Archive for juin, 2010

Retraites :Bayrou menage le chou et la chèvre

Dans son projet pour les retraites, Bayrou s’aligne sur le gouvernement quant au passage de l’âge légal à 62 ans mais critique d’autres points de la réforme, et accuse la gauche de tenir une position "non responsable".

François Bayrou lors du Congrès du MoDem à Arras (6 décembre 2009)
François Bayrou François Bayrou a présenté samedi la position du MoDem sur les retraites: il approuve le passage de l’âge légal à 62 ans mais critique l’injustice de certaines mesures du projet gouvernemental et accuse la gauche d’adopter une position "non responsable".
  • Ferme sur les retraites, plus dur sur les niches fiscales

    François Fillon a précisé lors d’une conférence de presse la réponse du gouvernement à la mobilisation sur les retraites et durcit le programme de réduction des déficits.

    Publié le 25/06/2010 Ferme sur les retraites, plus dur sur les niches fiscales

  • Retraites: Aubry dénonce une "réforme irresponsable"

    La réforme des retraites présentée par le gouvernement est marquée du sceau de l’injustice et de l’irresponsabilité, a jugé mercredi le premier secrétaire du Parti socialiste, Martine Aubry.

    Publié le 16/06/2010 Retraites: Aubry dénonce une "réforme irresponsable"

  • Réforme des retraites : les syndicats montent au front

    Sitôt après les annonces d’Eric Woerth, FO a réclamé le retrait du projet de réforme des retraites. Pour la CFDT, trop d’efforts sont à la charge des seuls salariés. Pour la présidente de la Cnav, "le compte n’est pas bon".

    Publié le 16/06/2010 Réforme des retraites : les syndicats montent au front

  • Ce sera 62 ans en 2018

    Eric Woerth confirme le relèvement de l’âge légal de départ à la retraite. Le projet de réforme prévoit de reculer progressivement de 65 à 67 ans d’ici 2018 l’âge du taux plein, qui permet à un assuré de partir à la retraite sans décote.

    Publié le 15/06/2010 Ce sera 62 ans en 2018

Plus d’infos

 
Le leader centriste s’est exprimé devant la presse à l’issue d’un conseil national de son parti qui a approuvé à l’unanimité un projet en neuf points pour les retraites. "C’est mentir aux Français que de prétendre qu’on ne pourrait pas faire la réforme ou en éviter les décisions les plus importantes. Si on ne réussit pas à conduire la réforme à son terme, on met le pays en danger", a expliqué le leader centriste en visant la position socialiste. "Le PS a choisi une ligne qui, selon moi, n’est pas responsable. Ce que les Français entendent du PS, c’est qu’au fond, on pourrait se passer de faire cette réforme", a-t-il estimé. "Je n’ai pas envie, par mon silence, d’être complice d’une telle dérive", a-t-il lancé en se disant en revanche proche de Dominique Strauss-Kahn et Michel Rocard.
 
Pour le président du MoDem, la réforme, pour être acceptable, se doit d’être juste. "Nous considérons qu’il est raisonnable de faire glisser progressivement l’âge légal à partir duquel on peut faire valoir ses droits à la retraite de 60 à 62 ans", a-t-il dit. "Si on choisissait de ne jouer que sur l’augmentation de la durée de cotisation, on créerait une situation dans laquelle tous les Français qui ont fait des études, ceux qui ont des carrières incomplètes seraient condamnés à ne pouvoir partir à la retraite que dans la zone des 70 ans ou alors, avec des retraites réduites", a-t-il fait valoir.
 
En revanche, François Bayrou ne se dit pas satisfait par le projet gouvernemental sur "la pénibilité" et "l’âge maximal de départ à la retraite sans pénalisation pour les carrières incomplètes".

Journée du mauvais arbitrage et de l’Injustice

Sports 27/06/2010 à 17h57 (mise à jour le 28/06/2010 à 00h23)

L’Allemagne et l’Argentine en quarts, deux buts polémiques

La Mannschaft a battu l’Angleterre (4-1) et la sélection de Maradonna l’a emporté sur le Mexique (3-1).

Les joueurs argentins, lors de leur matche contre le Mexique, à Johannesburg, dimanche soir.

Les joueurs argentins, lors de leur matche contre le Mexique, à Johannesburg, dimanche soir. (Enrique Marcarian / Reuters)

Ce match risque bien de rester dans l’histoire comme le «scandale de Bloemfontein». L’Allemagne s’est qualifiée, dimanche, pour les quarts de finale du Mondial-2010 en humiliant l’Angleterre (4-1) dans un match marqué par un but anglais valable et refusé par l’arbitre.

A la 38e minute, Frank Lampard a vu – comme une bonne partie du public dans un stade de Bloemfontein devenu un jardin anglais – son ballon heurter la transversale et franchir nettement la ligne, ce que confirment les ralentis télé. Mais ni l’arbitre uruguayen Jorge Larrionda, ni ses assistants, ne l’ont vu. Le visage de Fabio Capello était déformé, entre stupéfaction et colère.

L’Allemagne menait (2-1) à ce moment-là mais était en train de craquer, Upson ayant réduit le score la minute précédente!

A coup sûr, c’est le retour de la polémique sur l’arbitrage dans sa forme actuelle, sans assistance vidéo. La Fifa et le Board, instance garante des lois du jeu, vont devoir affronter un nouveau tourbillon planétaire après la main de Thierry Henry, passeur décisif le 18 novembre dernier dans le barrage retour qui qualifia la France aux dépens de l’Eire.

Clin d’œil de l’histoire

Ce but refusé, c’est un gros clin d’œil de l’histoire, avec les rôles inversés pour Anglais et Allemands, rappelant le but de Geoff Hurst en finale de la Coupe du monde 1966, contre l’Allemagne, qui nourrit la polémique depuis 44 ans. Le but avait été accordé mais les images n’ont jamais permis de prouver qu’il était valable, au grand dam des Allemands battus en finale cette année-là, qui ne digérèrent jamais ce «Wembley Tor».

Revivez le live ici.

Reste qu’avec sa performance, la Mannschaft atteint pour la huitième fois d’affilée les quarts de finale d’un Mondial (et pour la 15e fois en 17 participations). Et ce en barrant la route d’un Mondial à un adversaire historique.

Les Anglais, sortis de leur groupe au forceps, ratent pour la troisième fois d’affilée la qualification pour les quarts de finale d’une Coupe du monde. Et échouent dans leur objectif de décrocher une deuxième Coupe du monde après celle de 1966, remportée contre… l’Allemagne.

