Archive for juin, 2010

Football le Ballon rond vide les mosquées

Le muezzin ou regarder la télé du Mondial : qui gagnera le match ?

  

Entre aller à la mosquée et suivre en direct les matchs du vendredi de la Coupe du monde 2010, que choisir ? Un véritable casse-tête pour certains férus de football, car, oui, on en trouve même chez les musulmans.


La prière du vendredi.Au gymnase en attendant la construction de la Grande Mosquée. Drôle de concurrence. Quand l’appel du muezzin coïncide avec les matchs du Mondial 2010, quid des deux aura réussi à attirer le plus de passionnés ?
Certaines mosquées de France et d’ailleurs ont eu et auront à subir ces vendredis du Mondial quelques désertions momentanées.

« Ce sera l’heure de vérité », ironise Karim, un jeune Français de confession musulmane, « on saura là le degré de piété de chacun ! », poursuit-il sur le ton de la plaisanterie. Lui se rendra à la mosquée pour la sacro-sainte prière du vendredi, « mon petit diable ne saura pas m’en empêcher ! », dit-il. Aissam travaille le vendredi, mais il assure que, s’il avait le choix, « la prière passerait avant tout ».

Peu, finalement, oseront donner un avis contraire sur la question. Locqmane, confiant en la jeunesse musulmane, assure, quant à lui, n’avoir pas constaté plus d’absents que d’habitude dans sa mosquée du nord de la France.

Le match Brésil Pays-Bas « damera le pion à la prière du vendredi »
Plus bas, dans l’hémisphère Sud, l’influence du Mondial sur la prière est par endroits plus perceptible. Un sentiment de fierté continentale s’est propagé en Afrique, où l’on accueille la Coupe du monde du ballon rond pour la première fois dans l’Histoire.

le vendredi prochain, d’autres matchs se disputeront en coulisses : . L’un espère la coupe, l’autre le ciel.

Le Brésilien Elano blessé-forfait pour 1/4 de finale

Publié le 30 junio 2010

 

Le milieu de terrain brésilien Elano, blessé à une cheville, est forfait pour le quart de finale de la Coupe du monde vendredi contre les Pays-Bas, annonce le médecin de la Seleçao.

José Luiz Runco a déclaré à la presse qu’Elano souffrait toujours d’un hématome résultant d’un choc reçu à la fin du match contre la Côte d’Ivoire le 20 juin.

« Il peut marcher et courir sans changer de direction. Le problème, ce sont les impacts, lorsqu’il met du poids (sur sa cheville) », a dit Runco à la presse, précisant que l’articulation était toujours enflée.

« Il pourrait aller mieux dans quelques jours, une semaine ou un mois. Nous espérons toujours le voir jouer la semaine prochaine mais je ne peux pas le certifier catégoriquement. Il travaille intensément, il faut voir si la nature lui donnera un coup de main. »

Auteur de deux buts depuis le début du Mondial, Elano devait effectuer son retour contre le Chili en huitième de finale mais il avait dû renoncer et laisser sa place à Dani Alves.

Mondial Matchs dates 1/4 et 1/2 finales

  Quart de finale A Quart de finale B Quart de finale C Quart de finale D
Rencontre,
match
1/4 finale, Quart de finale
Pays-Bas – Brésil
1/4 finale, Quart de finale
Uruguay – Ghana
1/4 finale, Quart de finale
Allemagne – Argentine
1/4 finale, Quart de finale
Paraguay – Espagne
Ville, heure,
date match
Vendredi 2 juillet, 16 h 00
à Port Elizabeth
Vendredi 2 juillet, 20 h 30
à Johannesburg
Samedi 3 juillet, 16 h 00
au Cap
Samedi 3 juillet, 20 h 30
à Johannesburg
Résultat,
score
       
Calendrier, dates 1/2 finales, horaires matchs demi-finales de la Coupe du Monde de football 2010
  1/2 finale – Match demi-finale 1 1/2 finale – Match demi-finale 2
Rencontre,
match
Vainqueur match quart de finale A vs
Vainqueur quart de finale B
Vainqueur match quart de finale C vs
Vainqueur quart de finale D
Résultat,
score
   
Ville, heure,
date match
6 juillet 2010, 20 h 30
au Cap
7 juillet 2010, 20 h 30
à Durban

 

Quantcast

Le football des Indiens Américains !

