Locales Lot46

Prise d’armes du Chef d’Escadron Massot à Gourdon Lot

 Prise darmes à la gendarmerie de GOURDON  Prise darmes à la gendarmerie de GOURDON

Le Chef d’escadron Christophe Massot a succédé au chef d’escadron Patrick Chilliard. Crédit Photos © Osvaldo Villar.

Plusieurs changements en ce mois de septembre à la compagnie de Gourdon puisque le commandant le Chef d’Escadron Massot qui était déjà venu à Gourdon il y a quelques semaines à la cérémonie de départ du chef d’escadron Patrick Chilliard pour rejoindre cet été le Service technique de recherche judiciaire et de documentation à Rosny-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Christophe Massot chef d’escadron lui succède.

 Prise darmes à la gendarmerie de GOURDON

« Gourdon correspond parfaitement à mon choix fonctionnel et personnel de secteur et de territoire ».

 

Arrivé le 1 er août, le comandant Massot a pris le commandement de la compagnie. Âgé de 41 ans, il arrive de l’Ecole de Montluçon, (Creuse) où il exerçait comme officier de formation en charge des sous-officiers. Lors de son émouvant discours  le Colonel THIRY a mentionné que le Chef d’Escadron Massot a déjà une longue et riche carrière dans la gendarmerie : titulaire de la médaille d’or de la défense nationale, de la médaille commémorative d’Afghanistan et de la médaille de la reconnaissance de la Nation, il est père d’une fille de neuf mois et ‘un garçon de huit ans. Il a demandé un poste de commandement de compagnie à Gourdon pour des raisons personnelles. Gourdon correspond donc parfaitement à son choix fonctionnel et de secteur, explique le Chef d’Escadron. « C’est une compagnie chargée sur les plans opérationnel et judiciaire. Elle est calibrée pour faire face à la totalité des événements. Nous avons un effectif qui est au complet et opérationnel. »

 Prise darmes à la gendarmerie de GOURDON De gauche à droite : le Colonel THIRY, le Chef d’Escadron Massot, le Sous-préfet de Gourdon Jean-Luc Brouillou.

 

Lors de son discours le Sous-préfet de Gourdon Jean-Luc Brouillou mentionne que « Cet officier cumule 18 années passées dans la gendarmerie. Une carrière débutée en 1996 en tant que sous-officier (et qui s’est poursuivie sur le terrain en tant que sous-officier puis officier après deux années à l’école de Melun. Après être passé par l’école de Formation de Tulle et un poste à Bellac en Haute Vienne. Mais il a d’ores et déjà cerné les problématiques du territoire, réorganiser et moderniser la gendarmerie de Gourdon telle est sa mission. » Le Colonel lui rappelle qu’il n’est pas seul car il conduit les actions prioritaires gouvernementales dans la phase d’analyse et de conception, des contacts étroits au quotidien avec les différents acteurs du terrain en relation très étroite avec les autorités judiciaires et civiles (M. Le Procureur de la République et le Sous-préfet de Gourdon), les élus partenaires incontournables de la Gendarmerie Nationale, les acteurs sociaux et économiques, et la population, donc il incarne les gendarmes dans du territoire. Parmi ses priorités, il cite entre autres la lutte contre les agressions des femmes, vols de commerçants, maisons secondaires, la sécurité routière et le maintien de l’ordre public.

 

Tags : Prise d’armes, Gendarmerie Nationale, Gourdon Lot 46300,

Source : Osvaldo Villar http://www.come4news.com/le-chef-d-escadron-massot-a-succede-au-chef-d-escadron-patrick-chilliard-629819

 

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13ème Déjeuner-débat de la Francophonie « Simon Bolivar et la poésie de José Martí » à Boissières Lot 46150 CC Grand Cahors

Communiqué du 13ème Déjeuner-débat de la Francophonie « Simon Bolivar et la poésie de José Martí » à Boissières CC Grand Cahors.  

21 octobre 2012.

Dans le cadre d’une consolidation de la Francophonie « Populaire », le Professeur Edmond JOUVE Président de la Francophonie Quercy-Périgord, vous invite au déjeuner débat d’information et de contacts à l’occasion de la 13ème conférence de la Francophonie « Simon Bolivar et la poésie de José Martí », à la Salle Polyvalente de Boissières le Vendredi 26 Octobre 2012 à 12H30. Cette conférence (déjeuner-débat) est ouvert à tous.