La première période fut incontestablement la plus belle depuis le début du Mondial. Les Allemands ont ouvert le score par Klose, qui a devancé la sortie hésitante de James (20). Le buteur de la Mannschaft a inscrit là son deuxième but du tournoi, son 12e en trois Mondiaux.

Désunie et dépassée par les mouvements offensifs de l’Allemagne, l’Angleterre a cédé une deuxième fois, après que Podolski marquait en angle fermé (32), après un jeu en triangle somptueux.

KO debout, les Trois Lions ont pourtant réduit  la marque par Upson, de la tête à la réception d’un corner (37). C’est alors que Lampard a réussit son fameux lob qui a franchila ligne après avoir heurté la transversale. Au retour des vestiaires, Lampard touchait encore la barre (52) d’un coup franc de 30 mètres!

Mais la Nationalmannschaft tuait le match sur deux contre-attaques conclues par un doublé de Muller (67, 70).

Hors-jeu flagrant sur le premier but albiceleste

L’Argentine a été sans pitié en huitième de finale du Mondial-2010 dimanche à Johannesburg pour un Mexique largement battu (3-1) mais qui pourra légitimement pester contre la décision de l’arbitre d’accorder le premier but albiceleste, entaché d’un hors-jeu flagrant.

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Après le but injustement refusé aux Anglais dans l’après-midi, ce sont les Mexicains qui pouvaient enrager contre la décision de l’Italien Roberto Rosetti d’accorder le but de Carlos Tevez, hors-jeu d’un bon mètre sur un service de l’inévitable Lionel Messi (1-0, 26e).

La longue discussion qui s’en est suivie n’a pas changé la donne. Le juge de ligne semblait pourtant tout d’un coup étrangement hésitant, sans doute pour avoir revu, comme les joueurs, la phase sur les écrans géants du stade Soccer City.

Le match venait de changer de visage. Car jusqu’à cette phase controversée, les hommes du sélectionneur Javier Aguirre avaient mis l’Albiceleste en difficulté, comme elle ne l’avait pas encore été depuis le début de ce Mondial. Après avoir assuré son désormais traditionnel «show» d’avant-match en direction de ses supporteurs, Diego Maradona a été rappelé à la réalité du terrain.

Dès la 8e minute, un tir de Carlos Salcido de près de 40mètres s’écrasant sur la barre a sonné comme un avertissement d’«El Tri». Ce Mexique donné battu par les parieurs et les statistiques ne quitterait pas l’Afrique du Sud sans combattre.

Mais il est difficile de se remettre d’un mauvais coup du sort. Sans doute décontenancés par l’injuste premier but, les Mexicains ont perdu pied durant quelques minutes, à l’image de l’arrière central Ricardo Osorio, coupable d’un mauvais contrôle de balle devant sa surface de réparation. Opportuniste, Gonzalo Higuain est passé par là et a profité de l’aubaine pour emmener avec lui le Jabulani qu’il propulsait au fond du but (2-0, 33e).

Dépités, les Mexicains ont concédé un troisième but qui, celui-là, ne devait rien à personne: à 25 mètres du but, Tevez a envoyé en pleine lucarne un obus impossible à arrêter (3-0, 52). Javier Hernandez a ramené le score à 3-1 d’une frappe rageuse (71), mais comme en 2006, les Mexicains sont tombé sous les coups des mêmes Argentins, à nouveau en 8e de finale.

Samedi au Cap (14H GMT), l’Allemagne tentera d’atteindre pour la 12e fois de son histoire les demi-finales d’un Mondial, contre l’Argentine.

(Source AFP)

Agenda Progressistes46 USA

By: Osvaldo Villar  
Sun 27, 2010 08:03 AM EST

 

McCHRYSTAL’s LAST BRIEFING TO NATO GAVE BLEAK OUTLOOK — Years, not months — The (British) Independent on Sunday: ‘[T]he ‘runaway general’ briefed defence ministers from Nato and the International Security Assistance Force earlier this month, and warned them not to expect any progress in the next six months. During his presentation, he raised serious concerns over levels of security, violence, and corruption within the Afghan administration. … [T]he ‘campaign overview’ left behind by General McChrystal … warned that … a ‘divergence of coalition expectations and campaign timelines’ are among the key challenges faced … [A] senior military source [said] that General McChrystal … had been told by White House aides his ‘time-frame was all wrong,’ with the general thinking in years while the President was thinking more in months [to show progress] … The general’s departure is a sign of politicians ‘taking charge of this war,’ a senior [British] official said.’

GEN. PETRAEUS’ CONFIRMATION HEARING is scheduled to begin Tuesday at 9:30 a.m., before the Senate Armed Services Committee. His title will be, ‘Commander, International Security Assistance Force and Commander, United States Forces Afghanistan.’ Hearing notice

BEHIND THE CURTAIN — Glenn Thrush and Mike Allen: ‘The White House sprang into action within minutes of [Joe] Barton’s saying to oil company CEOs at a hearing, ‘I apologize.’ … ‘We went crazy. It was a huge moment,’ an Obama official said. The president’s aides switched into campaign mode, lifting West Wing spirits dampened by weeks of body blows and sinking polls. Assistant press secretary Ben LaBolt, a specialist in defensive public relations who has been working on the Gulf spill response, blasted around a link to a video of Barton, with the subject line: ‘BP Apologizes to BP for WH Shakedown.’ LaBolt looped in Robert Gibbs and the president’s communications staff, plus energy adviser Carol Browner. ‘It was a no-brainer,’ a senior aide said. ‘Gibbs drafted a statement by himself in about a nanosecond and it went out exactly as he wrote it.’ Gibbs and the others realized that their own words alone wouldn’t cut it if they wanted the story to blow up. Vice President Joe Biden was already scheduled to deliver a slide show to reporters on the stimulus. So Gibbs approached Biden in the West Wing moments before the vice president was due to appear in the briefing room … Gibbs stood two feet from the unpredictable Biden during the questions and answers. Biden scored, calling Barton’s comment ‘outrageous’ and ‘astonishing’ — a clip that dominated cable news.’

FIRST LOOK — In the forthcoming New Yorker, Ken Auletta profiles ‘The Networker’ –Saad Mohseni, the chairman of Moby Group, Afghanistan’s preëminent media company, including top broadcast brands. Moby, started in 2002, has 400 employees and 11 businesses. Mohseni is described by Tom Freston, the former C.E.O. of Viacom, as ‘the nexus of everything going through Kabul.’ Auletta writes that Mohseni gathers information ‘from an intricate network of sources: government and anti-government Afghans, American officials, foreign correspondents, diplomats, intelligence operatives, reporters, business and tribal and even Taliban leaders.’ Aside from the Mohseni family, Auletta writes, the biggest contributor to Moby’s construction costs USAID, which granted the company almost $3 million. The U.S. continues to fund programming and pays for recruitment ads for the country’s Army and its police force. Mohseni, who grew up mostly in Australia, is staunchly pro-Western.’

