Archive for septembre, 2009

Le compte rendu de Dominique Villepin à l’audience.

Dominique de Villepin se defend et parle de Nicolas Sarkozy

 30.09.09 | 20h20

 

 

PARIS (Reuters) – Entendu pour la première fois dans le procès qui l’oppose à Nicolas Sarkozy, Dominique de Villepin a nié mercredi avoir comploté contre l’actuel chef de l’Etat et a tenté de retourner l’accusation de manipulation.

L’ancien Premier ministre a accusé Nicolas Sarkozy d’avoir menacé en 2006 des hauts fonctionnaires de police et des ministres pour que l’affaire aboutisse à sa mise en cause dans cette affaire qui a démarré en 2004.

"Le doigt de Nicolas Sarkozy a été pointé sur moi et sur Jacques Chirac. Plusieurs hauts fonctionnaires ont été reçus par Nicolas Sarkozy et menacés", a-t-il dit en fin d’audience.

Dominique de Villepin a cité les noms d’Yves Bertrand, ancien patron des Renseignements généraux et de Philippe Massoni, ex-préfet de police de Paris. Il a aussi accusé Nicolas Sarkozy d’avoir menacé, quand il était à l’Intérieur, des ministres de la Justice.

"L’instruction a été faussée par ce doigt qui a été porté sur moi, lorsque des ministres ont été menacés par un Nicolas Sarkozy hors de lui, dont la physionomie changeait quand il prononçait le nom de Clearstream", a-t-il ajouté.

Dans un tribunal bondé de journalistes, d’éditorialistes politiques et de curieux, Dominique de Villepin a fait usage sur le fond du dossier de son éloquence, lisant parfois les pièces du dossier à la place du tribunal.

"Je n’ai jamais eu les listes Clearstream et je n’ai jamais été informé du caractère frauduleux des listings Clearstream", a-t-il dit aux juges.

Ministre des Affaires étrangères (mai 2002-mars 2004), de l’Intérieur (mars 2004-mai 2005) puis Premier ministre (mai 2005-mai 2007) à l’époque des faits, Dominique de Villepin est jugé pour "complicité de dénonciation calomnieuse, complicité de faux, recel de vol et d’abus de confiance".

Les faux listings Clearstream remis à la justice entre avril et octobre 2004 comportaient, outre les patronymes hongrois de Nicolas Sarkozy, Nagy et Bocsa, des centaines de noms.

VILLEPIN BLANCHIT CHIRAC

Dominique de Villepin a expliqué aux juges qu’il avait été informé de cette affaire lors d’une réunion le 9 janvier 2004 au ministère des Affaires étrangères, qu’il dirigeait à l’époque. Il n’en aurait plus entendu parler jusqu’en juillet 2004.

Le 9 janvier, a-t-il dit, le vice-président d’EADS Jean-Louis Gergorin lui a fait part de l’existence des listings qui devaient se révéler faux, en présence de Philippe Rondot, spécialiste du renseignement, qui avait déjà engagé une enquête.

L’ex-Premier ministre a dit avoir demandé au général Rondot de poursuivre des investigations générales.

"Nous ne sommes entrés à aucun moment dans la définition des cibles ou dans l’implication de personnes", a-t-il dit.

"Il n’y a jamais eu d’instruction présidentielle dans ce dossier", a dit le prévenu, dédouanant ainsi Jacques Chirac.

Le président du tribunal lui a alors lu une note manuscrite du général Rondot à usage personnel rendant compte de la réunion du 9 janvier, saisie lors de l’enquête et où on lit "enjeu politique, Sarkozy" et "compte couplé Nicolas Sarkozy-Bocsa".

"Il n’a à aucun moment été fait référence à Nicolas Sarkozy en liaison avec ce système occulte et les listings", a répondu Dominique de Villepin. Il n’aurait été question de Sarkozy que pour évoquer – et écarter – l’éventualité de l’informer.

