NATIONAL
Soutien Scolaire aux écoles et au collège
Friccionado. El partido entre argentinos y ecuatorianos fue un partido reñido durante los 90 minutos.
Manejando el ritmo del partido y controlando la presión que ejerció desde los primeros minutos Newell’s Old Boys de Rosario (Argentina), Liga de Quito consiguió un empate 0-0, que le favorece para la vuelta en su estadio Casa Blanca, por los cuartos de final de la Copa Sudamericana. Antes del partido el entrenador del cuadro ‘universitario’, Edgardo Bauza, mencionó que iba a plantear el mismo esquema que en casi todos los partidos, es decir cerrando las salidas por las bandas, achicando el accionar de los rivales en el medio campo, lo que origina seguridad en la defensa y cuando se generen espacios contragolpear. El sistema le resultó a Bauza y sus dirigidos, porque el cuadro argentino no encontró espacios para penetrar al bien planteado equipo ‘Azucena’, sobre todo en el primer tiempo. Para la segunda mitad el entrenador de Newell’s, Néstor Sensini, trató de que su equipo ataque con más equilibrio al arco defendido por José Francisco Cevallos, sin embargo sus instrucciones no encontraron eco en Mauro Fórmica y Nicolás Sperduti, quienes eran los encargados de crear las jugadas de peligro en el elenco gaucho. Los defensas Carlos Espínola y Enrique Gámez fueron las variantes que realizó Bauza para mantener el resultado a su favor. Los centros al área ‘Azucena’, en los últimos minutos, fueron bien evacuados por la zaga del campeón sudamericano. La vuelta será en la Casa Blanca La revancha entre Liga de Quito y Newell’s Old Boys de Rosario será el próximo 10 de noviembre en la Casa Blanca. Los ‘albos’ clasifican a semifinales de la Copa Sudamericana con vencer con un gol de diferencia. El colombiano Óscar Julián Ruiz será el juez central, asistido por sus compatriotas Abraham González y Humberto Clavijo, el cuarto árbitro es el también ‘Cafetero’ Imer Machado |
C’est en réponse à la proposition de Jean-François Copé que Luc Chatel a fait cette annonce. En effet, le président du groupe UMP à l’Assemblée nationale avait envisagé la création d’un examen, en fin de CM2, « de validation des savoirs fondamentaux ».
Pour la communauté éducative (parents, syndicats enseignants, mouvements complémentaires de l’école et associations pédagogiques), c’est surtout un moyen de trier les élèves et de rétablir, peu ou prou, le système élitiste antérieur : une provocation presque, alors même que les élèves en fin de scolarité obligatoire (donc à la fin du collège) sont censés maîtriser le socle commun de connaissances et de compétences.
Le ministre de l’Éducation nationale ne semble pas séduit par la suggestion de Jean-François Copé : « Qu’est-ce que vous faites des 25, 30, peu importe le nombre, des élèves qui n’ont pas ce diplôme ? Vous les laissez en CM2 une année, deux années, trois années. Le redoublement n’est pas la réponse. » Un bon point, monsieur le Ministre
Partenariat social avec les Services publiques !
Services : vers des guichets uniquesterritoires ruraux
Denis Chabert et le Préfet Jean-Luc Marx ont installé le comité de pilotage et de suivi, vendredi.
Durant 18 mois, le Lot va expérimenter le partenariat national « + de services au public » visant à offrir dans un même lieu une offre commune et supplémentaire de services publics et au public. Pour accroître l’attractivité des zones rurales.Imaginez que dans un seul et même lieu, sur votre canton, vous puissiez bénéficier des services de La Poste, ERDF, SNCF, GRDF, Pôle Emploi, la CPAM, la CAF, la MSA et la CNAV ? Cet ensemble de services permettra-t-il un maintien démographique voire une attractivité supplémentaire pour de néoruraux ?C’est le pari de l’expérimentation du partenariat « + de services au public » pour lequel le préfet du Lot Jean-Luc Marx a officiellement installé le comité départemental de pilotage et de suivi, vendredi après-midi.Une action dans le sillage des Assises des Territoires Ruraux de novembre 2009 qui avaient mis en lumière la nécessité de disposer d’un minimum de services pour rendre les zones rurales attractives, en favorisant l’égalité d’accès aux services.C’est ainsi que l’état et les dix opérateurs de services publics cités plus haut ont signé un accord de partenariat (lire encadré) débouchant sur une expérimentation dans 23 départements, dont le Lot (seul département choisi en Midi-Pyrénées), durant 18 mois.Composé de représentants de l’état dont le préfet et Denis Chabert (sous-préfet de Gourdon en charge du dossier), d’élus et des directeurs des opérateurs concernés, le comité de suivi a pour mission de valider le diagnostic sur l’accès aux services et d’identifier comme de valider les projets et sites de mise en œuvre de l’expérimentation.