RESURGENT REPUBLIC previews what Rs will be saying about Elena Kagan when her confirmation hearing begins tomorrow: ‘A plurality of likely voters in the November elections supports Elena Kagan’s confirmation, by a 46 to 28 percent margin … But her past positions on military recruitment while at Harvard and the District of Columbia’s handgun ban could harm that support, with undecided voters overwhelmingly saying they would be less likely to support a senator who voted to confirm Kagan on both issues.’

THE HOUSE may vote on Wall Street reform as early as Tuesday, but it could be Wednesday, a leadership aide tells Playbook.

CHENEY UPDATE: ‘Former Vice President Cheney was admitted to George Washington University Hospital [Friday] and was not feeling well. This was the result of a progressive retention of fluid related to his coronary artery disease. After receiving IV medication, the former Vice President is markedly improved. His physicians plan to discharge him in a day or so.’

BIRTHDAYS: Tony Fratto … Josh Gerstein is 4-0 … Eve Fairbanks (hat tip: Patrick Gavin).

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Good Sunday morning. The Group of 20 economic summit continues today in Toronto, then President Obama returns to the White House at 9:55 p.m.:

–AP’s Tom Raum and Jane Wardell: ‘Obama invited [Chinese President] Hu [Jintao] to Washington for a formal state visit — one of the most-coveted diplomatic invitations. Hu accepted, and White House officials said the two nations will work out a date. It would be the third state dinner of Obama’s presidency, following ones for India and Mexico.’

–Reuters’ Alister Bull and Patricia Zengerle: ‘Obama vowed to make a new push to complete a long-stalled free trade agreement with South Korea, one of the thorniest issues on his trade agenda. … The deal has met stern resistance in the U.S. Congress … ‘I want to make sure that everything is lined up properly by the time I get to Korea in November [Seoul for the next Group of 20 leaders meeting], and in a few months following that, I intend to present it to Congress,’ Obama said.’
–Mike Froman, deputy national security adviser for international economics, told reporters on a conference call: ‘[T]he President announced today that, to create jobs and improve the economy for all Americans, he was launching an initiative to complete the Korean-U.S. free trade agreement. … The President decided to do this as part of our national export initiative to … double our exports over the next five years and increase … the good-paying jobs that are associated with exports, and to maintain a competitiveness of U.S. exporters and our engagement in Asia.’

–POLITICO’s Carol E. Lee, ‘If there’s one takeaway snapshot, it’s President Obama exchanging beers with British Prime Minister David Cameron. The hour-long meeting between the two leaders Saturday was among the most important on Obama’s busy schedule during his three-day trip to Canada for the G8 and G20 summits … his first sit-down with the new leader of the United States’ closest ally … There is growing unease in Britain over the White House’s hard-nosed approach to BP, and also over Afghanistan … The two shared a near hour-long flight on Marine One as they left the G20 summit in Muskoka for the G8 summit in Toronto. … Seated in dark leather chairs, with the G8 and G20 logo serving as a backdrop in the small room, Obama and Cameron satisfied a wager they had made on the U.S-Britain soccer match. ‘Since it ended in a tie, we’re exchanging, by paying off our debts at the same time, this is Goose Island 312 beer from my hometown of Chicago,’ Obama said, holding a yellow-tagged bottle of beer. Cameron then handed his beer to a smiling Obama. ‘This is Hobgoblin,’ he said. ‘I advised him that in America, we drink our beer cold,’ Obama quipped. ‘He has to put it in a refrigerator before he drinks it, but I think that he will find it outstanding. » Photo

–Huffington Post banner: ‘DO AS WE SAY, NOT AS WE DO: U.S. Tells G-20 To Keep Up Stimulus Spending, While Senate Shelves Jobs Bill.’

— Those who have covered summits will appreciate this notation at the end of the transcript from the pool spray at the top of the Hu bilat: ‘[Press were escorted out of the room while President Obama was still speaking.]’

WEEKEND WEDDINGS:

–Gannet Tseggai, communications director for the White House Domestic Policy Council, wed Nick Kimball, spokesman at the Department of Commerce, at a beautiful reception at Mizzou, the bride’s alma mater, in Columbia, Mo. The couple have the Iowa caucuses to thank for bringing them together. Family and friends celebrated with cheesecake and dancing. (h/t Amy Brundage)

–A bipartisan wedding report by Jim Manley and Ron Bonjean: Ed Henry and Shirley Hung were married sat night at a very beautiful and moving ceremony in Las Vegas. Shirley was beautiful walking down the aisle in an ivory satin gown and hot blue Manolo Blahniks. The best man was Ed’s son Patrick and senior flower girl Ed’s daughter Mila Henry. Shirley’s mother Ching Hung and the mother and father of the groom Christine and Edward Henry were glowing. The ceremony itself was outdoors in a beautiful courtyard at the Wynn hotel. Readers included Bob Jones, Mike Emanuel with Fox News, Tim Warner and Sarah Irwin with Reuters. ‘Can’t Help Falling in Love’ was by Shirley’s sister Natalie Hung and Dave Neway. Guests were surprised by a top Elvis Presley impersonator who encouraged guests to sing along. Guests then went next door to the Encore Hotel, led by Elvis Presley, to the Society restaurant for a delightful reception for drinks and dinner. The wedding cake was a phenomenal replica of the White House. Guests took their pictures with Elvis and the White House wedding cake in the background. They then celebrated toasting the nuptials and enjoying the Vegas nightlife.’

–Mazel tov, good times and Godspeed to the publicity-shy pride of Mobile, code name Consummate Staffer.

