del equipo.

Eso lo aprovechó el América, que fue siempre un rival serio y luchó cada balón para ver compensado su esfuerzo cuando al minuto 52 el mexicano Enrique Esquema superaba a la defensa del Real Madrid para batir por bajo de tiro cruzado al portero Antonio Adán.

El Real Madrid había perdido la concentración y no lograba que el medio campo con Granero, Dalmo, Di María y Diarra lograsen controlar el balón para que les llegase a los delantero, donde había salido Higuaín por Benzemá.

El resultado fue que las Águilas del América, con un Vicente Sánchez incansable y siempre peligroso, superó una vez más a sus marcadores y penetró por el lado derecho para disparar con perfil cambiado y en una definición perfecta batió por bajo a Adán, que nada pudo hacer por evitar el 2-1 adverso al minuto 61.

Pero ahí fue cuando surgió de nuevo la figura de Ronaldo, que comenzó a controlar mejor el balón, entenderse a la perfección con el “Pepita” Higuaín y dos minutos más tarde, en el 63, le puso un pase perfecto al goleador argentino para que marcase el empate a 2-2.

Todavía faltaba que un saque directo suyo, marca de la casa, estableciese la diferencia en el marcador y eso llegó al minuto 82 cuando desde fuera del área disparó potente para superar la barrera del América y poner el definitivo 2-3, que le daba el triunfo al Real Madrid en el debut de su compatriota Mourinho, en el banquillo.

Antes en el 79 el árbitro del encuentro, el estadounidense Jair Marrufo había anulado un gol a Higuaín en un más que dudoso fuera de juego que había señalado el linier. A pesar de las ausencias de los mundialistas Iker Casillas, Sergio Ramos, Xavi Alonso, Raúl Albiol, Álvaro Arbeloa el brasileño Kaká, el Real Madrid mostró que tiene una gran plantilla.

La nota triste y preocupante de la jornada para el Real Madrid fue la ausencia de Kaká, que se encuentra ya en Bélgica, donde viajó desde San Francisco para que los doctores le examinen la rodilla izquierda, que podría estar afectada con una lesión de menisco.

El próximo partido del Real Madrid en territorio californiano, donde ha establecido el centro de preparación de la pretemporada, será el sábado ante el Galaxy de Los Ángeles, equipo de la Liga Profesional de Fútbol de Estados Unidos (MLS), en Rose Bowl, de Pasadena.

Alineaciones:

América de México: Guillermo Ochoa; Armando Sánchez, Óscar Rojas (Martínez, mi.85), Aquivaldo Mosquera (Treviño, mi.59), Adolfo Rosinei (Juan Carlos Silva, mi.64) ; Daniel Montenegro (Sandoval, mi.36), Enrique Esqueda, Pavel Pardo, Matías Vuoso; Vicente Sánchez (Márquez, mi.85), Israel Martínez.

Real Madrid: Dudek (Adán, mi.45) ; Juanfran (Nacho, mi.45; Morata, mi. 84), Pepe, Garay, Marcelo (Drenthe, mi.45) ; Gago (Diarra, mi.45), Lass (Tébar, mi.69), Canales (Granero, mi.45), Pedro León (Di María, mi.45), Cristiano Ronaldo (Álex Fernández, mi.84) ; Karim Benzema (Gonzalo Higuaín, mi.45).

Árbitro: Jair Marrufo (Estados Unidos). Mostró tarjeta amarilla a Ezequiel Garay (mi.85), del Real Madrid.

Incidencias: Partido amistoso disputado en el Candlestick Park de San Francisco ante más de 40.000 espectadores que dividieron su apoyo entre ambos equipos.

L’entraînneur Sud-Coréen Foot travaux forcés

La terrible punition du sélectionneur nord-coréen

l’histoire du jour


Lendemains de défaite difficiles pour Kim-Jong-Hun. ./ Photo AFP

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Trois défaites en autant de matchs auront scellé le sort de Kim Jong-Hun. Le patron de la sélection nord-coréenne au mondial sud-africain vient d’être condamné par le dictateur Kim Jong-Il à porter des charges sur un chantier pendant douze à quatorze heures chaque jour.