A quand le remanient casse tête ?
A quand le remaniement case-tête prévu en novembre par Nicolas Sarkozy
publié le 02.11.2010 04h00
Annoncé voilà cinq mois mais repoussé semaine après semaine, le remaniement prévu pour ce mois de novembre reste conditionné au choix délicat du Premier ministre. Fillon, Borloo, Lagarde, un quadra, une surprise ? Le jeu reste ouvert

Au mois de novembre oui mais quand ?
Les fenêtres pour une annonce ne sont pas nombreuses. Le numéro 1 chinois Hu Jintao arrive jeudi en France pour trois jours, le Président français enchaîne avec le G20 à Séoul (10 au 10 novembre). Un remaniement ne s’annonce pas dans une séquence internationale. Restent demain, lundi prochain ou au-delà du 15, quand la réforme des retraites aura été visée par le Conseil constitutionnel et promulguée. Voire après le sommet de l’OTAN à Lisbonne (19-20). Faute de dates, chacun tente donc de sauver sa place surtout les plus menacés comme Roselyne Bachelot clamant qu’elle a réussi « la pus grande réforme du système de santé sans douleur » ou Eric Woerth estimant « avoir mené sa réforme jusqu’au bout ». Certains jouent les conseilleurs. L’ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin demande un acte II du quinquennat axé sur « la justice sociale et le logement avec une équipe neuve ». Il vante les mérites de Jean-louis Borloo. Au contraire, Alain Juppé et Edouard Balladur
« flinguent » le ministre de l’Ecologie qualifié par Fillon de… « zozo » sur la gestion de la pénurie de carburants.
Trois options, trop de noms pour Matignon
Garder François Fillon, nommer Jean-Louis Borloo, créer une surprise en nommant une femme ou un « jeune » ? Les trois options présentent leurs avantages et leurs inconvénients. Quand on connaît le goût pour le mouvement perpétuel du Président, le maintien de l’actuel Premier ministre peut étonner. Pourtant 51 % des Français et pas loin de deux députés UMP sur trois souhaitent son maintien. Fillon garantit la paix à droite. Il est droit dans ses bottes, maîtrise sa parole, plaît à l’électorat conservateur, gaulliste et catholique. En le maintenant, Nicolas Sarkozy l’empêche de devenir un concurrent pour 2017 en cas de mauvais sondages. L’inconvénient de taille avec ce statu quo, c’est que l’opinion lira « rien ne change ». Aussi l’option Fillon provoquerait-elle un remaniement dans les très grandes largeurs qui laisserait amers bien des ministres partants.
Le choix de Jean-Louis Borloo, ministre le plus populaire après Rama Yade, donnerait une couleur plus sociale, un ton plus décontracté et une touche centriste avant la présidentielle. Mais le prix à payer est lourd : Fillon y verrait une « humiliation », Balladur « une bourde ». Copé, Kosciusko-Morizet et l’aile droite de l’UMP le détestent. En plus, l’homme reste imprévisible malgré ses efforts. Une ministre juge néanmoins qu’il, « a une vraie épaisseur politique, un vrai charisme. Il est dans la catégorie au-dessus des quadras de l’UMP ».
La surprise du chef ?
