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Hooyah ! Le cris des SEALS par Karen GAGE (écrivaine américaine).
L'insigne des Fusiliers Marins Américains SEALS !
Hooyah ! Courage et esprit d’équipe sont les caractéristiques des commandos Navy SEALS. Par l’écrivaine américiane Karen GAGE.
L'insigne des Seals
Courage, désir, obéissance aux domaines dans lesquels un SEAL excelle –
Mer, Air Terre.
Quand la personne moyenne entend le mot « SEAL », la première pensée qui apparaît dans leur esprit est un mammifère aquatique (un phoque) qui soit vit sur la côte ou qui joue dans un cirque en échange d’une récompense. Pour ceux qui ont une connaissance des Forces Spéciales de l’Armée des États-Unis, toutefois, le mot SEAL est écrit en lettres capitales et il détient un sens exceptionnel.
Les SEALS sont l’élite des commandos fusiliers de Marines formés à l’instar de nos légionnaires français.
Le cri de guerre de ces Commandos Fusiliers de Marines est : « Hooyah!
». Au cours de l’entraînnement très rigoureux qu’endurent les recrues,
lorsqu’il a crié, cela veut dire « Oui », « Je Comprends » et « Je vais
donner le meilleur de moi! » (Une « évolution » en termes de SEAL désigne les divers événements entrepris pendant le programme de formation).
A SEAL Boat in action. Photo Courtesy US Navy
Les SEALS sont nés le 1er janvier 1962, avec leurs précurseurs «
Hommes-grenouilles » ou ‘Équipes de démolition sous-marine’ (UDT). De son expérience antérieure comme officier de marine au cours de la seconde guerre mondiale, le président John F. Kennedy avait reconnu qu’il y avait un besoin de former un corps pour lutter contre la guerre de guérilla (counter-guerilla) et a créé le programme du SEAL pour répondre à ce besoin. Le terme « SEAL » est dérivé des missions effectuées par ce groupe d’élite n’importe où dans le monde par, Mer, Air et Terre.
Au début, les SEALS sont composés de deux équipes. L’équipe SEAL 1 était
basée à Coronado, Californie (CA) et SEAL Team 2 à Virginia Beach, en Virginie.
La formation de ces deux groupes spécialisés dans les combats corps à corps inclus, la démolition et le parachutisme de haute altitude et de faible ouverture (HALO). Ils ont commencé leur déploiement outre-mer en mars 1962 à ’entraîner les soldats sud-vietnamiens comment lutter contre leurs agresseurs du Nord. Le conflit du Vietnam avait créé un besoin accru de participation des SEALS de guérilla, et d’inclure les embuscades comme cibles afin de perturber les lignes d’approvisionnement pour l’armée du Nord. Depuis lors, les SEALS ont joué un rôle actif dans des opérations militaires telles que : Just Cause, opération Urgent Fury, Serpent gothique et Red Wing, pour n’en nommer que quelques-unes et la dernière est GERONIMO ! 
Les « Aspirants cadets SEAL », doivent suivre un entraînnement
très rigoureux qui est brutal ! Avant d’entrer dans le programme de formation complet d’une durée de 30 mois, les recrues subissent un programme initial de cinq semaines d’endoctrinement. Ce programme sert à diviser le blé de l’ivraie et préparer les participants pour les tests physiques et mentaux exténuants auxquels ils seront confrontés. Ceux qui terminent avec succès le programme d’endoctrinement passent à la phase de conditionnement qui dure huit semaines et est beaucoup plus intensif que le précédent. Au cours du calendrier du conditionnement de base, les jours sont remplis d’entraînnement physique avec la gymnastique, apprendre à effectuer des opérations de commando sur petits bateaux.
Ils s’entraînent sur des parcours difficiles avec des courses d’obstacles quotidiennement, combinés avec la nage en océan d’une à deux milles chronométrés, le temps du chrono doit s’améliorer chaque jour.
Un autre élément vital de leur entraînnement consiste à « l’épreuve du noyé. » Au cours de cette étape, les stagiaires doivent apprendre à nager avec les pieds et mains liés. Après avoir entré dans une piscine de neuf pieds de profondeur, le stagiaire doit : effectuer de la natation artistique pendant cinq minutes et flotter cinq minutes pour ensuite nager 100 mètres. Les exercices de natation artistique pendant deux minutes ils
avancent et retournent vers l’arrière, ils nagent au fond de la piscine et récupérer un objet avec les dents, puis reviennent à la surface cinq fois de suite.
L’évolution après l’épreuve de noyé est presqu’une « torture », aussi appelée « conditionnement d’eau froide ». La température de l’eau normale pour cette formation est de 65 degrés Fahrenheit et jamais plus de 68 Fahrenheit degrés. Cette étape est composée d’exercices oblige les stagiaires à nager 1-1/2 milles vers le bas de la plage en bottes et vêtements mouillés, puis revenir à la surface. Plusieurs fois ils porteront aussi des bateaux en caoutchouc au-dessus de leur tête, et ils effectueront plusieurs tâches de suite.
Comme les recrues s’approchent de la quatrième semaine de leur entraînnement.
Jusqu’à présent ce fut du gâteau, mais les choses très sérieuses vont commencer. Ils sont confrontés à un entraînnement d’enfer. Commençant au coucher du soleil le dimanche et continue par le coucher du soleil du vendredi, les stagiaires vont subir un régime très rigoureux et vont dormir que quatre heures de sommeil pour le calendrier complet.
Les évolutions de la semaine de l’enfer comportent l’étape du transport et
maniement des Zodiacs (bateaux gonflables en caoutchouc semblables à nos Bombard) au-dessus de leur tête. Cesexercices sont chronométrés et font également partie de cette formation, impliquant en cours d’exécution de ramper à travers des vasières à divers moments au cours des cinq jours. Une partie extrêmement critique de la formation consiste à écouter attentivement les ordres. Avec leurs Esprits brouillés découlant du manque de sommeil il peuvent être dangereux pour les SEALS déployés. Les instructeurs donnent intentionnellement congés et répètent les ordres au large afin de tester l’écoute attentive des stagiaires et voir qui
est à l’écoute. Ce qui peut sembler à certains d’être trop sévère est réellement critique due aux missions que les SEALS pourraient entreprendre.
Cet entraînnement bien que très strict est nécessaire car leur vie et la vie de leurs coéquipiers en dépend.
Article written By Baren GAGE American writer.
All Photos by Courtesy US Navy.
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