Mondial 2010

L’Amérique  est le continent le plus représenté en 1/4 de finales avec 4 équipes

Le football les Indiens américains est impréssionnant !

30 juin 2010 

 

 

En Amérique les Indiens savent jouer au football ! Pour la première fois dans toute l’histoire de la Coupe du monde, le nombre d’équipes sud-américaines dépasse celui des équipes européennes au stade des quarts de finale.

Les Paraguayens sont les invités surprises de ces quarts de finale.

Les quarts de finale du Mondial-2010 proposent pour la première fois dans l’histoire de la Coupe du monde un plateau où le nombre d’équipes sud-américaines (quatre) est supérieur à celui de l’Europe (trois), depuis l’introduction des quarts en 1954.

Les nations d’Amérique du Sud présentes en quarts sont le Brésil, l’Argentine, l’Uruguay et le Paraguay.
Les nations d’Europe présentes en quarts sont l’Allemagne, les Pays-Bas et l’Espagne.

Parmi les cinq équipes sud-américaines en lice en 8e de finale, une seule a chuté, le Chili, mais face à une sélection du même continent, le Brésil (3-0).

Le continent africain complète le tableau des quarts avec le Ghana.

Depuis 1954, les représentants européens étaient à chaque fois deux ou trois fois plus nombreux que ceux d’Amérique du Sud en quarts.
Au Mondial-2006, il y avait six sélections européennes et deux sud-américaines en quarts, des chiffres proches des éditions précédents: 5-1 en 2002, 6-2 en 1998, 7-1 en 1994, 6-1 en 1990 et 5-2 en 1986.

La formule était différente lors de trois tournois (1974, 1978 et 1982), mais la proportion était similaire auparavant, sauf en 1970, lorsque les Européens étaient quatre et les Sud-Américains trois

Routes cyclables rue de Cahors (Sarlat 24)

Les cyclistes ne devraient plus perdre les pédales

La mairie a présenté hier un plan de circulation pour les vélos. En 2012, toute la ville et ses abords seront maillés.

Une bande cyclable a été matérialisée sur le trottoir élargi de la rue de Cahors.

Deux monopoles viennent de tomber. Celui des automobilistes, qui jusque-là régnaient en maîtres sur les rues de Sarlat. Mais aussi celui des piétons, sur les trottoirs du centre-ville. En présentant, hier, un plan global de circulation pour les vélos, la mairie a sonné le temps de la cohabitation et consacré les cyclistes « co-utilsateurs de la chaussée ».

« Ce n’est pas la révolution : beaucoup de villes l’on fait avant nous », concède le maire, Jean-Jacques de Peretti. « Nous ne sommes pas en Chine : demain, il n’y aura pas à Sarlat 4 000 vélos qui bloqueront la circulation. C’est vrai que c’est un peu les montagnes russes ici. La ville est en cuvette, mais ça peut marcher. Il est temps d’offrir une place aux cyclistes. »

Pas de révolution donc, mais plusieurs kilomètres de bandes cyclables matérialisées sur des espaces réservés aux cyclistes ou partagés avec les piétons et les voitures. Quelques aménagements (élargissement de trottoirs, création d’un rond-point devant la gare), de la peinture au sol et une signalétique spécifique : le coût de ce « plan vélo », élaboré pendant de longs mois par l’élue Jeanne Rouanne, se chiffre à 50 000 euros.

