Financement public : MoDem 1, Nouveau
samedi 17 mai 2008
Le parti de François Bayrou devrait recevoir 3.8 millions d’euros, car il compte plus de 50 candidats ayant dépassé aux législatives le seuil des 1% des voix dans au moins 50 circonscriptions.
LA GEORGIA CONDAMNE LES REPRESAILLES RUSSES
Georgia condemns Russian actions |
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Georgia has shown the BBC footage which it says proves Russian troops are deploying heavy military hardware in the breakaway region of Abkhazia. An interior ministry official in Tbilisi said the video footage was from an unmanned Georgian spy plane. He said it proved the Russians were a fighting force, not just peacekeepers. Moscow strongly denies the claim. Tensions remain high between Moscow and Tbilisi over Abkhazia and another breakaway region, South Ossetia. The two territories are controlled by pro-Russian separatists. Last month, Russia moved hundreds of paratroopers into Abkhazia, insisting they were just peacekeepers. Drone wars The footage was shown to the BBC by Georgian interior ministry official Shota Utiashvili.
He also said it was essential for Georgia to continue send its spy planes, or drones, for intelligence gathering missions in Abkhazia to assess the potential risk. "We think that Georgia, especially at a time when we have confirmed reports of massive military deployments from the Russians, and ultimatums presented again by the Russians and the Abkhaz, we have the right to know what’s going on there, to be ready," Mr Utiashvili said. The Abkhaz separatists say they have shot down seven Georgian drones in recent months, although Tbilisi insists that only one of the planes has been downed. Last month, Georgia accused Russia of shooting down its drone – a claim denied by the Kremlin. Georgia’s pro-Western authorities believe that Russia is fuelling the separatist conflict to maintain its influence in Abkhazia and damage Georgian hopes of joining Nato, the BBC’s Matthew Collin in Tbilisi says. |
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Réunion du MoDem 46
Mairie de la Bastide Murat Dans Le Nord du Lot 46
Samedi 17 mai à 18h00
CENTRE Financement public : MoDem 1, Nouveau Centre 0
CENTRE
Financement public :
MoDem 1, Nouveau Centre 0
Le parti de François Bayrou devrait recevoir 3.8 millions d’euros, car il compte plus de 50 candidats ayant dépassé aux législatives le seuil des 1% des voix dans au moins 50 circonscriptions.
Le président de l’UDF-MoDem François Bayrou (Reuters)
L‘UDF-Modem pourra bénéficier d’un financement public, ce qui ne sera pas le cas du Nouveau Centre, qui n’a pas atteint aux législatives, le seuil des 50 candidats ayant obtenu 1% des voix dans au moins 50 circonscriptions, a-t-on appris mercredi 5 septembre. L’UDF-MoDem s’attend à une stabilité de ses comptes en recevant la même somme qu’en 2005.
Cette année là, l’UDF avait obtenu 1,55 million d’euros au titre de la première fraction, calculée sur le nombre de voix obtenues aux précédentes législatives et 3,05 millions d’euros, au titre de la deuxième fraction, calculée sur le nombre de parlementaires, selon les derniers chiffres parus au J.O. (Journal officiel).
Montant de la 2e faction inconnue
En ajoutant un remboursement de l’Etat de 800.000 euros au titre des frais pour le référendum de mai 2005 sur la Constitution européenne, le total de l’aide budgétaire publique s’élevaient à 5,4 millions d’euros.
Après les législatives de juin 2007, l’UDF-MoDem devrait obtenir 3,8 millions d’euros au titre de la première fraction.
Le montant de la deuxième faction sera connu quand les députés auront signé leur déclaration d’appartenance à un parti, c’est-à-dire en novembre.
Lors des législatives, François Bayrou avait créé un nouveau parti, le MoDem. Peu de cadres de l’ancienne UDF l’avaient rejoint, préférant soutenir Nicolas Sarkozy, au sein du parti Nouveau Centre.
L’UDF-MoDem compte 4 députés dans ses rangs en 2007 contre 29 UDF dans la précédente législature. Mais l’on ne sait pas combien il compte de sénateurs, qui n’ont pas encore révélé leur choix.
"Il faut corriger" la loi
Pour le Nouveau Centre, qui compte 20 députés, la situation est toute différente, car ses candidats ne se sont pas tous inscrits sous la même étiquette.
Seuls 43 de ses candidats auraient dépassé 1% des voix.
La situation sera tranchée par le ministère de l’Intérieur, qui officialisera les chiffres dans un décret attendu "à partir de février 2008", selon la Commission nationale des comptes de campagne et des financements publics.
"La loi sur le financement public présente des inconvénients majeurs, qu’il faut corriger", a estimé mercredi François Sauvadet. Le chef de file des députés Nouveau Centre se demande " comment un parti qui a un groupe à l’Assemblée pourrait-il ne pas avoir de financement public ?".
HUGO CHAVEZ demande des Excuses a MME MERKEL
Chávez pide disculpas a Merkel y acepta la
invitación de la Canciller a Berlín
16/05/2008 22:15
LIMA, 16 (EUROPA PRESS)
El presidente de Venezuela, Hugo Chávez, pidió hoy disculpas a la canciller alemana, Ángela Merkel, tras la críticas que el mandatario realizó a principios e esta semana contra su par alemana. De esta manera ambos dieron por superado el ‘impasse’ bilateral e incluso Chávez aceptó la invitación de Merkel a Berlín.
Momentos antes de la foto oficial de jefes de Estado y de Gobierno de la V Cumbre América Latina y Caribe y Unión Europea que se celebra en Lima, Chávez reveló que se disculpó ante Merkel a quien reconoció que había sido muy duro en sus declaraciones. Añadió que la canciller alemana le había invitado a visitar Berlín y que él aceptó, informa la agencia peruana de noticias Andina.
En declaraciones a los medios de comunicación aseguró que la presidenta de Argentina, Cristina Fernández, fue testigo del momento. "No he venido a pelear aquí. Me dio mucho gusto darle la mano a la canciller alemana, nos dimos un beso. Ella dijo algo por allá y yo le respondí. Cristina estaba allí, le di un beso a ella y a la canciller alemana, a quien le dije que si fui duro, ‘perdóname, aquí está mi mano’", relató.
El lunes Merkel afirmó que el mandatario venezolano no hablaba por todo Latinoamérica y que "cada país tiene su propia voz con la que persigue sus intereses. El mismo pueblo venezolano ha tomado partido con su rechazo del referéndum de enero".
Por su parte, el Gobierno venezolano afirmó que tales aseveraciones "no solo alteran la relación bilateral, sin oque ponen en entredicho la intención del gobierno alemán de querer estrechar" su relación con América Latina.
Además, Caracas emitió un comunicado el martes en el que calificó los comentarios de la canciller alemana de "inamistosos" y lamentó que precisamente se produjeran a pocos días de la Cumbre de Lima, cuyo fin era "profundizar sin excepciones, el diálogo respetuoso entre los países de ambas regiones".
Las declaraciones de la canciller alemana en las que critica al presidente Hugo Chávez "no sólo alteran la relación bilateral sino que ponen en entredicho la intención del gobierno alemán de querer estrechar los lazos de amistad con todos los países latinoamericanos y caribeños".
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