Voilà, le terrible sort que lui a réservé le dirigeant de son pays, doté d’un régime dictatorial de type communiste. Il avait pourtant bien commencé en permettant à l’équipe nationale de participer à une coupe du monde depuis 1966.

Or, la désillusion a été trop grande au sein du gouvernement après la gifle 7 à 0 du match contre le Portugal. En Corée du Nord, « les joueurs et les entraîneurs reçoivent de superbes maisons s’ils gagnent mais s’ils perdent ils sont envoyés dans les mines de charbon » a révélé l’ancien manager. Pour avoir trahi la confiance du dictateur, le pauvre entraîneur a donc perdu tous ses privilèges, dont sa carte de membre du seul parti politique du pays.

À côté de ça, les quolibets adressés à Raymond Domenech font envie.

Foorball : Les Espagnols Maîtres du Monde !

La victoire du jour "J" 

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La Seleccion pose avec la Coupe du monde, le 11 juillet à Johannesburg.
REUTERS/DYLAN MARTINEZ
La Seleccion pose avec la Coupe du monde, le 11 juillet à Johannesburg.

 

Ceux qui sont nés au foot dans les années 1980 ont grandi dans le souvenir hérité et sans images d’équipes légendaires à qui la mémoire collective accole une année : la Hongrie de 1954, le Brésil de 1970, les Pays-Bas de 1974. Puis les compétitions se sont succédé sans que ces tard-venus voient émerger une sélection nationale digne de la glorieuse estampille calendaire. Aujourd’hui, c’est fait. Quand bien même la stratégie bouchère des Néerlandais aurait payé, quand bien même la finale n’aurait pas vu le plus beau joueur du monde donner la victoire aux siens – joie de la justice, justice de la joie –, il y aurait désormais l’Espagne de 2010.

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Certains préféreront dire: l’Espagne de 2008. Mais peu importe. Une équipe marque par son identité de jeu, et le jeu est une longue histoire. Celui produit par l’Espagne depuis deux ou trois ans vient des années 1970 et d’un pays dont les représentants contemporains portent si bas les couleurs orange. Puis il s’exile à Barcelone, où Cruyff perpétue et affûte, comme entraîneur, l’art de la passe jadis inventé à l’Ajax. Les champions du monde d’aujourd’hui sont pour la plupart issus de la politique de formation impulsée dans ce contexte.

Entre-temps, il aura fallu que les dirigeants espagnols tranchent la rivalité entre les internationaux du Barça et du Real. A cela, une défaite a beaucoup aidé: celle contre la France (1-3) en huitièmes de finale du Mondial 2006. Dans une interview donnée avant le début de la compétition, Torrès racontait que ce traumatisme avait déclenché au sein de la Roja une profonde réflexion. A l’époque, Barcelone raflait tout: c’est ce style qu’on adopta.

Une grande équipe se construit en pensant, et la grande pensée s’alimente d’observations. Au lendemain de la défaite allemande de 2008 contre l’Espagne, Joachim Löw regarda son bourreau pour comprendre les tenants de sa suprématie, et en adopta certains avec le bonheur qu’on sait. Comme un écrivain est d’abord un lecteur, un grand entraîneur est d’abord un très bon lecteur des matchs des autres.

A l’heure de la reconstruction nationale, les acteurs du foot français feraient bien d’observer les équipes qui ont actuellement douzelongueurs d’avance. Au lieu de quoi: le casque. Laurent Blanc n’a rien voulu dire pendant sa conférence de presse, si ce n’est qu’il interdira le casque sur les oreilles, comme Rama Yade l’avait préconisé. En 2004, Domenech avait marqué son arrivée en imposant les protège-tibias à l’entraînement. Aujourd’hui, l’outil principal de la reconstruction est à nouveau le fouet.

 David Villa, l’arme fatale

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Le football Espagnol en Majesté !


En Espagne, équipe nationale contre fiertés régionales
Mercredi soir, face à l’Allemagne, sept joueurs du Barça ont engagé le match. De quoi séduire les plus farouches des Catalans.