Il se déclinera sur trois exercices budgétaires, jusqu’en 2012. À terme, le circuit maillera l’ensemble du centre-ville et permettra aux cyclistes de rejoindre les axes et les lieux clés de la ville (gare, collège, gymnase, etc., lire ci-dessous)

Pour éviter de plomber davantage le budget de la collectivité, les travaux sont et seront couplés avec les différents chantiers de redynamisation du centre-ville. Exemple, ce printemps, rues Émile-Faure, Gabriel-Tarde et avenue de Cahors, avec la matérialisation de la première voie cyclable, en même temps que la réfection de la voirie. Ce sera prochainement le cas avenue Aristide-Briand jusqu’à la place Pasteur.

Très attendue, la voie cyclable avenue de la Dordogne, dont on parle depuis 1992, reliera le Pontet au lycée Pré-de-Cordy : cet aménagement, négocié avec le Conseil général, est programmé pour 2011.

Le mouvement est en marche : on trouve aujourd’hui quatre parkings à vélos en centre-ville, quinze deux-roues ont été mis à la disposition du personnel municipal et la voie verte Sarlat-Cazoulès pourrait s’étendre vers Souillac, Gourdon, Castelnaud et Pont Carral.

« Circulation apaisée »

En réalité, avec ce plan, ce n’est pas tant les cyclistes qui vont bouleverser leurs habitudes que les automobilistes. « La chaussée est à tout le monde », martèle l’élue chargée du dossier. Aussi ne faudra-t-il pas s’étonner de voir fleurir ici et là des « zones dites de rencontre », notamment au nord de la ville, où la circulation des voitures sera limitée à 20 km/h, « des zones de circulation apaisée » à 30 km/h, où les vélos seront prioritaires, et certaines rues où seuls ces derniers rouleront en double sens. Une signalétique placée sous le signe de la « zénitude » qui ne manquera pas dans un premier temps de mettre les nerfs de certains automobilistes en pelote.

 

Le football echappe au politique J. Chirac

27 juin 2010

Le football échappe au Politique Jacques Chirac !

Très bonne idée de “Libération” de publier samedi un texte d’Edgar Morin saisissant à sa façon le phénomène requalifié “black-blanc-beur” après la victoire de l’équipe de France de football en 1998. Très bonne idée pour faire apparaître que “vérité d’un jour n’est pas celle de toujours.” Mais avant la publication de cet article du sociologue, le 20 juillet 1998, des signes ne trompaient pas sur l’illusoire et éphémère réconciliation des Français autour d’un jeu de balle. A Saint-Denis, le jour de la finale, les drapeaux algériens flottaient déjà dans les rues. Parmi ceux qui les brandissaient, des admirateurs de Zidane, bien sûr, mais les mêmes rejetaient cet enthousiasme national, ils ne reconnaissaient pas l’hégémonie du bleu-blanc-rouge.

Au stade, le contraste était parfait. Des gens bien mis suivaient des panneaux de grandes sociétés, de sponsors. Les invités se pressaient, le football VIP était de sortie comme à l’époque de Bernard Tapie à Marseille. On portait du bleu et même les journalistes ont eu droit à un maillot “floqué” à leur nom. “Vérité du terrain n’est pas celle des gradins.” Si la France était palpitante et multicolore devant sa télévision, elle était bien sage au Stade de France, bien lisse, bien privilégiée. Le sport populaire qu’est le football ne laisse pas entrer n’importe qui aux premières loges. Mieux, ceux qui au départ de la compétition voulaient emboîter le pas à “Charlie Hebdo” dans sa conception du sport réservé aux débiles mentaux en étaient pour leur frais. “Libération”, à l’époque, a failli tomber dans le panneau. Les événements ont eu raison là aussi de la direction éditoriale. Le journal a suivi le mouvement. Le football devenait branché.

Minuit passé, les larmes de joie séchées, sur les Champs-Elysées, le champagne coulait. Dans la foule des bandes de jeunes faisaient les poches des Français grisés. La police était partout et des affrontements ont même eu lieu. On a voulu retenir que la liesse, le plan large, le panoramique, mais la “fracture sociale” de Jacques Chirac apparaissait déjà ouvertement. Ainsi que le rappelle justement Edgar Morin, “durant trois jours, il y a eu une invasion de la part ludique et esthétique de la vie chez une grande partie de la population française, et corrélativement la communion nationale du match s’est intensifiée et généralisée hors du stade. Cela ne pouvait être que provisoire.” La France avait gagné la Coupe du Monde mais rien ne changeait pour autant, ni pour un camp (les intellos pisse-froids) ni pour l’autre (les recalés chauds comme la braise). Peut-être fallait-il la gagner une fois rien que pour cela.