Justement, l’hypothèse d’un quadra n’est pas saugrenue, surtout si les cadres (Hortefeux, Michèle Alliot-Marie, Borloo) restent au gouvernement. Mais lequel ? Le plus ambitieux, Jean-François Copé prendrait plutôt la tête de l’UMP mais sous contrôle de fidèles du Président. Xavier Bertrand reviendra au gouvernement mais son bilan contesté à l’UMP l’écarte des prétendants ? Luc Chatel (Education), Bruno Le Maire (Agriculture), François Baroin (Budget) ? Ces trois-là n’ont pas commis d’erreurs, ont plu au Président. Mais ils comptent beaucoup d’ennemis et sont pour le moment restés en deuxième ligne.. Enfin, le Président peut aussi jouer la dame. L’étoile de Michèle Alliot-Marie semble pâlir, celle de Christine Lagarde briller davantage même si le social ne colle pas vraiment à son image. Face à ce choix qui engage directement la campagne de 2012, Ncolas Sarkozy, l’homme pressé par nature, s’est donné le temps. Il n’est plus à 15 jours près.
Sarkozy:Quand les chiraquiens menent la danse
Sarkozy: la revanche des chiraquiens ne fait que commencer
En cette fin septembre, après une rentrée pour le moins difficile, Nicolas Sarkozy donne l’image étonnante d’un Président génétiquement modifié.
Un croisement loupé entre Machiavel et Louis XVI.
Louis XVI ? Le président de la République préfère jouer au monarque et ignorer les français et les engagements qu’il a pris devant eux. Comme le déclarait vendredi Ségolène Royal, Nicolas Sarkozy fait « penser
à Louis XVI dans son palais qui fermait ses volets pour ne pas
entendre le peuple gronder« .
Et tel Machiavel, le locataire de l’Elysée est bien plus préoccupé par le renouvellement de son bail et les moyens de parvenir à une réélection que par la situation dramatique que vivent bien des français. L’économiste Emmanuel Todd a expliquait mardi sur
France 3 à propos de Nicolas Sarkozy qu’un « président de la République qui, en situation de déroute économique, consacre son énergie à pourchasser quelques gitans n’est plus dans sa fonction« .
Ce Sarkozy oscillant entre Louis XVI et Machiavel a peaufiné ses élements de langage et une communication aussitôt publiés dans Le Monde pour expliquer combien il est serein.
« Tout va bien, je vais bien« , « Même pas mal » l’entend-on presque souffler dans les bronches des journalistes accrédités à l’Elysée.
Nicolas Sarkozy va même jusqu’à fanfaronner si fort que ses mots sont couchés noir sur blanc dans Le Canard Enchainé :
« J’ai tout en tête. Mon calendrier, ma stratégie. Je veux cliver. A fond. Pour l’instant, vous n’avez encore rien vu.«
Pourtant tous les grands fauves politiques ont vu quelque chose de bien différent. Un animal politique blessé.
Oui, Nicolas Sarkozy est affaibli. Il a beau faire passer dans les médias le message de la sérénité, le bateau élyséen prend l’eau de toutes part. Sur la scène intérieure, le « système corrompu » est apparu au grand jour et à tous les français notamment avec l’affaire Woerth-Bettencourt. Et MediaPart n’a pas encore tout publié… En matière de politique économique et sociale aussi, la réforme des retraites comme avant elle la mise en place du plan de relance ont montré que la balance élyséenne penchait du côté des nantis et des très grandes fortunes protégées derrière le bouclier fiscal.
Et la fuite en avant sécuritaire de cet été, même préparée de longue date, démontre que l’Elysée perd pied et a besoin de la peur pour se raccrocher.
Dans le Grand Bleu de l’UMP, les requins blancs chiraquiens ont senti l’odeur du sang. Ils se sont mis en chasse sans perdre de temps. Et ils ont commencé à encercler l’Elysée.
C’est l’affaiblissement estival de Nicolas Sarkozy qui a permis l’offensive tout à azimuth des 4 « bébés Chirac« comme se désignent eux mêmes, François Baroin, Jean-François Copé, Christian Jacob et Bruno Le Maire.
Les anciens « tricards de la Sarkozye » ont pu ainsi sortir à découvert et publier dans Le Figaro une tribune cosignée à 4 établissant « les conditions de la victoire en 2012″ mais qui surtout leur permet d’afficher avec force les ambitions. Les dernières lignes de leur
tribune est limpide comme de l’eau du grand bleu dans laquelle nagent ces grands requins chiraquiens :
« Si l’on veut entraîner les Français dans une dynamique de réforme, on ne peut pas tout décider depuis les bureaux à Paris. Il faut que le président de la
République puisse s’appuyer sur un trépied solide constitué d’un gouvernement resserré, d’une majorité parlementaire engagée et d’un parti redynamisé. »
C’est la transparence selon Jean-François Copé. La transparence de l’ambition affichée, à défaut de la transparence de la politique menée.