TOP TALKERS:

–FRANK RICH, ‘The 36 Hours That Shook Washington’: ‘THE moment he pulled the trigger, there was near-universal agreement that President Obama had done the inevitable thing, the right thing and, best of all, the bold thing. But before we get carried away with relief and elation, let’s not forget what we saw in the tense 36 hours that fell between late Monday night, when word spread of Rolling Stone’s blockbuster article, and high noon Wednesday, when Obama MacArthured his general. … 1) Much of the Beltway establishment was blindsided by Michael Hastings’s scoop, an impressive feat of journalism by a Washington outsider who seemed to know more about what was going on in Washington than most insiders did; 2) Obama’s failure to fire McChrystal months ago for both his arrogance and incompetence was a grievous mistake that illuminates a wider management shortfall at the White House; 3) The present strategy has produced no progress in this nearly nine-year-old war, even as the monthly coalition body count has just reached a new high. … It’s the Hastings-esque outsiders with no fear of burning bridges who have often uncovered the epochal stories missed by those with high-level access. Woodward and Bernstein were young local reporters … when they cracked Watergate. Seymour Hersh was a freelancer when he broke My Lai. … The general’s significant role in the Pentagon’s politically motivated cover-up of Pat Tillman’s friendly-fire death in 2004 should have been disqualifying … He should have been cashiered after he took his first public shot at Joe Biden during a London speaking appearance … The war … has no chance of regaining public favor unless President Obama can explain why American blood and treasure should be at the mercy of this napping Afghan president … [A]bsolutely no one was paying attention. Everyone is now. That, at least, gives us reason to hope that the president’s first bold move to extricate America from the graveyard of empires won’t be his last.’

–MAUREEN DOWD, in San Francisco, ‘Are Cells the New Cigarettes?’: ‘The great cosmic joke would be to find out definitively that the advances we thought were blessings – from the hormones women pump into their bodies all their lives to the fancy phones people wait in line for all night – are really time bombs. Just as parents now tell their kids that, believe it or not, there was a time when nobody knew that cigarettes and tanning were bad for you, those kids may grow up to tell their kids that, believe it or not, there was a time when nobody knew how dangerous it was to hold your phone right next to your head and chat away for hours. … San Francisco just became the first city in the country to pass legislation making cellphone retailers display radiation levels. … ‘You see all these kids literally glued to their phones,’ Gavin Newsom, the mayor of San Francisco, told me. ‘And candidly, my wife was pregnant and on her cellphone nonstop.’ … When Newsom proposed the bill, telecommunications lobbyists went to the mattresses, as did hoteliers, who feared losing convention business. … ‘This is tobacco money, oil money,’ he said. ‘But these guys from D.C. do not know me because that has exactly the opposite effect. Shame on them, to threaten the city. It’s about as shortsighted as one could get in terms of a brand. … I love my iPhone. »

THE AGENDA:

–‘Wall St. reform winners and losers,’ by Carrie Budoff Brown and Ben White, with Chris Frates: ‘THE WINNERS: Citigroup and the business of banking … Sen. Scott Brown (R-Mass.) and his Bay State banks … Walmart: It was pure pitchfork-populism when Sen. Dick Durbin (D-Ill.) floated an amendment designed to cut down the fees merchants must pay to banks every time someone swipes a debit card. The amendment will potentially cut in half the $20 billion generated annually for banks such as JPMorganChase, Citi and Bank of America. … Sen. Blanche Lincoln (D-Ark.) and her derivatives fight … Goldman Sachs [if the firm drops its their designation as a bank holding company].

‘THE LOSERS: Goldman Sachs and the rest of traditional Wall Street … All big banks: The bigger they are, the more they pay. … Senate Banking Committee Republicans … Fannie Mae and Freddie Mac … Mortgage lenders and brokers. …

‘TOO SOON TO TELL: Consumers.’

–‘Senate Democrats see opportunity in energy debate: Many Democrats hope a summer discussion on energy will establish a strong contrast with Republicans before this fall’s election,’ by L.A. Times’ Lisa Mascaro and Richard Simon: ‘President Obama will meet Tuesday with a bipartisan group of senators to push for a new energy policy. … A broad carbon-pricing system would essentially require power plants, manufacturers and transportation industries to limit the pollution that scientists say is causing climate change and would tax entities that exceed their caps. Republicans dismiss such a cap-and-trade system as a new tax on households and business — ‘cap-and-tax,’ they call it. … Still, a majority of Democrats appear willing to risk legislative failure, believing a robust summer discussion on energy would establish a stark contrast between the parties before the fall election. … A group of senators is expected to meet this week to begin crafting legislation that could come to the floor in mid-July.’

KAGAN CONFIRMATION STARTS TOMORROW:

–N.Y. Times A1, ‘At Kagan Hearings, the Topic May Be Obama and Roberts,’ by Sheryl Gay Stolberg: ‘With an eye on the midterm elections, Democrats will use Ms. Kagan’s hearings … to put the Roberts court on trial by painting it as beholden to corporate America. Republicans will put Mr. Obama on trial over what they view as his Big Government agenda, and will raise questions about whether Ms. Kagan, his solicitor general and former dean of Harvard Law School, is independent enough to keep that agenda in check.’

–L.A. Times A1, ‘Kagan’s a not-so-leftist liberal: She’s practiced at finding middle ground on controversial issues,’ by James Oliphant, Richard A. Serrano and David G. Savage: ‘At 50, she is firmly in the establishment, apparently as comfortable with conservatives such as Supreme Court Justice Antonin Scalia, whom she also feted at Harvard, as with her mentor, liberal Justice Thurgood Marshall. … On her path toward this moment, she cast aside the black-and-white, good-versus-evil idealism of her father and her youth, instead pursuing a life of pragmatism, nuance and politics. She would leave the crusading to others.’

ALSO DRIVING THE CONVO:

–THIS IS A BIG ISSUE — THE ARMY FAILS TO IDENTIFY AND PROMOTE STARS — WashPost lead story, ‘IN TWIN WARS, FAST EXITS FOR TOP GENERALS’ — online headline: ‘Military disturbed by rapid turnover at top in Afghan, Iraq wars,’ by Greg Jaffe: ‘Since 2001, a dozen commanders have cycled through the top jobs in Iraq, Afghanistan and the U.S. Central Command, which oversees both wars. Three of those commanders — including the recently dismissed Gen. Stanley A. McChrystal — have been fired or resigned under pressure. History has judged many others harshly, and only two, Gen. David H. Petraeus and Gen. Ray Odierno, are widely praised as having mastered the complex mixture of skills that running America’s wars demands. … Some young officers blame the Pentagon’s insistence on sticking with its peacetime promotion policies. Military personnel rules prevent the top brass from reaching down into the ranks and plucking out high-performers who have proved themselves especially adept at counterinsurgency or have amassed significant knowledge about Afghanistan and Iraq. ‘In all previous wars, promotions were accelerated for officers who were effective,’ a senior Army official said.’