Ce déjeuner-débat s’effectue en concertation avec les partenaires de la Francophonie. Enfin, elle réitère sa disponibilité à continuer à organiser des manifestations  ayant pour but la solidarité francophone.

Réservations 25€uros 0623387517 / 0565228068

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Vous remerciant à l’avance, je vous attend le 26 octobre à 12H30 à Boissières (Lot).

 

Le Président Edmond Jouve et Osvaldo Villar

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Grand Loto de la Francophonie en Quercy-Périgord

Afin de préparer au mieux le grand Loto de la Francophonie en Quercy-Périgord le samedi 20 juillet à 21h à la salle des fêtes de Payrignac, animé par une spécialiste Agnès. Le loto du 20 juillet prochain avec des « Jolis » lots de valeur, tous les adhérents ou amis de l’association sont sollicités pour faire des dons (lots, sommes d’argent, réduction, possibilité de regroupement pour des lots plus importants). N’hésitez pas à solliciter vos commerçants ! Nous souhaitons également vendre à l’entracte les traditionnels gâteaux, alors à vos fourneaux. On compte sur vous ! Tous les adhérents disponibles sont attendus pour les derniers préparatifs (mise en place des tables et chaises, de la buvette, des lots,) le vendredi 20 juillet 2012 à partir de 09h à la salle des fêtes de Payrignac.  Les lots devront être récupérés au plus tard le 10 juillet. Le Loto aura lieu le même jour à 21H. Plus de précisions à la prochaine réunion du 14 juillet.

 

 

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La France produit des Pauvres et la pauvreté progresse dans le Lot,et le bassin Midi-Pyrénées !

La France produit des Pauvres et la

pauvreté progresse dans le Lot,et

le bassin Midi-Pyrénées !

Publié le mercredi 21 septembre 2011 à 07H00 –

En distribuant des fruits, des légumes, des produits lactés et des vêtements, l’association Restos du Cœur, dans le quartier défavorisés de Toulouse et le Lot, tente de réduire l’impact de la pauvreté.

Le Lot – Des familles auboises tentent de vivre avec 950 € par mois, parfois moins. Les associations peinent de plus en plus à répondre aux besoins et on coupe les aides des

Il existe deux manières d’appréhender la crise : soit d’une manière abstraite en étudiant les statistiques, soit en rencontrant des familles qui n’arrivent pas à remplir leur Caddie®. Et ce genre de familles sont malheureusement de plus en plus nombreuses dans notre département, reflet d’une évolution constatée au plan national. Évolution sans aucun doute parallèle à celle du chômage dans notre pays.
Dans les locaux de l’association Lève-toi, rue des Cumines à Troyes, le constat est conforme et les témoignages édifiants. Ainsi cette femme, humble et digne, mère de trois enfants, qui avoue manger « à peu près normalement » seulement depuis qu’elle bénéficie de l’aide de cette association. « J’ai 52 ans, j’ai trois enfants âgés de 17, 15 et 8 ans. Et j’ai 950 € par mois pour vivre ». Vivre ? Ou survivre. « Dans ma situation, on ressent très durement la hausse des prix. Je ne peux absolument pas m’acheter des produits de marque. Quand je ne recevais pas d’aide de la part de Lève-toi, on mangeait juste des pâtes, du riz, des boîtes avec des saucisses-lentilles pas très bonnes. Pas de fruits ni de légumes », confie cette femme.

Jamais de poisson frais
Pas de rôti non plus, pas de bonne viande, seulement quelques steaks hachés pas chers en grandes barquettes, et jamais de poisson frais, juste des croquettes. « Pas de cadeaux non plus. On se contente d’une petite boîte de gâteaux pas chère », indique-t-elle encore.
Grâce à Lève-toi, elle a la possibilité de manger quelques fruits et légumes – « tant pis s’ils sont un peu tallés » – des yaourts, et même une brioche. « Avec mes enfants, on arrive parfois à manger deux Danone par jour, contre un par semaine auparavant. » Voilà 6 ans qu’elle vient dans les locaux de Lève-toi, presque tous les jours.
Des femmes comme elle, le président Rogers Marchand et toute son équipe en rencontrent de plus en plus, venant essentiellement des Sénardes et du quartier Jules-Guesde.