Il a assuré n’avoir ensuite entendu reparler de cette affaire qu’en juillet 2004.

Jean-Louis Gergorin a présenté une autre version des faits, expliquant qu’il avait revu Dominique de Villepin plusieurs fois lors de réunions secrètes en 2004 organisées avec un Blackberry crypté remis au ministre. Une voiture ministérielle venait le chercher dans la rue pour plus de discrétion, a-t-il raconté.

Il serait allé voir le juge Van Ruymbeke à sa demande.

"Dominique de Villepin m’a dit d’un ton solennel : ‘maintenant, la seule solution, c’est qu’un juge d’instruction s’en occupe, c’est une instruction du président de la République’", a-t-il ajouté.

Imad Lahoud, à la barre, a affirmé que Jean-Louis Gergorin lui avait dit avoir reçu l’ordre de Dominique de Villepin de "balancer Sarkozy à un juge". Jean-Louis Gergorin a en outre affirmé avoir remis un CD-Rom avec les faux listings à Dominique de Villepin en février 2004.

Villepin nie en bloc avoir comploté contre Sarkozy.

Villepin nie en bloc et se défend d’avoir comploté contre Sarkozy

 30.09.09 | 15h00

Entendu pour la première fois dans le procès qui l’oppose à Nicolas Sarkozy Dominique de Villepin a nié mercredi avoir comploté en 2004 contre l’actuel chef de l’Etat et s’est présenté en victime d’une manipulation.

A la sixième audience du procès des faux listings de la société Clearstream, l’ancien Premier ministre a mis en scène son entrée dans le prétoire et usé de son éloquence.

Comme au premier jour du procès, le 21 septembre, il a fait une déclaration devant la presse sur un ton solennel. "Je suis heureux de pouvoir aujourd’hui apporter ma contribution à l’émergence de la vérité dans cette affaire où les mensonges et les manipulations ont obscurci cette vérité", a-t-il dit.

Devant le tribunal, il s’est montré volubile et clair, s’appuyant sur les pièces du dossier que lui passaient ses avocats, en faisant même parfois lecture à la place du tribunal.

"Je suis toujours là dans les moments difficiles et j’ai les épaules larges", a-t-il dit aux juges.

Ministre des Affaires étrangères (mai 2002-mars 2004), de l’Intérieur (mars 2004-mai 2005) puis Premier ministre (mai 2005-mai 2007) à l’époque des faits, Dominique de Villepin est jugé pour "complicité de dénonciation calomnieuse, complicité de faux, recel de vol et d’abus de confiance".

Les faux listings de comptes bancaires de la société luxembourgeoise Clearstream remis à la justice entre avril et octobre 2004 comportaient, outre les patronymes hongrois de Nicolas Sarkozy, Nagy et Bocsa, des centaines de noms.

Dominique de Villepin a expliqué aux juges qu’il avait été informé de cette affaire une seule fois, lors d’une réunion le 9 janvier 2004 au ministère des Affaires étrangères, qu’il dirigeait à ce moment. Il n’en aurait ensuite plus entendu parler jusqu’en juillet 2004.

CHIRAC N’A PAS DONNÉ D’INSTRUCTION

Le 9 janvier, a-t-il dit, le vice-président d’EADS Jean-Louis Gergorin lui a fait part de l’existence des listings qui devaient se révéler faux, en présence de Philippe Rondot, spécialiste du renseignement, qui avait déjà engagé une enquête.

"Il s’agissait d’une réunion à bâtons rompus, pas d’une réunion de travail", a-t-il expliqué, assurant que les listings n’avaient pas été montrés ce jour-là.

Il a raconté avoir demandé au général Rondot de poursuivre des investigations générales, en invoquant les "instructions générales du président de la République (Jacques Chirac-NDLR) sur la moralisation de la vie économique internationale".