Le plus bel exploit sportif ne peut rien pour le politique. Le pire non plus. Le football n’est qu’une forme d’exacerbation des passions passagères, fugaces, sans lendemain, irrationnelle. Le sport est bien le triomphe de l’instant, de l’immédiat. Le terrain politique demeure heureusement une affaire de longue haleine autrement plus complexe. Bien sûr nos dirigeants souhaiteraient ardemment connaître une telle apogée, juste le temps d’un quinquennat mais le peuple la leur refuse. C’est la grande frustration de ceux qui gouvernent, dont les actions sont moins excitantes, que de se constater impuissants face au déferlement de passions que suscite le football. Cette non maîtrise de la chose sportive amène toujours les hommes politiques à tenter de vouloir faire croire qu’ils la dominent. C’est évidemment faux. La démarche qui consiste pour un Etat à s’emparer du ressenti d’un peuple grisé par sa propre appropriation du sport est un leurre qui ne trompe plus personne. En bleu-blanc-rouge ou en black-blanc-beur, cela ne marche pas.

Osvaldo Villar.

PS: Le formidable match Ghana-Etats-Unis hier soir a produit quelques beaux clichés de sport.
-La sortie de Clark consolé par son entraîneur qui s’était planté dans ses plans de jeu en première mi-temps.
-L’accolade prolongée entre Bradley et son homologue serbe Rajevac en fin de rencontre.
-L’écho de la visite en 2009 de Barack Obama au Ghana.

Des primes pour les Préfets, Sous-préfets méritants

Des primes aux préfets et sous-préfets les plus méritants

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Les préfets se verraient ainsi fixer des objectifs à atteindre chaque année, en matière de sécurité publique, de sécurité routière et de nombre de contrats aidés pour le retour à l’emploi. Selon Le Parisien, les expulsions d’étrangers sans papiers seraient aussi prises en compte. Le travail des préfets — ils sont cent vingt-six — est évalué par les services du ministre de l’intérieur, les primes des sous-préfets — ils sont quatre cent cinquante — étant décidées par les préfets. L’information peut surprendre, pourtant, ces primes de fonction et de résultats (PFR) aussi appelées "indemnités de responsabilité" ont été entérinées par un décret du ministère de l’intérieur du 7 novembre 2009.

Interrogé sur ces primes par le journal, Olivier Boisteaux, président du Syndicat indépendant des commissaires de police, estime qu’il s’agit du "système des bonus bancaires appliqué à la fonction publique" et pense que "ce système de primes pourrait pousser les fonctionnaires à falsifier les statistiques".

"Les primes sont un moyen de récompenser ces grands serviteurs de l’Etat, soutient-on à la sous-direction du corps préfectoral. C’est un peu du système libéral que l’on introduit dans la fonction publique, mais ces primes sont encadrées et répondent à des règles de transparence et d’équité."

"Dans la réalité, les préfets et sous-préfets ne touchent jamais le montant maximal qui peut leur être accordé", affirme la sous-direction du corps préfectoral au Parisien. "En moyenne, ces primes s’élèvent entre 30 000 euros et 40 000 euros à l’année." "Dans la réalité, les préfets et sous-préfets touchent, chaque mois, une avance sur leur prime avant de se voir verser le reliquat en fin d’année, si les critères sont remplis".

Face aux erreurs d’arbitrage Non à la video

Face aux erreurs d’arbitrage, la FIFA joue la montre

 

La FIFA, hostile à tout recours à la vidéo, refuse d'ouvrir le débat après les erreurs d'arbitrage qui ont entâché les éliminations de l'Angleterre et du Mexique en huitièmes de finale du Mondial.