–The (London) Sunday Times, top of col. 1, ‘BP set to plug oil leak early’: ‘The operation to close the well is further ahead than the company has disclosed, according to engineering experts. Sources in Houston, Texas, say it could be finished in mid-July, ahead of the public target of early August. Sealing the well early would be a huge boost to the oil giant, potentially saving it billions of pounds in liabilities and cleanup costs and easing fears about its financial stability. Its market valuation has plunged by a staggering $100 billion. It would also help Barack Obama, whose political ratings have dived because of his handling of the disaster. David Cameron discussed BP and its efforts to plug the well with Obama at the G20 meeting in Toronto yesterday.’

–The (London) Sunday Telegraph, lead story,  »Get on your bike’ jobless told’: ‘RADICAL PLANS to relocate the long-term unemployed to areas where there are jobs are being drawn up by the Coalition. … The controversial plan echoes the words of [Thatcher minister and former Conservative chairman] Norman Tebbit in 1981 when he told the unemployed to ‘get on your bike’ and look for work. It is part of tough action to cut spiralling welfare bills and tackle Britain’s record deficit. Last week, a shake-up of housing benefit and increased health checks for disability claimants were announced as part of the biggest cuts in public spending for almost a century. … The scheme would allow them to go to the top of the housing list in another area rather than lose their right to a home if they moved.’

SPORTS BLINK — ‘Africa still has its team,’ by Chris Jones, for ESPN.com: ‘RUSTENBURG, South Africa … Yes, Landon Donovan came through one last time, tying the game with a perfect penalty kick in the second half, lighting another fire, but then extra time came and went with only Ghana managing another goal. This small African nation, Ghana and its beloved Black Stars, had knocked out the Americans in yet another World Cup, and again by the same painful score: 2-1. It’s a crushing loss for the U.S., which, perhaps unfairly, had suddenly been saddled with the burden of being the favorite. Donovan’s extra-time goal against Algeria had flicked a switch, sparking talk of a semifinal berth and this likeable, hardscrabble crew taking over the world. They had the draw and the heart to do it. Instead, they finished their time in South Africa on the grass here, laid out, on their knees, their faces in their hands. They looked totally defeated. They knew how much this would have meant. They knew how much this mattered.’ Chris Jones is a contributing editor to ESPN The Magazine and a writer-at-large for Esquire.

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Le projet de la taxe bancaire en Europe


 

Le projet défendu par l’Europe pourrait rapporter quelques centaines de millions à un milliard d’euros en France. La Grande-Bretagne vise 2 milliards de livres par an.

Les contours de la taxe bancaire voulue par les européen se précise. En France, la ministre de l’Economie, Christine Lagarde, a confié au Wall Street Journal que la mesure devrait rapporter un milliard d’euros au budget de l’Etat, à partir de 2011. Le ministère des Finances a rectifié et évoque un gain de quelques centaines de millions d’euros. En outre, Bercy affirme que la taxe, assise sur le bilan des banques, figurera dans le projet de loi de finances de 2011.

Les gouvernements allemand, britannique et français ont publié hier une déclaration commune sur l’adoption d’une telle taxe. Les trois pays «proposent l’instauration de prélèvements sur les banques, assis sur leur bilan». Les modalités d’application pourront ensuite varier en fonction de chaque pays. Et à l’approche du sommet du G20 qui se tient ce week-end à Toronto, les gouvernements allemand, français et britannique se montrent déterminés à faire adopter l’idée par leurs homologues. Pour l’heure, le Canada et les pays émergents se montrent opposés au projet. Ils indiquent ne pas vouloir payer pour les excès de banques situées hors de leurs frontières.

De son côté, Londres a déjà annoncé que la mesure sera mise en œuvre dès l’année prochaine. Le gouvernement britannique estime que la loi pourrait rapporter près de 1,5 milliard d’euros en 2011 et 2,5 milliards l’année suivante. L’objectif est également de réduire le déficit public de la Grande-Bretagne qui a explosé à 11% du PIB cette année.

Modérer les bonus

 

Par ailleurs, la ministre française a emboité le pas du président des Etats-Unis et plaide en faveur de la mise en place de recommandations sur la modération des bonus. «Nous avons des indications selon lesquelles certaines banques n’appliquent pas les normes qui ont fait l’objet d’un accord à Pittsburgh», lors du précédent sommet du G20 en septembre, a souligné la ministre.

Mesures d’austérité attendues

 

Concernant l’application des plans d’austérité, Christine Lagarde a affirmé qu’il serait important de ne pas retirer trop brutalement les mesures de relance. Une opinion partagée par le secrétaire au Trésor Tim Geithner qui prévient que la réduction des dépenses publiques ne doit pas pénaliser la croissance à court terme. Mais Christine Lagarde a confié au wall Street Journal que des mesures seront annoncées dès l’été si les objectifs de croissance n’étaient pas remplis. La ministre de l’Economie avait elle-même reconnu dimanche, lors du Grand Jury RTL-LCI-Le Figaro, que la prévision actuelle d’un taux de croissance de 2,5% l’an prochain est «audacieuse». La Commission européenne et le Fonds Monétaire International avaient tous deux critiqué l’optimisme du gouvernement

Sarkozy au G-20 exige la rigueur

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Les conclusions du G20 opèrent une synthèse entre les positions américaines et européennes.
Les conclusions du G20 opèrent une synthèse entre les positions américaines et européennes. Crédits photo : AFP

Le projet de déclaration finale du G20 opère une subtile synthèse entre les positions américaines et européennes. Mais la taxe bancaire, défendue par la France et l’Allemagne, n’a pas fait l’unanimité.

Aprement négocié trois jours durant, à Toronto, le projet de communiqué du G20 ne devrait fâcher personne. S’il intègre la rigueur dans la stratégie de croissance, il met aussi en garde contre les excès d’austérité. Toujours aussi impopulaire à l’échelle mondiale, la taxe bancaire est mentionnée par le G20 comme un instrument à la disposition des Etats pour faire payer à leurs banques les pots cassés de la crise. Les 28 pages de projet de déclaration finale, dont le Figaro a obtenu une copie, opèrent une synthèse subtile entre les positions américaines et européennes.

Angela Merkel peut se vanter d’avoir imposé les vertus de la rigueur budgétaire au plus au niveau. Mais au grand soulagement de Barack Obama et de Nicolas Sarkozy, elle n’aura pas transformé le G20 en sommet de l’austérité. «Les évènements récents montrent l’importance de finances publiques soutenables et le besoin pour nos pays de mettre en place des mesures de consolidation budgétaires étalées dans le temps, propices à la croissance, et différenciées selon les pays et les circonstances nationales», indique l’une des phrases les plus discutées du compromis.