"Nous ne sommes entrés à aucun moment dans la définition des cibles ou dans l’implication de personnes", a-t-il dit. Jacques Chirac a été informé, mais, a dit le prévenu, "il n’y a jamais eu d’instruction présidentielle dans ce dossier".

Le président du tribunal lui a alors lu une note manuscrite du général Rondot rendant compte de cette réunion du 9 janvier, saisie lors de l’enquête et où on lit "enjeu politique, Sarkozy" et "compte couplé Nicolas Sarkozy-Bocsa".

"Il n’a à aucun moment été fait référence à Nicolas Sarkozy en liaison avec ce système occulte et les listings", a répondu Dominique de Villepin.

Il a assuré qu’il avait juste été débattu de l’éventualité d’alerter Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’Intérieur, de l’affaire, ce qui a été écarté car jugé "pas opportun".

Ensuite, a dit l’ancien Premier ministre, il n’a entendu reparler de cette affaire qu’en juillet 2004, donc après la remise des faux listings au juge Renaud Van Ruymbeke en avril et juin, ce qui avait provoqué une enquête judiciaire menaçante pour Nicolas Sarkozy.

Jean-Louis Gergorin l’a contredit en affirmant à l’instruction avoir fait cette démarche sur demande de Dominique de Villepin. Les deux hommes devaient être confrontés dans la journée et l’avocat de Nicolas Sarkozy, Me Thierry Herzog, devait poser des questions dans la soirée.

La tout nouvelle Canon Eos 7 est arrivé à Lab46 à Cahors !

Canon EOS 7DLe Canon EOS 7D prend place entre l’EOS 50D et l’EOS 5DmkII. Ce sera sans doute un boîtier important dans la gamme Canon parce qu’il apporte une refonte de certains composants clé du boîtier : le viseur, la cellule duale chargée de l’autofocus et de la mesure d’exposition, l’ergonomie du boîtier mais aussi la gestion des flashs puisque les fonctions du ST-E2 (contrôle de flashs distants) sont maintenant assurées par le flash intégré.

Selon Canon, cette refonte du boîtier vient en réponse à une grande enquête avec plus de 5000 témoignages d’utilisateurs EOS et a nécessité près de deux ans de recherche et développement. Ce genre d’efforts n’est pas si courant que cela, la plupart des boîtiers étant plutôt des évolutions mineures d’un modèle existant (notez que c’est pratique, ça permet de les décrire comme "c’est le même que le x mais avec une fonction vidéo").

Bien entendu on n’obtiendra aucun détail sur les futurs boîtiers mais il semble évident que ces composants vont se répandre dans toute la gamme EOS. L’annonce de l’EOS 7D est donc une étape importante pour le constructeur… c’est pourquoi je vous invite à la conférence de presse pour assister à la présentation de l’EOS 7D.

Le journal Britannique SUN ne soutien plus « Le Labour ».

Le Premier ministre britannique Gordon Brown s’est employé mardi à relativiser le revirement du tabloïde , qui a porté un coup dur au Labour en annonçant qu’il soutiendrait les Conservateurs lors des prochaines élections législatives. "Les gens décident des élections, pas les journaux. Et ce sont les gens qui vont prendre position", a déclaré M. Brown sur la chaîne Sky News. "Evidemment, vous voulez que les journaux soient pour vous. Nous aurions voulu que tout le monde soit de notre côté, mais ce sont les gens qui décident". "J’ai une position vieux jeu qui est que vous lisez les journaux pour avoir des informations, pas des opinions", avait-il dit peu avant sur la chaîne GMTV. Le magnat australien des médias Rupert Murdoch, patron du groupe News Corporation, avait abandonné son soutien traditionnel au parti d’opposition conservateur au profit du parti travailliste mené par Tony Blair lors des législatives de 1997. Le soutien du , plus fort tirage au Royaume-Uni, est considéré par les observateurs politiques comme un élément important pour emporter le vote des électeurs britanniques. Tony Blair avait fait du soutien de Murdoch l’une de ses priorités avant les élections de 1997. Le tabloïde britannique a apporté son

Le Grand Dictateur Hugo Chavez vends 20,000 barils d’essence par jour à l’Iran.