Le gardien allemand ne quitte pas le ballon des yeux, et il le voit qui rebondit derrière la ligne. Un but qui ne sera pas accordé aux Anglais.
Le gardien allemand ne quitte pas le ballon des yeux, et il le voit qui rebondit derrière la ligne. Un but qui ne sera pas accordé aux Anglais.
La FIFA, hostile à tout recours à la vidéo, refuse d’ouvrir le débat après les erreurs d’arbitrage qui ont entâché les éliminations de l’Angleterre et du Mexique en huitièmes de finale du Mondial.

Les erreurs d’arbitrage qui ont entaché les éliminations de l’Angleterre et du Mexique en huitièmes de finale étaient au cœur du point presse quotidien tenu par la FIFA, lundi 28 juin. A tel point qu’un porte-parole, Nicolas Maingot, a dû couper court au déluge de questions de la part des journalistes. "Nous n’ouvrirons pas le débat sur l’arbitrage", a-t-il indiqué, une façon de mettre un terme à un débat qui enflamme à nouveau le monde du football.

Interrogé sur "la honte que devait ressentir la FIFA" après les décisions arbitrales du week-end, M. Maingot a martelé que le sujet ne serait pas évoqué, expliquant que le refus de la FIFA de recourir à l’arbitrage vidéo était lié la position de l’International Board, organisme garant des lois du jeu. Le porte-parole de la FIFA a en revanche critiqué la retransmission, sur les écrans géants du stade, de la position de hors-jeu de l’Argentin Tevez, qui a ouvert le score face au Mexique. "Cela n’aurait pas dû arriver", a-t-il déclaré. Après avoir vu les images, les joueurs mexicains s’en sont vivement pris à l’arbitre de touche.

L’ARBITRAGE À CINQ

Si le sélectionneur mexicain Javier Aguirre Javier a refusé d’évoquer l’arbitrage, il a concédé "que le deuxième but argentin est le produit du premier, ce n’est pas une action logique". Plus virulent, son homologue de la sélection anglaise, Fabio Capello, a fustigé l’attitude "incroyable" de la FIFA, qui refuse d’utiliser la technologie pour "décider s’il y a but ou pas".

VOTRE AVIS

Deux erreurs d’arbitrage ont entaché les victoires, dimanche, de l’Allemagne contre l’Angleterre et de l’Argentine contre le Mexique. Pensez-vous qu’elles justifient désormais le recours à l’arbitrage vidéo ?

Oui

Non

‘Oui

Non

Oui.
 

89.2 %
Non.
 

10.8 %
Nombre de votants : 21887

Football : Sondage recours à l’arbitrage vidéo

Sondage
Deux erreurs d’arbitrage ont entaché les victoires, dimanche, de l’Allemagne contre l’Angleterre et de l’Argentine contre le Mexique. Pensez-vous qu’elles justifient désormais le recours à l’arbitrage vidéo ?
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Agenda Progessistes46 Politique USA

Agenda Progessistes46
By Osvaldo Villar

 

Sen. Robert C. Byrd, the longest-serving senator in U.S. history, died at about 3 a.m. Monday morning. He was hospitalized last week for dehydration but his condition deteriorated over the weekend.

"Byrd’s death, nearly a year after the passing of Sen. Ted Kennedy, represents the end of an era for the Senate," writes POLITICO’s Marty Kady. "If Kennedy was the lion of the Senate and an icon in American politics, Byrd was more of the ultimate Senate insider, leveraging his knowledge of the chamber and his seniority to push legislation that benefited his home state." Obituary http://politi.co/a5zdNm

DRIVING YOUR WEEK – At HHS it’s a sprint to July 1. The agency has two gigantic implementation deadlines on Thursday: establish high risk pools and launch HealthCare.Gov, the new insurance web portal. Both are huge lifts, deadlines that health policy wonks have told PULSE are near impossible. But not completely impossible: All indications point to Sebelius and her team by-and-large pulling off these Herculean tasks on schedule (with a few states falling behind).