Copé vise donc ouvertement la direction de l’UMP tandis Baroin et Le Maire se placent pour Matignon et Bercy.
Et Jean-François Copé pourrait bien arriver à ses fins. Tout Chiraquien qu’il est et malgré la casserole de l’énorme niche fiscale Copé de 20
milliards d’euros qui plombera le budget de la France pour des années.
Jean-François Copé pourrait obtenir la direction de l’UMP des mains de Nicolas Sarkozy. D’après Le Monde cela se ferait dans six mois seulement, pour ne pas humilier son actuel secrétaire général, Xavier Bertrand, ennemi juré des Chiraquiens.
Pour sauver ce qui peut l’être encore ?
Pourtant d’après un tweet de Nicolas Domenach, journaliste à
Marianne, c’est loin d’être fait. Un conseiller de l’Elysée lui aurait dit sa certitude :
Mais Nicolas Sarkozy a-t-il le choix ?
La droite Sarkozyste s’est complètement démonétisée à forcer de jouer aux porte-flingues du président et de répéter à l’envie et souvent sans conviction des élements de langages sortis de tout droit de l’Elysée. L’épisode estival de frontnationalisation de cette Sarkozye n’aura rien arrangé. François Fillon à Matignon continue de faire de l’ombre à son président. Et le centre-droit a explosé au fil des années rendant à mon sens peu probable l’hypothèse Borloo à Matignon. Quand bien même d’après Rue89, Borloo ne semble pas avoir de doutes
sur sa nomination comme premier ministre.
Après avoir offert des gages à l’extrême-droite, Nicolas Sarkozy, capitaine d’une navire coule lentement mais surement, doit vite trouver un moyen d’écoper … en rassemblant la droite. Alain Juppé, autre chiraquien historique, est ainsi prêt à entrer au gouvernement.
Reste que confier la barre à un Jean-François Copé et aux « bébés Chirac » est une décision forcément difficile pour Nicolas Sarkozy. On comprend qu’il ne cesse de repousser l’échéance de ce remaniement annoncé si longtemps à l’avance. Il doit bien avoir, tous les jours, à l’esprit ce qu’il a fait subir à Jacques Chirac en étant lui-même patron de l’UMP et ministre de l’intérieur.
Jean-François Copé ne cesse d’ailleurs de le répéter :
« L’engagement, ce n’est pas l’allégence« .
Avec le quator chiraquien Baroin, Copé, Jacob et Le Maire tenant solidement position à l’intérieur de sa majorité et un Dominique de Villepin bien
décidé à peser depuis l’extérieur, Nicolas Sarkozy est bien parti pour vivre dans la douleur la revanche du clan Chirac.
Et un Jean-François Copé qui vise ouvertement l’Elysée en 2017 a-t-il vraiment intérêt à favoriser la ré-élection de Nicolas Sarkozy? Copé à qui cette question était posée a jugé cette hypothèse « ridicule ». « Il faut juste être malade
mental pour jouer la défaite de son camp » a-t-il répondu.
Malade mental ? Voilà une réponse qui a dû bien faire plaisir à Jacques Chirac qui avait son temps discrètement joué la défaite de Valéry-Giscard d’Estaing…
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Carrefour : Reprise par Mestdagh
Carrefour
Par Osvaldo Villar
Mis en ligne le 24/02/2010

L’analyse faite par Carrefour de son parc de magasins intégrés (les franchisés ne sont bien sûr pas concernés par ce plan) aboutit au constat que 27 de ses hypermarchés (sur 56) et 25 supermarchés (sur 61) sont "structurellement déficitaires depuis 2005". Pour certains d’entre eux, le groupe envisage une fermeture pure et simple. Pour d’autres, il évoque une potentielle reprise. "Notre partenaire, le groupe Mestdagh, a déclaré être intéressé par la reprise de 17 supermarchés et même éventuellement 3 hypermarchés aux conditions Mestdagh", a-t-il clairement indiqué tant au conseil d’entreprise que lors de la conférence de presse. Tout en ajoutant que "11 des 17 "super" et les 3 "hyper" sont structurellement déficitaires" (* dans la liste ci-dessous).