Le Grand Dictateur Hugo Chavez vends 20,000 barils d’essence par jour

à l’Iran à partir  d’octobre 2009.

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Le Venezuela va vendre à l’Iran 20.000 barils d’essence par jour, a annoncé le président Hugo Chavez au terme de sa visite à Téhéran marquée par ailleurs par des critiques contre les Etats-Unis.

20.000 barils d’essence par jour
"Le Venezuela va exporter 20.000 barils d’essence par jour à l’Iran à partir d’octobre aux termes d’un accord d’un montant de 800 millions de dollars", a-t-il déclaré dans la ville sainte de Machhad (nord-est de l’Iran), cité par les médias locaux. Il n’a pas précisé la durée de l’accord. "Ce montant sera déposé dans un fonds établi en Iran et servira à financer l’achat d’équipements et de la technologie d’Iran", a ajouté M. Chavez, principal allié de Téhéran en Amérique latine.

L’Iran est le deuxième exportateur de pétrole au sein de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), mais paradoxalement manque de capacités de raffinage suffisante et dépend des importations pour 40% de ses besoins en essence. Les nouvelles sanctions que les Occidentaux pourraient imposer à l’Iran qui refuse de suspendre son programme nucléaire controversé, porteraient sur l’importation de carburant.

Selon M. Chavez, les deux pays ont en outre "convenu d’injecter dans les 30 prochains jours 100 millions de dollars dans la banque binationale Iran-Venezuela bank". Hugo Chavez s’est rendu à Machhad en compagnie du président Mahmoud Ahmadinejad, où un protocole d’accord dans les domaines du commerce et de la médecine ont été également paraphés entre les deux pays.

"Révolution politique"
De son côté, M. Ahmadinejad a affirmé que la politique des Etats-Unis en Amérique du Sud était "vouée à l’échec". "L’Amérique du Sud est en proie à une révolution politique. Les nations là-bas ne peuvent plus supporter les intimidations et si quelqu’un pense pouvoir vaincre leurs convictions par les moyens militaires, il se trompe", a-t-il ajouté cité par les médias.

"Les politiques militaristes des Etats-Unis en Amérique du Sud sont certainement vouées à l’échec et je leur conseille d’arrêter leurs intimidations. Nous nous tiendrons aux côtés des nations sud-américaines dans toutes les circonstances", a ajouté le président iranien. Avant de se rendre à Machhad, M. Chavez a été reçu par le guide suprême d’Iran Ali Khamenei.

"La coopération dans les domaines industriel, économique, bancaire et des transports entre les deux nations doit se développer, parallèlement à la coopération politique", a dit l’ayatollah Khamenei selon son bureau. "En renforçant cette coopération, l’Iran et le Venezuela peuvent consolider leur ‘front pour l’indépendance’ nouvellement créé".

Anti-impérialistes
La veille, MM. Chavez et Ahmadinejad se sont engagés à soutenir les "nations révolutionnaires" et les "fronts anti-impérialistes", lors d’une rencontre à Téhéran. Le président vénézuélien avait aussi apporté son soutien au programme nucléaire civil de l’Iran. Les Occidentaux soupçonnent l’Iran de chercher à se doter de l’arme nucléaire sous couvert de son programme civil, ce que Téhéran dément.

L’ayatollah Khamenei s’en est par ailleurs pris aux Etats-Unis, ennemi juré de l’Iran et du Venezuela, affirmant que "les échecs successifs américains et et la diminution du pouvoir (de Washington) témoignent d’une vérité indéniable; que le monde change".

Avant l’Iran, M. Chavez, dont c’est la septième visite dans ce pays, s’était rendu en Libye, en Algérie et en Syrie. Il doit encore visiter le Belarus, la Russie, le Turkménistan et l’Espagne.