PULLING BACK THE CURTAIN – HHS is rushing to hammer out contracts with the 30 states running their own pools. The agency sent a model contract to states last Thursday and spent the past week tweaking and trading versions. Montana and Pennsylvania signed final contracts on Friday; Kansas expects one this morning. Playing middle man in many states’ negotiations is NASCHIP, a trade organization of high risk pools, which assembled a team of state lawyers to pour over the contract.

WHAT STATES WANT – They have pressed HHS for a “fair contract in terms of protecting states so that when they enter into this agreement, they’re not exposing themselves in terms of financial or legal liabilities,” NASCHIP vice-chair Amie Goldman tells PULSE. This plays out in two major ways: 1) States definitely do not want to be held financially responsible for any lawsuits that get filed against the high risk pool. 2) They want clarity that they do not have a financial commitment to run the pool if HHS funds run out. The final contract, state insurance sources tell PULSE, satisfies both requests.

STRAGGLERS – NYT’s Robert Pear: “Some states, like California and New York, are just finishing their proposals.” http://nyti.ms/bsm5z0 … USA Today calls out Michigan, Illinois and (again) California. http://bit.ly/aQYXA3 … And then there’s Utah, which decided to run a pool only last week.

** A message from the Coalition to Protect America’s Health Care: Congress needs to extend the enhanced FMAP now. If Congress doesn’t act, states will be forced to cut Medicaid for millions of low-income children, seniors and Americans with disabilities. America’s banks got a second chance. Don’t America’s families deserve the same? Learn more at www.protecthealthcare.org **

PULSE FIRST LOOK: DON’T RAISE MY TAXES – Americans for Tax Reform are out with an “Obama Tax Hike Exemption Card,” released just prior to the 10 percent tanning tax starting Thursday. The parody card is to be shown to merchants who try to charge a new tax on anyone earning less than $250,000 – those people that Obama said he wouldn’t tax. ATR calls the tanning tax the first Obama pledge violation. “This card is a tangible reminder that Obama has deliberately broken his central campaign promise not to raise any form of taxes on Americans earning less than $250,000,” says ATR’s Grover Norquist. “The last president to break his tax pledge – Bush 41 – served only one term.” The card http://bit.ly/aXq2qM

REPEAL MOMENTUM SLOWING – Congress Daily on an action vs. words Congressional divide: “When it comes to constituent and party leadership cries for repeal of the law, rank-and-file Democrats and Republicans agreed full repeal was unlikely in the near future, and it was better to focus on provisions that could be reformed. Blue Dog Rep. Zack Space of Ohio voted against the law but said now was not the time to roll back the measure. ‘I’m not interested in arguing for or advocating for repeal. That’s a destructive measure, and at this point we need to make the law better,’ said Space.” Missouri Republican Jo Ann Emerson: “As long as President Obama is in office, full repeal isn’t going to happen.” http://bit.ly/bEgn7U

WAIT, THERE’S MORE: MCCOLLUM BACKLASH IN FLA. – Sarasota Tribune-Herald, A1: “Back in March when McCollum announced his plan to sue the federal government to block health care reform, he flatly said it was ‘not his job’ as attorney general to lower health care costs or deal with Florida’s millions of uninsured residents. McCollum promised that he would unveil his own health care proposals. He has not…..McCollum has said little about…health care….Instead he repeatedly said details would come later or he was waiting to hear from advisory groups he has assembled.” http://bit.ly/aTjNfe

KEEP AN EYE ON KAGAN – SCOTUS nominee will almost certainly get a question this week on the constitutionality of health reform; major editorial boards anxiously await her answer. NYT http://nyti.ms/bDkaPf WSJ http://bit.ly/btIPah

FMAP WATCH – Governors are mulling a special trip to Washington to lobby lawmakers on an FMAP extension, says Michigan Gov. Jennifer Granholm. They’re angry Reid pushed aside the critical funding that the ill-fated tax extenders would have delivered (Reid blames Republicans for blocking the legislation). “The extension of this, during this difficult period as we emerge from the recession, is supported by 47 governors – Republican and Democrat,” she says. Without an extension, Granholm sees some serious scaling back on already infamously poor Medicaid doctor reimbursements.