 

 

Le Brésilien Elano blessé-forfait pour 1/4 de finale

Publié le 30 junio 2010

 

Le milieu de terrain brésilien Elano, blessé à une cheville, est forfait pour le quart de finale de la Coupe du monde vendredi contre les Pays-Bas, annonce le médecin de la Seleçao.

José Luiz Runco a déclaré à la presse qu’Elano souffrait toujours d’un hématome résultant d’un choc reçu à la fin du match contre la Côte d’Ivoire le 20 juin.

« Il peut marcher et courir sans changer de direction. Le problème, ce sont les impacts, lorsqu’il met du poids (sur sa cheville) », a dit Runco à la presse, précisant que l’articulation était toujours enflée.

« Il pourrait aller mieux dans quelques jours, une semaine ou un mois. Nous espérons toujours le voir jouer la semaine prochaine mais je ne peux pas le certifier catégoriquement. Il travaille intensément, il faut voir si la nature lui donnera un coup de main. »

Auteur de deux buts depuis le début du Mondial, Elano devait effectuer son retour contre le Chili en huitième de finale mais il avait dû renoncer et laisser sa place à Dani Alves.

Mondial Matchs dates 1/4 et 1/2 finales

  Quart de finale A Quart de finale B Quart de finale C Quart de finale D
Rencontre,
match
1/4 finale, Quart de finale
Pays-Bas – Brésil
1/4 finale, Quart de finale
Uruguay – Ghana
1/4 finale, Quart de finale
Allemagne – Argentine
1/4 finale, Quart de finale
Paraguay – Espagne
Ville, heure,
date match
Vendredi 2 juillet, 16 h 00
à Port Elizabeth
Vendredi 2 juillet, 20 h 30
à Johannesburg
Samedi 3 juillet, 16 h 00
au Cap
Samedi 3 juillet, 20 h 30
à Johannesburg
Résultat,
score
       
Calendrier, dates 1/2 finales, horaires matchs demi-finales de la Coupe du Monde de football 2010
  1/2 finale – Match demi-finale 1 1/2 finale – Match demi-finale 2
Rencontre,
match
Vainqueur match quart de finale A vs
Vainqueur quart de finale B
Vainqueur match quart de finale C vs
Vainqueur quart de finale D
Résultat,
score
   
Ville, heure,
date match
6 juillet 2010, 20 h 30
au Cap
7 juillet 2010, 20 h 30
à Durban

 

Quantcast

Le football des Indiens Américains !

Mondial 2010

L’Amérique  est le continent le plus représenté en 1/4 de finales avec 4 équipes

Le football les Indiens américains est impréssionnant !

30 juin 2010 

 

 

En Amérique les Indiens savent jouer au football ! Pour la première fois dans toute l’histoire de la Coupe du monde, le nombre d’équipes sud-américaines dépasse celui des équipes européennes au stade des quarts de finale.

Les Paraguayens sont les invités surprises de ces quarts de finale.

Les quarts de finale du Mondial-2010 proposent pour la première fois dans l’histoire de la Coupe du monde un plateau où le nombre d’équipes sud-américaines (quatre) est supérieur à celui de l’Europe (trois), depuis l’introduction des quarts en 1954.

Les nations d’Amérique du Sud présentes en quarts sont le Brésil, l’Argentine, l’Uruguay et le Paraguay.
Les nations d’Europe présentes en quarts sont l’Allemagne, les Pays-Bas et l’Espagne.

Parmi les cinq équipes sud-américaines en lice en 8e de finale, une seule a chuté, le Chili, mais face à une sélection du même continent, le Brésil (3-0).

Le continent africain complète le tableau des quarts avec le Ghana.

Depuis 1954, les représentants européens étaient à chaque fois deux ou trois fois plus nombreux que ceux d’Amérique du Sud en quarts.
Au Mondial-2006, il y avait six sélections européennes et deux sud-américaines en quarts, des chiffres proches des éditions précédents: 5-1 en 2002, 6-2 en 1998, 7-1 en 1994, 6-1 en 1990 et 5-2 en 1986.

La formule était différente lors de trois tournois (1974, 1978 et 1982), mais la proportion était similaire auparavant, sauf en 1970, lorsque les Européens étaient quatre et les Sud-Américains trois