Décidés à faire de la croissance «la priorité» du G20, les Etats-Unis ont obtenu de placer l’expression «relance» en bonne place dans la déclaration, une gageure, note un négociateur. «Nous devons laisser agir jusqu’au bout nos plans de relance budgétaires pour consolider la reprise», indique ainsi le G20. «Des ajustements simultanés dans plus grands pays pourraient compromettre la reprise», ajoute le texte.

Désaccord au sommet sur la taxe bancaire

 

Le Canada n’a pas vraiment réussi à imposer un pacte de stabilité à l’échelle planétaire. «Les économies avancées se sont engagés à prendre des mesures de consolidation budgétaires qui diminueront de moitié, au moins, les déficits d’ici 2013, et stabiliseront ou réduiront le ratio dette sur PIB d’ici 2016», rappelle le G20. Rien qui ne fasse très peur à la zone euro, ni même à la France qui a promis de ramener son déficit à 3% en 2013. La Maison-Blanche, quant à elle, n’a pas attendu le G20 pour s’engager à réduire le déficit budgétaire américain de moitié en 2013, afin de revenir à 3% de déficits en 2015.

S’il entérine le désaccord au sommet sur la taxe bancaire, en raison de la forte opposition du Canada de l’Australie, mais aussi des pays émergents (Chine, Inde, Russie), le G20 mentionne la taxe comme une option possible pour les pays soucieux d’épargner les deniers publics en cas de nouvelle crise bancaire. Défendue par le FMI, cette taxe serait modulée en fonction du profil de risques des institutions financières

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Bayrou se rappoche de Sarkozy

Posted at juin 27, 2010 // NATIONALE

Bayrou se rapproche de Sarkozy et soutien le projet des "Retraites"

 

 

Par Osvaldo Villar, publié le 26/06/2010Le président du Modem, François Bayrou, a estimé samedi que l’affaire Bettencourt fragilisait tout le gouvernement, au-delà du ministre du Travail, Eric Woerth.Le président du Modem, François Bayrou, a estimé lors d’une conférence de presse que l’affaire Bettencourt fragilisait tout le gouvernement, au-delà du ministre du Travail, Eric Woerth. (Reuters/Gonzalo Fuentes)"Je ne participe pas aux demandes de démission, et la composition de l’équipe gouvernementale est de la responsabilité du chef de l’État, a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse à l’issue de la convention de son parti consacrée à la réforme des retraites, à Paris."Les Français voient bien qu’il y a un souci: une fragilisation du gouvernement et de tous ceux qui, en son nom, conduisent un certain nombre de réformes", a-t-il ajouté.En pleine réforme des retraites, le ministre du Travail et son épouse, Florence, se sont retrouvés pris dans une tempête médiatique-politique en raison des liens qu’ils entretiendraient avec l’entourage de Liliane Bettencourt, héritière du groupe de cosmétiques L’Oréal.L’ancien ministre du Budget a toujours démenti avoir eu connaissance d’éventuelles fraudes fiscales imputables à la femme la plus riche de France, mais la défense d’Eric Woerth a été fragilisée vendredi par les déclarations du procureur de Nanterre.Philippe Courroye a indiqué avoir transmis au fisc les éléments du dossier fiscal de Liliane Bettencourt dès janvier 2009.Eric Woerth a répliqué en annonçant avoir demandé un contrôle fiscal du protégé de la femme d’affaires, François-Marie Banier, et en réclamant une expertise extérieure pour prouver qu’il n’avait pas entravé la bonne marche de l’administration fiscale."Je pense que sa situation est rendue beaucoup plus compliquée par ce qui se passe", a jugé François Bayrou."C’est très difficile de conduire un dossier comme celui des retraites tout en étant l’objet de révélations tous les jours", a-t-il ajouté devant les caméras.

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Les serviteurs personnels du Président

Posted at juin 26, 2010 // NATIONALE

Interview – "Nicolas Sarkozy détruit les contre-pouvoirs" – Rue89

Par Pascal Riché | Rue89 | 26/06/2010 | 12H46

 

L’ancienne juge d’instruction qualifie les procureurs de l’affaire Bettencourt-Woerth de « serviteurs personnels du Président ».

« Ces écoutes révèlent une fraude fiscale immense et un abus de faiblesse. Où est l’enquête ? » Eva Joly, députée européenne, ancienne juge aux affaires financières, n’entend pas lâcher l’affaire Bettencourt-Woerth, un « énorme scandale », répète-t-elle. Alors que Florence Woerth, l’épouse du ministre Eric Woerth, menace de poursuivre l’eurodéputée en diffamation, celle-ci continue d’assener ses accusations. Avec, dans sa mire, les procureurs de Paris et de Nanterre, qu’elle accuse d’être aux ordres de l’Elysée.

A peine s’est-elle attablée, souriante, ce vendredi dans ce café du boulevard Montparnasse, qu’elle évoque la « révélation » du jour : selon l’hebdomadaire Marianne, l’enquête préliminaire dans l’affaire Bettencourt avait déjà déterminé des fraudes fiscales, mais le parquet avait alors « oublié » de prévenir le fisc (ce que le procureur de Nanterre, Philippe Courroye, a démenti plus tard vendredi, indiquant qu’il avait bien alerté le ministère du Budget, alors dirigé par le même Eric Woerth) ou d’ouvrir une enquête.

 

Pour l’ancienne juge, du fait de leur mode de nomination politique -sur décision présidentielle et parfois même contre l’avis du Conseil supérieur de la magistrature, comme ce fut le cas dans le cas de Courroye- les procureurs ne font pas sérieusement leur travail.

 

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L’exploit : Etats-Unis bat l’Algerie et se qualifie !

Posted at juin 24, 2010 // NATIONALE

Les USA est le challenge du Mondial  

Super ! USA Footbal team from dispair to Delirium !

Estados Unidos inmenso en el Mundial

Les six équipes du continent Américain passent haut les mains en 1/8 de finale !