Beaucoup de nouvelles têtes
« On accueille actuellement 105 familles, soit plus de quatre cents personnes. Leurs besoins sont surtout alimentaires », note-t-il. Il évoque les nombreuses familles qui ne mangent jamais de viande et qui viennent le mercredi en espérant en trouver un peu. « Ce sont des familles touchées de plein fouet par la pauvreté. On voit pas mal de nouvelles têtes, des retraités, des femmes seules avec enfants et puis des jeunes en phase de recherche d’un travail », constate ce président. Pour répondre aux besoins, Lève-toi peut compter sur les produits fournis par la Banque alimentaire et par Intermarché. Avec des livraisons inégales, parfois avec, parfois sans produits laitiers.
Rogers Marchand espère bien obtenir des pommes de terre non calibrées et des oignons de la part d’un agriculteur aubois. Sans réponse à ce jour, il va à nouveau le solliciter.

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Communauté de communes de Catus et du Pays de Cahors prévue le 1 janvier 2010.

La CC de Catus et du Pays de Cahors

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Il est encore prématuré de dire que les bans sont affichés en mairie. Mais l’union entre les communautés de communes de Cahors et Catus est bien engagée. Lors de la présentation du projet de fusion, mercredi soir à Espère, devant 300 élus, la métaphore allait bon train dans les discours. « C e n’est pas un mariage forcé mais un mariage d’amour, et il y a la dot », résumait le président du conseil général Gérard Miquel. Le cœur et ses raisons financières.

Pourquoi réunir les deux entités ? Jean-Marc Vayssouze, Claude Taillardas et les vice-présidents des deux communautés développeront durant trois heures, un argumentaire rodé durant plusieurs réunions préparatoires. « Nous devons raisonner sur une échelle différente, c’est incontournable ». Le président du Pays de Cahors parle de l’opportunité financière liée à la réussite de la communauté d’agglomération : « Nous pourrions profiter d’une hausse de la Dotation Globale de Fonctionnement de 2,6 millions €». Il y aurait, aussi, ces 665 000 € redistribués entre toutes les communes dans le cadre d’une dotation solidaire.

Habitat, transport, économie, tourisme, environnement, culture, ces deux-là (Cahors et Catus) étaient faits pour vivre ensemble. Chacun a ses points forts, Catus l’environnement, Cahors l’habitat. L’agglomération sera selon les parents du projet « l’addition des compétences des uns et des autres ».

Pas une voix dans la salle s’est élevée pour émettre des réserves, deux ou trois interrogations c’est tout concernant les communes voisines qui n’y seront pas, Prayssac ou Puy L’Évêque.

Le « grand Cahors » qui se dessine comptera 40 000 habitants, et déjà, des élus voient plus loin avec l’objectif d’une communauté d’agglomération de 50 000 habitants.

Angelo Parra signe la Convention du Grand Site de Rocamadourt

Patrimoine

Midi-Pyrénées. Signature de la convention «Grand site de Rocamadour»

La signature du contrat de grand site de Rocamadour le 15 octobre par cinq entités (1) constitue un nouvel exemple d’action concertée de valorisation du patrimoine naturel et culturel en Midi-Pyrénées.

La convention est le fruit d’un travail collectif qui cherche à redynamiser la cité mariale, lieu de pèlerinage depuis le Moyen-âge. Aujourd’hui, le million de touristes a mis à mal la beauté du site accroché à sa falaise. Parmi les axes définis dans la convention figurent la restauration du patrimoine emblématique de la cité, la mise en œuvre d’un schéma de circulation, la définition et la diversification de l’offre touristique, ou encore la valorisation d’espace publics pour répondre aux besoins liés aux événements organisés dans la ville.
Le site de Rocamadour fait aussi l’objet d’un plan stratégique de développement et de gestion. Il est porté par un syndicat mixte qui associe le conseil général du Lot, le conseil régional de Midi-Pyrénées et la commune.

Rocamadour fait partie des 17 sites touristiques régionaux à forte notoriété retenus suite à l’appel à projets du conseil régional lancé l’automne dernier. Intégré à un réseau régional, ils profitent d’une communication structurée.
Une fréquentation au moins équivalente à 200.000 visiteurs par an, un patrimoine naturel et culturel remarquable et l’engagement à créer des équipements garantissant la qualité de l’accueil ont fait partie des critères de sélection. Les 17 grands sites reçoivent chaque année 13 des 15 millions de visiteurs recensés en Midi-Pyrénées.
Le Lot compte trois autres grands sites : Cahors, Figeac, Saint-Cirq-Lapopie.