FMAP WATCH, CONT. – AFSCME/Americans United for Change are out with an ad this weekend hitting Maine Sens. Snowe and Collins for votes against tax extenders. Watch: http://bit.ly/9OrGz8

DOC-FIX WATCH – Frustrated with a six-month patch, medical associations continue to push Congress on Medicare payments. First up: The American Society of Interventional Pain Physicians hits the Hill tomorrow pushing for (what else?) a permanent SGR fix-like the AMA, ASIPP is insistent that nothing less will do, even if it’s not a political reality. Their past president and spokesperson, Dr. David Kloth, tells Pulse: “What the House and Senate passed will get us six months but the bottom line is we need a long term solution or we’re going to lose a lot of doctors.”

PULSE POLITICS: OKLAHOMA INSURANCE COMISSIONER RACE – Insurance commissioner: not a flashy title, but a perch of power in the health reform world. So keep an eye on insurance commissioner races like the one in Oklahoma, where incumbent Kim Holland, a Democrat, defends a seat against a slew of anti-reform Republican challengers gunning to influence health reform. One challenger, John Doak, tells a local paper: “As insurance commissioner, I will vocally oppose socialized health care and government mandated insurance while advocating for association health plans.” http://bit.ly/9HJCPf

YOU SAY PA-PACA, I SAY A.C.A. – At a generally collegial Center for American Progress event on insurance regulation Friday, OCIIO’s Steve Larson and CAP’s David Balto did find one area of contention: what to call the bill. Balto repeatedly called the law “pa-paca” (rhymes with alpaca); Larson told him OCIIO settled on A.C.A. This is a big hole in the name-game theory that one Hill staffer recently floated to PULSE: “pa-paca” was the GOP term for the bill, while Democrats sided squarely with the more proper sounding initials.

BOEHNER PUSHES HYDE EXTENSION – Speaking at the National Right to Life Convention this weekend, Boehner plugged Rep. Chris Smith’s soon-to-be-introduced legislation that would extend the Hyde Amendment (the ban on abortion funding in HHS appropriations) to all federal spending. http://bit.ly/axyRwm
STATE SCAN:

MO. HEALTH REPEAL BALLOT A BUST? AP reports on a hot button issue gone cool in the Show Me State: “Missouri is poised in August to become the first state in the nation to put the new federal health insurance law to a public referendum, [but] barely five weeks before the Aug. 3 election, backers of the Missouri ballot measure are just now beginning to raise money for a coordinated campaign….Opponents of the ballot measure only recently filed a lawsuit seeking to block it, but with no hearing scheduled, it’s unclear whether a judge will rule before the election.” http://bit.ly/cYyTZh

WHAT WE’RE READING:

CONFUSION ON AGE 26 RULE – WaPo: “The administration’s success in convincing dozens of insurers to comply with the provision earlier than the law requires has left many parents with the impression that their adult children will be eligible for continuing coverage far sooner than is likely to be the case, experts said.” http://bit.ly/byMcsm

FIX THE DOC FIX – BU’s Austin Frakt weighs in with a solution: “What should Congress seek in exchange for scrapping the SGR methodology? At the top of my list would be to base some of physician payment on quality improvement. Aligning payment incentives with quality and not quantity will strike at the heart of the cost growth problem. Also high on the list should be reducing payments to specialists and increasing those for primary care physicians.” http://bit.ly/cAnXY2

** A message from the Coalition to Protect America’s Health Care: Congress needs to extend the enhanced FMAP now. If Congress doesn’t act, states will be forced to cut Medicaid for millions of low-income children, seniors and Americans with disabilities.

In a tough economy, Congress did the right thing last year by providing states with additional resources to protect access to health care. But with the expiration date quickly approaching and 47 states facing record budget shortfalls, we need Congress to extend these additional Medicaid funds to the states for another six months. As America moves forward, we can’t leave our most vulnerable behind.

Learn more at www.protecthealthcare.org