Les élécteurs décus des consignes de Bayrou et le MoDem.

Publié le 29 septembre 2009 Par Osvaldo Guerra y Villar (Journaliste et correspondant EFE).

Plusieurs consultations électorales ont eu lieu ces dernières semaines, suite à des annulations des précédents scrutins. Il vaut mieux franc mais le bilan de celles-ci pour le Mouvement Démocrate n’est pas des plus brillants.

Ainsi, à Rambouillet, le candidat Divers gauche, Georges Mougeot, soutenu en personne par François Bayrou n’a recueilli que 9,58% des suffrages, soit deux points de moins que son premier adjoint au maire, Pierre Le Guérinel, candidat en 2007. On peut se satisfaire comme Marielle de Sarnez que le score de la candidate des Verts, Anne Poursinoff, valide la démarche initiée par François Bayrou, mais pour l’instant ce n’est pas vraiment au profit du MoDem.

Aussi, à Corbeil-Essonnes, la liste « sans étiquette » de l’ancien premier adjoint au maire Serge Dassault et présidente du Mouvement Démocrate de l’Essonne, Nathalie Boulay-Laurent, n’obtient que 4,63 % des voix. Le positionnement de cette dernière lui a sans doute nuit.On peut citer également le score obtenu par Eric Fluck à la cantonale d’Argenteuil ou celui de Fabien Bénard à Nice (un peu plus de 2% des suffrages chacun).

Les élections partielles ne peuvent, compte tenu de l’importance du contexte local et des fortes abstentions, servir d’éléments d’analyses pour la situation nationale. Néanmoins, on ne peut que constater que le Mouvement Démocrate éprouve beaucoup plus de difficultés que lors des élections précédentes, y compris partielles.

De là, à voir de futures déceptions quant aux résultats obtenus par les candidats démocrates, il n’y a qu’un pas. Lors d’un Conseil national, François Bayrou indiquait sur ces fameuses élections partielles, qu’il ne fallait pas forcément se présenter si un bon score (plus de 10%) n’était pas possible. Il expliquait que si on présentait à ces élections et que le score était mauvais, cela nuisait au mouvement et pouvait conduire à des scores encore plus médiocres.

C’est bien souvent lors des campagnes électorales que les citoyens s’intéressent à ce que disent les partis politiques et leurs représentants. Cela pose problème car à force d’être des scrutins, comment réussir à parler de nos idées ? Doit-on continuer à accumuler les déceptions électorales ?

SARKOP-INFO de Septembre 2009.

 

SARKO INFO SUR BFM TV EM. DU 08 SEPTEMBRE 2009

il y a 2 semaines
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C’est d’abord quelques minutes d’humour dans une journée pas toujo…
SARKO INFO SUR BFM TV - EM. DU 07 SEPTEMBRE 2009

05:30
fra

SARKO INFO SUR BFM TV EM. DU 07 SEPTEMBRE 2009

il y a 3 semaines
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SARKO-INFO

SARKO INFO

SARKO INFO SUR BFM TV - EM. DU 29 SEPTEMBRE 2009

17:52

SARKO INFO SUR BFM TV EM. DU 29 SEPTEMBRE 2009

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Quand Bayrou s’explique…

Par OGV (Osvaldo Guerra Y Villar).

29 septembre 2009

…mais j’aime bien quand Bayrou s’explique sur sa vision…

En l’occurrence son fameux Parlement de l’alternance…


ENTRETIEN AVEC FRANCOIS BAYROU
envoyé par mouvementdemocrate. – L’info internationale vidéo.

 

Jean Perelevade juge qu’il faudra 10 ans pour redresser les finances publiques

Jean Peyrelevade était l’invité de la matinale de Guillaume Durand sur Radio Classique, mercredi 30 septembre.

Il est revenu notamment sur l’état budgétaire de la France, du projet de RSA jeune, et juge qu’il faudra « 10 ans d’efforts » pour redresser les finances publiques.