Ces 20 points de vente sont principalement situés à Bruxelles (Jette, Brusilia*, Bruxelles Les Halles*, Molenbeek/Mettewie*, Uccle Vanderkindere*) ou en périphérie bruxelloise (Waterloo Centre*, Rixensart), les autres l’étant dans le Hainaut (Houdeng, Gosselies*), le Brabant wallon (Jodoigne), le Namurois (Namur-Bouge*, Namur-Belgrade, Eghezée) et pas mal à Liège (Ans*, Angleur-Belle-île*, Liège-Blonden*, Liège-Cointe*, Heusy*, Spa*, Tilf*). Une répartition qui pourrait convenir au groupe Mestdagh – 69 magasins Champion – qui est surtout hennuyer et peu présent à Liège comme à Bruxelles.
Cette reprise n’a peut-être pas été présentée comme effective, mais le ton est tel qu’on pouvait penser que des discussions avaient été menées entre les deux groupes. "Je n’ai eu aucun contact avec Carrefour, indiquait pourtant mardi matin Eric Mestdagh, administrateur-délégué du groupe. Je confirme toutefois mon intérêt pour la reprise de magasins. Il y a 3 ans – quand on parlait de la fermeture de 16 magasins, qui seront finalement franchisés – j’ai envoyé un courrier à José Luis Duran (directeur général du groupe de l’époque, NdlR) expliquant que s’il y avait des opportunités de reprise, j’étais preneur. Mon discours n’a pas changé, et cette lettre est toujours d’actualité. Mais il n’y a rien de fait. Il nous faudra juger les dossiers en fonction de leur localisation, l’état du bâtiment, les coûts structurels. On analysera ceux que Carrefour nous présentera, qu’il y en ait 2, 3, 17 ou 25. Mais jusqu’à présent, je n’en ai aucun sur mon bureau."
Bien que le format traditionnel des Champion ne dépasse pas les 2 500 m² (pour une moyenne entre 1 200 et 1 300 m²), la présence de 3 hypermarchés (plus de 5 000 m²) sur la liste ne semble guère l’interpeller. "Notre métier, c’est les supermarchés, mais 2 500 m² n’est pas un maximum pour nous. Qui n’avance pas recule " Et d’ajouter qu’il serait heureux que Gérard Lavinay (patron de Carrefour Belgique) lui téléphone. Ce que ce dernier a finalement fait mardi matin, après le conseil d’entreprise extraordinaire. Et de tempérer quelque peu la réalité de cette reprise. "Cela reste une proposition, a-t-il dit. S’il n’y a pas d’accord avec Mestdagh, il faudra passer par une autre solution : franchise ou fermeture."
Mais pourquoi, tant qu’à évoquer une reprise, ne pas mettre sur le marché tous ceux dont il juge devoir se défaire ? Autrement dit aussi les 14 "hyper" et les 7 "super" dont la fermeture est annoncée. Ils sont principalement situés en Flandre où Mestdagh n’est pas présent, ce qui pourrait l’intéresser. "Parce qu’ils sont trop lourdement déficitaires, répond Gérard Lavinay, ou que, selon nous, leur potentiel commercial, même important, ne suffira pas." A moins que le propriétaire des bâtiments, le groupe Redevco, voient la possibilité de transformer ces grandes surfaces en petits centres commerciaux regroupant 4 à 5 moyennes surfaces. Comme il l’a fait à Jemappes (site abandonné par GB) ou à Hognoul (par Ikea), pour ne citer qu’eux.