(1) Pascal Jallet, maire de Rocamadour, Gérard Miquel, président du conseil général du Lot, Jean-Louis Guilhaumon, vice-président du conseil régional de Midi-Pyrénées, Angelo Parra, représentant de Serge Juskiewenski, président du parc naturel régional des Causses du Quercy, et Mariette Bonnet, présidente de la Maison du tourisme de Rocamadour

Cahors des caméras pour lutter contre la violence…c’est peut-être prématuré…

GénéralLe Maire Jean Marc Vayssouze « des caméras en ville :  c’est prématuré »

Un des objectifs du contrat local de lutte contre la délinquance serait la

pose de caméras de surveillance. La question n’est pas tranchée.

Des yeux partout pour scruter la ville 24 heures sur 24, afin de lutter contre les vols et autres exactions. Le scénario pas si invraisemblable que cela n’est encore qu’au stade des réflexions. Le préfet du Lot, Jean-Luc Marx avait évoqué le sujet en présentant l’autre jour son plan d’action contre la délinquance. Abordant la question des Contrats locaux de sécurité et de prévention de la délinquance conduits sur Cahors et Figeac, il avait cité parmi les objectifs l’implantation de caméras de vidéoprotection.

« On attend ce mois-ci les conclusions de l’audit global sur la sécurité qui a été financé par la communauté de communes du Pays de Cahors et par l’État. Ensuite précise, Jean-Marc Vayssouze, on instaurera le contrat local de deuxième génération. Parler de caméras dans la ville, c’est prématuré ». Le maire qui siège, déjà, au sein de la Commission départementale de vidéo- surveillance (1) parle de garde-fous nécessaires « pour préserver les libertés publiques ».

Pourtant, des caméras filment déjà, discrètement devant certains établissements bancaires, dans des sites sensibles, dans les parkings payants de la ville à l’Amphithéâtre par exemple.

François Sol, le président des commerçants de Cahors Actif y est favorable : « Au parking de Gaulle, il y avait régulièrement des détériorations. Depuis qu’il y a les caméras, il n’y a plus de dégât. Alors des caméras dans le centre ville, où des commerces ont parfois des vitrines brisées, pourquoi pas ? ».

La première caméra à avoir fait couler plus d’encre que d’images avait été fixée en haut du bâtiment de l’office de tourisme, pour surveiller le chantier de fouilles du parking souterrain.

La généralisation du système ne semble pas à l’ordre du jour. Le maire s’interroge sur son efficacité. Des villes voisines ont choisi, elles d’établir un maillage complet c’est le cas de Montauban qui dispose de 33 caméras placées sur les artères principales.

1-La commission départementale de vidéo surveillance, présidée par une ancienne magistrate, Lucie Le Houx examine toutes les installations de caméras.


Sur les ponts, points de passage obligé

Nicolas Canouet, commissaire et directeur des polices urbaines confirme le rôle prépondérant des élus locaux sur ce type de projet. « La mairie en est le principal financier et c’est elle qui pilote. Nous avons nous, préfecture, services de police et de gendarmerie, un rôle de persuasion et de conseiller technique ».

Selon le commissaire, l’implantation des caméras doit tenir compte de la réalité urbaine, de la situation des négoces, du relief. « Cahors est enserrée dans la boucle du Lot, ses ponts sont des lieux de passage obligés, la vidéo pourrait permettre de repérer les plaques d’immatriculation ».

L’expert rappelle l’importance de la configuration de la cité : « Le boulevard en est l’axe central, forcément, il devrait être équipé, puis il faudrait peut-être élargir la surveillance à toute l’agglomération en incluant, Pradines et Mercuès en proportion avec le problème de délinquance ».

Réunion de Cap21 du Lot à la Grange de Marcillac à Saint Cyprien Lot (46)

Le samedi 31octobre 2009 là 20H30 aura lieu la première réunion repas du Mouvement Démocratique Cap21 du Lot aura lieu à la Grange de Marcillac avec tous les adhérents et nombreuses personnalités. entrée libre. Débat sur le Centrisme tenu par Alix Gérard. Venez nombreux à la Grange de Marcillac à Saint Cyprien près de Montcuq.