 

 

 

 

Landon Donovan - Usa-Algeria - World Cup 2010 (Getty Images)
Ces supporteurs américains ont grimé leurs visages pour encourager leur équipe. (Crédit photo : Reuters)
 

2010 FIFA World Cup,Michael Bradley,United States(Getty Images) 

2010 FIFA World Cup,Michael Bradley,United States
 

Minutes away from being eliminated from the World Cup, the U.S. team advanced to the knockout round and won its group when Landon Donovan scored during the first minute of stoppage time.
Read more: http://www.miamiherald.com/sports/#ixzz0rmHc9pyv

 L' américain Jonathan Bornstein se démène face aux Fennecs pour s'approcher du but de Mbohli. (Crédit photo : Reuters)
La rencontre entre les Etats-Unis et l'Algérie se déroule sous l'oeil avisé de l'ancien président Bill Clinton, qui sert la main au patron de la Fifa, Sepp Blatter. (Crédit photo : Reuters)
Le président Bill Clinton a assisté au match.
Por Osvaldo Villar

ogv.communication@gmail.com

Heroico. Epico. Memorable. Tales son algunas palabras que pudieran expresar el asombroso esfuerzo de Estados Unidos para vencer 1-0 a Argelia en el último latido y clasificarse a la segunda ronda del Mundial, el miércoles en el Loftus Versfeld Stadium en Pretoria.

Landon Donovan anotó el tanto de la hazaña a los 90 minutos. Gracias a su obra maestra, el escuadrón de las barras y las estrellas avanzó a octavos de final por segunda vez en las tres últimas copas, y se las verá con Ghana el próximo sábado en el Royal Bafokeng en Rustenburgo.

El ex presidente Bill Clinton se acercó a los vestuarios de los estadounidenses para felicitar a los actores de una proeza que parecía imposible de conseguir.

En siete de sus ocho anteriores participaciones mundialistas, Estados Unidos perdió siempre en su tercer partido. En 1934 fue eliminado en el debut. El miércoles, en Sudáfrica 2010, su novena cita en copas, y tras tantas oportunidades de gol perdidas contra los Zorros del Desierto, parecía que había una maldición irremontable.

A los 20 minutos el árbitro belga Frank de Bleeckere le anuló un tanto a Clint Dempsey tras un discutido fuera de juego y en el minuto 55, el propio volante estrelló un remate en el travesaño. Más ocasiones no pudieron ser concretadas por el escuadrón de las aguilas.

El arquero argelino, Rais M Bolhi, salvó goles cantados.

"Uno sólo podía decir que quizás no era nuestra noche », afirmó el entrenador Bob Bradley después de la victoria. "Al final, el esfuerzo de los jugadores marcó la diferencia ».

Como en sus cuatro partidos oficiales anteriores, Estados Unidos supo sobreponerse a la adversidad. En las eliminatorias, contra Costa Rica; y en el Mundial, ante Inglaterra y Eslovenia, estaba abajo en el marcador y empató. El miércoles, el empate lo eliminaba de la competencia y el equipo encontró la fórmula para rebelarse ante el infortunio, puso el corazón en la cancha y salió airoso como tantas otras veces lo ha hecho.

"Hubo algo muy importante en este partido y es que los jugadores de Estados Unidos nunca se rindieron », comentó Bradley. "Sabían que necesitaban ganar y buscaron el triunfo hasta el final ».

También influyó de manera especial en los jugadores ver la cantidad de aficionados luciendo las barras y las estrellas, gritando por sus colores en un país tan lejano como Sudáfrica, haciendo un tremendo esfuerzo para acompañarlos.

"Cuando llegamos al Loftus Versfeld vimos a miles de aficionados con las banderas de EEUU, acercándose al ómnibus y alentándonos », comentó Bradley. "Fue un sentimiento único que motivó a todo el grupo ».

Por primer vez en su historia, las aguilas terminaron como líderes en su grupo en el Mundial y lo hicieron por encima de los inventores del fútbol, Inglaterra, que superó 1-0 a Eslovenia con gol de Jermain Defoe (23′).

Eslovenia y Argelia quedaron eliminados en el Grupo C.

Los ingleses se las verán contra Alemania, el domingo en el Free State Stadium en Bloemfontein, en la repetición de la final del Mundial de 1966 conquistado por Inglaterra.

Los germanos, por su parte, vencieron 1-0 a Ghana con anotación de Mesut Ozil (60′), el miércoles en el Soccer City Stadium, en Johanesburgo, y quedaron en primer lugar del Grupo D.

Pese a la derrota, los ghaneses avanzaron gracias al triunfo 2-1 de Australia sobre Serbia, con goles de Tim Cahill (69′) y Brett Holman (73′). Para los serbios descontó Marko Pantelic (84′) y ambos equipos volverán a casa.

 

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Très forte mobilisation contre plan retraites

Posted at juin 24, 2010 // NATIONALE

Retraites : Très forte mobilisation contre la Reforme du gouvernement. 

 
Par OGV
23/06/2010
Des retraités manifestent, le 16 octobre 2009 à Lyon, pour réclamer au gouvernement «le maintien de leur pouvoir d'achat».
Des retraités manifestent pour réclamer au gouvernement «le maintien de leur pouvoir d’achat». Crédits photo : OGVP

Près de 200 rassemblements, mêlant fonctionnaires et salariés du privé, sont recensés sur tout le territoire.


Cliquez sur l’aperçu pour agrandir l’infographie.

Le 24 juin pourrait marquer un tournant dans la séquence des manifestations syndicales qui se succèdent depuis le début de l’année. La journée de mobilisation contre la réforme des retraites organisée ce jeudi à l’appel de l’intersyndicale devrait en effet attirer plus de monde que les trois précédentes. Même Éric Woerth n’en disconvient pas. «La mobilisation sera certainement forte, nous l’attendons, nous ne la redoutons pas», a indiqué le ministre du Travail.

198 points de rassemblements -sous le soleil- ont été recensés sur le territoire, et les appels à la grève dans les entreprises (comme chez Saint-Gobain, Michelin, Total, Airbus, BNP Paribas, L’Oréal, France Télécom, La Poste…) se sont succédé depuis le début de la semaine. «Nous avons aussi beaucoup d’échos de salariés du privé qui envisagent de se mobiliser dans la métallurgie, dans la construction ou le commerce», se félicite-t-on au siège de la CGT. «Il y aura du monde car les gens font leur calcul et il y a un fort sentiment d’injustice qui se développe», renchérit Laurent Berger, de la CFDT. «Nous dépasserons le million», a pronostiqué Bernard Thibault, le secrétaire général de la CGT. Soit plus que le 27 mai, la dernière mobilisation en date où entre 395.000 (selon la police) et 1 million de personnes (selon la CGT) étaient descendues dans les rues, alors que le gouvernement n’avait pas encore dévoilé son projet.