La course présidentielle du 2012
Beaucoup au départ, peu à l’arrivée. Dans la course à la présidentielle de 2012, le corpus centriste de la politique française est constitué d’une pléiade de prétendants. François Bayrou, Hervé Morin, Jean-Louis Borloo et même Dominique De Villepin espèrent capter cette force d’appoint. Peu y arriveront. Mais tous caressent un rêve : que l’histoire bégaye une nouvelle fois en 2012 après les 18 % obtenus par le Béarnais il y a trois ans. Pour Hervé Morin, la marge de manœuvre est étroite. Son parti qui est vite apparu comme la marionnette centriste de Nicolas Sarkozy, ne peut guère espérer plus qu’une participation gouvernementale. Le Nouveau Centre est encore dans le gouvernement et son démarquage n’est pas naturel. Voilà pourquoi depuis plusieurs mois, Hervé Morin prend ses distances avec
cachePubVide(‘pubCarreEdit’);la majorité. Y être sans y être… Telle est la question posée à ce jeune parti. Donner le sentiment à l’opinion que le Nouveau Centre est sur la voie de l’émancipation est une petite musique qui sonne bien. Mais, en restant attelé au gouvernement, le NC n’aura aucune marge de prospérité. Hervé Morin peut espérer tout au plus un succès d’estime en 2012. La voie qui s’ouvrirait alors à lui ne serait pas nouvelle. Qu’elle est longue la marche du porteur d’eau de l’UMP…
Terrorisme. La menace comparable à 1995
Terrorisme. La menace comparable à 1995
12 septembre 2010 –
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C’est bien pourquoi les français se détournent d’un Sarkozy en qui ils avaient mis tous leurs espoirs en 2007.
Oui ils avaient et ont envie de réformes parce qu’ils ont compris que le monde a changé, qu’il faut dépoussiéré nos vieux systèmes où, les fonctionnaires de l’éducation, de la justice, etc… croient détenir la vérité et ne veulent rien changer.
Mais ils ne veulent pas de réformettes biscornues, faites à l’emporte pièce, bricolées au gré des faits divers.
C’est là où je trouve que le quinquénat est une erreur, il eut mieux valu que l’on instaure un septennat non renouvelable. Un chef d’Etat aurait besoin de plus de temps pour faire des réformes d’envergure, sans toujours penser à la nécessié de faire au plus pressé et donc au pas de course avant les prochaines présidentielles.
OUI
aux jurés populaires en correctionnelle.
Mais quand LES JUGES VONT-ILS cesser de jouer avec la justice française ? ILS ONT vraiment besoin de cela.
La dernière idée de Nicolas Sarkozy – installer des jurés populaires auprès des magistrats professionnels dans les tribunaux correctionnels – m’apparaît comme TRES BIEN.
Aussi UTILE que NECESSAIRE. Il veut ainsi rapprocher le peuple de la justice. Il pense aussi que les sanctions infligées seraient plus lourdes que celles prononcées par les seuls juges professionnels.BRAVO !
bonsoir
oui je suis pour les jurés populaire car je suis d’accord avec le président sur cela les professionnel,sont trop indulgent , ce qui ne se passerait pas avec des juges populaire,
Je ne suis pas de votre bord politique mais je suis tout à fait d’accord avec vous.
De plus, il n’est pas du tout sûr que les peines soient aggravées. En fonction de l’empathie que pourra faire naître l’accusé, les peines pourront être plus légères.
Des magistrats professionnels ont l’habitude de ce genre d’affaires et savent, quelles que soient les critiques qui peuvent leur être adressées, dans quelle fourchette de peines on peut condamner l’accusé.
@ Tenomis : Quand Nicolas Sarkozy cessera-t-il de jouer avec la justice française et d’empiler les lois et les réformes les unes sur les autres?
L’importante marge actuelle d’appréciation des juges ouvre la porte à l’arbitraire … et à l’injustice.
Le juge tire sa position actuelle de la réussite d’un concours administratif. Quel est donc sa légitimité ? On espère ainsi avoir une justice normée et donc objective rendue par des techniciens du droit. Or ces juges ne sont pas représentatifs de la société qu’ils régulent, d’où le sentiment d’injustice résultant de leurs décisions.
La solution du jury populaire pur serait probablement plus acceptée par la société, mais la justice rendue sur le coup de l’émotion risque de s’affranchir des principes du droit.
Deux solutions pratiques existent :
– l’élection des juges par les citoyens, éventuellement à partir de candidats jugés techniquement compétents,
– cantonner les juges à la vérification de la conformité au droit des décisions rendues par les jurés populaires.
Ces deux solutions remettent en cause le jacobinisme français et l’idée selon laquelle le peuple, forcément inculte, doit être guidé par ses élites technocratiques.
Il est possible que le droit y perde un peu, la démocratie, elle, y gagnera.