Signe de la grogne? La mobilisation dans les transports qui devrait être plus pénalisante que les précédentes, malgré l’application différée de la réforme (2017-2023) dans les régimes spéciaux. 15% des vols au départ d’Orly et de Roissy ont été annulés. Le trafic sera également perturbé dans les transports en commun urbains. À la RATP, six métros sur dix circuleront aux heures de pointe, deux RER A sur trois, un RER B sur cinq… En province, les bus, métros et tramways de 69 villes (Bordeaux, Lyon, Marseille, Nantes…) tourneront au ralenti. À la SNCF, la circulation devrait être assurée pour un TGV sur deux, un TER sur deux et un train Corail sur quatre.

Sarkozy «à l’écoute»

 

Autre signe du mécontentement qui monte? Les cortèges accueilleront des délégations FO et CFE-CGC, bien que leurs confédérations ne se soient pas associées à la mobilisation. «Nous devrions rejoindre l’intersyndicale à la rentrée mais nous avons laissé les fédérations qui avaient appelé à manifester y aller», confirme Carole Couvert, la secrétaire générale de la centrale des cadres. Quant à la CFTC -qui a quitté l’intersyndicale il y a des mois-, elle a appelé hier ses militants à manifester pour la retraite des femmes.

En signe d’ouverture, Nicolas Sarkozy a promis mardi d’être «à l’écoute» et «très attentif» aux discussions cet été avec les syndicats sur «la situation de ceux qui ont commencé à travailler très tôt, la situation de ceux qui ont des emplois pénibles et sur la question difficile des polypensionnés». Mais il y a toutefois peu de chances que la mobilisation, même importante, pousse le chef de l’État à modifier son texte sur les deux bornes (62 ans, âge minimum pour toucher une pension, et 67 ans, âge du taux plein), points clés de la réforme.

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Bataille « echol’eau » pour la perforation du Petrol

Posted at juin 23, 2010 // International

Batalla "echol’eau" por perforación du petrol au Golf de México

 
Por Osvaldo Villar
Una plataforma de perforación en aguas poco profundas navega hoy, 22 de junio de 2010, cerca de Port Sulphur, Luisiana (EE.UU.). Un juzgado federal ordenó este martes una moratoria de seis meses en los nuevos proyectos de perforación después del derrame masivo generado por la British Petroleum (BP) en el Golfo de México. El escape de petróleo de la Deepwater Horizon, que comenzó dos meses antes, es el mayor en la historia de Estados Unidos y continúa amenazando la vida salvaje, el ecosistema y la economía del Golfo mientras el Gobierno y la BP tratan de detener el vertido y remover el que ha sido liberado. EFE/Erik S. Lesser
Una plataforma de perforación en aguas poco profundas navega hoy, 22 de junio de 2010, cerca de Port Sulphur, Luisiana (EE.UU.). Un juzgado federal ordenó este martes una moratoria de seis meses en los nuevos proyectos de perforación después del derrame masivo generado por la British Petroleum (BP) en el Golfo de México. El escape de petróleo de la Deepwater Horizon, que comenzó dos meses antes, es el mayor en la historia de Estados Unidos y continúa amenazando la vida salvaje, el ecosistema y la economía del Golfo mientras el Gobierno y la BP tratan de detener el vertido y remover el que ha sido liberado. 

Un juez federal falló el martes contra la prohibición por seis meses de la perforación petrolera submarina en el Golfo de México poniéndose del lado de compañías petroleras que argumentaron que esto afectaría sus negocios, eliminaría empleos y debilitará las economías de los estados en la costa del Golfo.

Mientras la Casa Blanca dijo que apelará de inmediato la decisión, grupos ambientalistas dieron a conocer el estado financiero del juez en el caso, Martin Feldman, del Tribunal Federal de Distrito en Nueva Orleans, quien posee o ha sido dueño de acciones en varias firmas de petróleo y gas. De acuerdo con la declaración financiera de Feldman en el 2008, el juez tenía acciones por hasta $15,000 en Transocean, dueña de la plataforma sobre un pozo petrolero de BP donde hubo una explosión y que está derramando crudo en el Golfo de México.

Expertos legales indicaron que la revelación de un potencial conflicto de interés dará fuerza al caso del gobierno de Barack Obama, pero apelar la decisión pone al Presidente en conflicto con muchos residentes de la costa del Golfo, que dependen de la industria de perforación petrolera en aguas profundas, la cual ha producido decenas de miles de empleos.

"El Presidente cree firmemente… que seguir perforando a estas profundidades sin saber qué ocurrió no tiene sentido », declaró Gibbs. El gobierno apelará la decisión a la Corte del Quinto Circuito de Apelaciones en Nueva Orleans, indicó.

Mientras se asoma una batalla legal, las petroleras afectadas por la veda no aprecían estar listas aún a comenzar a perforar de nuevo.

"Comprendemos que el gobierno ha elegdo apelar, asíque no vamos a tomar decisiones sobre perforaciones futuras en el Golfo de México hasta que se agoten las apelaciones », dijo Bill Tanner, portavoz de Shell en Houston.

"Necesitamos una pausa de modo que podamos llevar los estándares de esta industria a donde estaban antes », manifestó Kate Gordon, vicepresidenta de política energética del Center for American Progress, organización liberal sobre políticas con estrechos lazs con el gobierno de Obama.

En Londres, ejecutivos petroleros enviaron un fuerte desafío el martes a Obama, advirtiendo en una importante conferencia petrolera que la veda del presidente estadounidense a la riesgosa perforación petrolera a gran profundidad afectará los abastos de materias primas para producir energía a escala mundial.

Mientras un grupo se manifestaba contra un ejecutivo de BP que salió en defensa del acosado presiente de la junta, Tony Hayward, otros líderes de la industria aprovecharon la reunión para dar su respaldo a la compañía británica, argumentando que eliminar las plataformas petroleras a gran profundidad tras el desastre en el Golfo de México era insostenible.

Las acciones de BP cayeron al punto más bajo en 13 años en la Bolsa de Londres, y el gigante petrolero confirmó que Hayward ya estaba en el procceso de ceder el control del derrame en el Golfo al director, Bob Dudley.

El presidente y principal ejecutivo de Transocean Ltd., Steven Newman, propietario de la plataforma Deepwater Horizon, donde una explosión el 20 de abril mató a 11 trabajadores y desató el peor derrame de crudo en la historia de EEUU, llamó la prohibición a la explotación en aguas profundas una reacción exagerada innecesaria.

"Hay cosas que el gobierno podría implementar hoy que permitirían que la industria regrese a trabajar mañnaa sin un límite de tiempo arbitrario de seis meses », declaró Newman al margen de la reunión en Londres. "Obviamente, estamos preocupados ».